Le premier avait donné rendez-vous à ses amis au domaine de Grand'Maison à Villepreux (Yvelines) toute la journée du samedi, rassemblant environ 900 personnes (dont plus de 600 pour le "banquet patriotique" avec bénédicité et Chœur Monjoie Saint-Denis). Bruno Gollnisch a répondu aux questions que lui avaient envoyé les militants, sans complexe, n'hésitant pas à affirmer que s'il n'avait pas signé la pétition contre la loi Gayssot et pour la libération de Vincent Reynouard, c'était pour ne pas les gêner mais que sa signature leur était toute acquise. Il a rappelé sa volonté de revenir sur la loi Veil, son attachement à la famille, appelé à libérer les énergies en dénonçant le fiscalisme, critiqué le secret maçonnique et provoqué de grands éclats de rire en imitant Raymond Barre. Sous les applaudissements, le vice-président du Front national a menacé de "ruiner" financièrement la CGT pour mettre fin aux grèves dans les transports, traitant de "connards" ceux qui font "brûler des pneus sur les voies" et que "la police protège". Rappelant que l'élection de janvier concernait la présidence du Front national, Bruno Gollnisch a vanté ses qualités de présidentiable... tout court.
La seconde avait donné rendez-vous à ses partisans dimanche au Back-Up, une discothèque du XVème arrondissement où se sont pressées quelques 650 personnes. "Mon projet n'est pas de rassembler notre famille politique, ou plutôt, n'est pas de rassembler seulement notre famille politique. Il est de faire du Front national le pôle de rassemblement du peuple français tout entier" a déclaré Marine Le Pen. "Alors que tout s'effondre, que les faits viennent nous donner raison, que nos adversaires commencent à se ranger à nos analyses, que le peuple se lève contre la dictature silencieuse du mondialisme, l'ambition d'être un club de rencontre de la droite nationale est surprenante" a-t-elle raillé, ajoutant que "si notre esprit de conquête ne devait se limiter qu'à rallier les 0,2% de voix de Mme Christine Boutin, ou quelques bras cassés de nos milieux, cette ambition ne serait pas à l'échelle de la tâche que le destin nous assigne collectivement".
Thibaud
Il y a eu davantage que Mlle Myrtil et M. Bouchet à la réunion de Paris avec Marine LE PEN...parmi les 750 participants.
Marine LE PEN rassemble les Français patriotes.
Et de nombreux catholiques se retrouvent dans ses propositions de défense de la Vie (refus de repénaliser l'avortement mais lutte contre l'avortement par une forte politique familiale: adoption pré-natale, salaire maternel, soutien aux familles françaises).
Elle rassemble les patriotes hostiles au mondialisme, à ses lobbies financiers et apatrides, et à l'islamisme, destructeur virulent et mortel de notre Nation.
Elle est l'avenir de la droite nationale, et l'espoir ultime de sauver la France et notre civilisation avant qu'il ne soit trop tard.
Elle sera le prochain président du Front National.
Rédigé par : Olivier FN Toulon | 15 novembre 2010 à 14h34
Bouchet? celui des pays de La loire?
ok, plus que 749 personnes alors....
trêve de plaisanteries: la preuve que la réunion de Marine était composée pour une part (sans doute importante) d'éléments extérieurs à la région IDF... et on arrive à un succès pourtant bien modeste dans la capitale de la France.....
en fait 600 personnes en tout...
Gollnisch sera notre prochain président du FN, pour sa rennaissance et vers les sommets électoraux...
Rédigé par : andré92 | 16 novembre 2010 à 01h15
Rédigé par : | 16 novembre 2010 à 10h06
Rédigé par : | 16 novembre 2010 à 15h28
Rédigé par : | 16 novembre 2010 à 18h39
1 - Je n'étais pas à la réunion parisienne de Marine Le Pen.
2 - Je ne suis pas néopaïen mais plutôt hostile à cette sous-culture religieuse. Il suffit de lire les livres que j'ai écrit à ce sujet pour s'en rendre compte. Je suis tellement peu néopaïen que je verse chaque année mon denier du culte à la paroisse dont relève mon domicile (Saint Martin des côteaux dans le 44)
Rédigé par : Christian Bouchet | 21 novembre 2010 à 18h35