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ELECTIONS EUROPEENNES : Voter en chrétien !
En 2002, le cardinal Ratzinger publiait une note, approuvée par Jean-Paul II, sur le comportement des catholiques en politique. Après avoir rappelé la nécessité pour les laïcs chrétiens de participer à l'action politique, en prenant notamment pour modèle st Thomas More qui refusa tout compromis au motif que « on ne peut séparer l'homme de Dieu, ni la politique de la morale », le cardinal Ratzinger jugeait opportun de souligner que, si l'engagement social et politique des chrétiens, indispensable au regard de leur foi, relevait de la conscience personnelle, une conscience éclairée.
Concernant le vote, il notait : « La conscience chrétienne bien formée ne permet à personne d'encourager par son vote la mise en oeuvre d'un programme politique ou d'une loi dans lesquels le contenu fondamental de la foi et de la morale serait évincé par la présentation de propositions différentes de ce contenu ou opposées à lui. »
Et parmi « les principes moraux qui n'admettent ni dérogation, ni exception, ni aucun compromis », c'est-à-dire là où se joue « l'essence de l'ordre moral, qui concerne le bien intégral de la personne », le cardinal citait notamment l'avortement, l'euthanasie, la famille fondée sur le mariage monogame entre personnes de sexes différents, la liberté d'éducation des enfants comme droit inaliénable des parents.
Pour lire l'intégralité de l'article :http://citeetculture.free.fr/index.php
Rédigé par : Citeetculture | 06 juin 2009 à 16h31
CHRETIEN ET LAIC ( 1ère partie)
En politique, agir en cohérence avec sa Foi
En 2002, le cardinal Ratzinger publiait une note, approuvée par Jean-Paul II, sur le comportement des catholiques en politique. Après avoir rappelé la nécessité pour les laïcs chrétiens de participer à l'action politique, en prenant notamment pour modèle st Thomas More qui refusa tout compromis au motif que « on ne peut séparer l'homme de Dieu, ni la politique de la morale », le cardinal Ratzinger jugeait opportun de souligner que, si l'engagement social et politique des chrétiens, indispensable au regard de leur foi, relevait de la conscience personnelle, une conscience éclairée.
Concernant le vote, il notait : « La conscience chrétienne bien formée ne permet à personne d'encourager par son vote la mise en oeuvre d'un programme politique ou d'une loi dans lesquels le contenu fondamental de la foi et de la morale serait évincé par la présentation de propositions différentes de ce contenu ou opposées à lui. »
Et parmi « les principes moraux qui n'admettent ni dérogation, ni exception, ni aucun compromis », c'est-à-dire là où se joue « l'essence de l'ordre moral, qui concerne le bien intégral de la personne », le cardinal citait notamment l'avortement, l'euthanasie, la famille fondée sur le mariage monogame entre personnes de sexes différents, la liberté d'éducation des enfants comme droit inaliénable des parents.
Des principes non négociables
En 2006, devenu Benoît XVI et revenant sur la dignité de la personne humaine au coeur des interventions de l'Eglise catholique dans le débat public, le pape évoquait à nouveau 3 principes sur lesquels l'électeur catholique ne devait jamais transiger : la protection de la vie à toutes ses étapes (du premier moment de sa conception à sa mort naturelle), la famille (comme union entre un homme et une femme fondée sur le mariage) et la protection du droit des parents d'éduquer leurs enfants. Il prenait soin de préciser qu'il ne s'agissait pas de vérités de foi mais de principes inscrits dans la nature humaine, communs à toute l'humanité.
Plus récemment, les évêques du Portugal déclaraient que, pour les prochaines élections, il fallait viser à transformer le Parlement européen « en un lieu où les valeurs morales et éthiques de l'Europe, pour pouvoir protéger son identité historique et culturelle, puissent être proclamées et défendues. » Dans le même sens en Pologne, les évêques ont également lancé un appel à tous les fidèles pour désigner « des personnes qui représentent pleinement le point de vue de l'Eglise catholique sur les questions éthiques et sociales, concernant en particulier la protection de la vie humaine, le mariage et la famille. »
Il s'agit de ne pas, ou plutôt de ne plus cèder à la tentation de dissocier la politique de notre relation à Dieu et de sa relation aux valeurs éternelles. De cesser aussi « de demeurer complice de la dégringolade morale de notre société au prétexte du moindre mal. » (Christophe Geffroy)
Rédigé par : CITE et CULTURE | 12 juin 2009 à 13h56
CHRETIEN et LAIC 2ème partie et fin
Du moindre mal au meilleur possible
Le moindre mal ne permet nullement d'apporter son soutien à une personne, un programme, un parti au seul prétexte qu'ils seraient moins nocifs que le voisin. Il ne peut s'envisager que dans une configuration d'amélioration (et pas de moindre dégradation), pour soutenir telle personne, tel programme, tel parti qui valideraient explicitement des restrictions ou au moins des alternatives claires aux législations portant déjà atteinte aux principes non négociables soulignés par Benoît XVI, en écho à l'enseignement constant de l'Eglise catholique en général, et de Jean-Paul II en particulier.
Autrement dit, nous n'avons pas à porter notre choix sur le moins mauvais. Nous avons à réfléchir, moyennant « une conscience bien formée », si telle personne ou tel programme ou tel parti sont susceptibles d'améliorer la situation politique, en premier lieu au regard des principes non négociables. « C'est dans l'appréciation de ce meilleur possible que sera engagée la responsabilité morale de l'électeur » (P. Jean-Miguel Garrigues)
Benoît XVI développait cette exigence devant les évêques européens : « Il apparaît toujours plus indispensable que l'Europe se garde d'adopter un comportement pragmatique (...) qui justifie systématiquement le compromis sur les valeurs humaines essentielles, comme si celui-ci était l'inévitable acceptation d'un prétendu moindre mal. » En les invitant à promouvoir avec courage et ténacité « une Europe réaliste mais non pas cynique (...) inspirée par la vérité éternelle et vivifiante de l'Evangile », le pape renvoyait au « droit à l'objection de conscience, chaque fois que les droits humains fondamentaux sont violés. »
Il y a une vie après le vote
On pourra objecter que le choix en ressort extrêmement limité, ce qui est difficilement contestable ; mais, outre qu'il ne se réduit pas à rien, cela ne justifierait pas pour autant de « vendre son âme ». Et là où ne seront proposées que des candidatures impossibles, on se souviendra du mot que le cardinal Barbarin confiait à propos des dernières élections présidentielles : « Je peux poser l'acte politique de ne pas voter ou de voter blanc », dès lors que ce choix n'est motivé ni par la négligence ni par le désintérêt. « Les catholiques ne peuvent pas se désengager de l'action politique, même si les circonstances rendent cet engagement périlleux du point de vue éthique. » (Cardinal Ratzinger) Le Concile Vatican II et à sa suite le pape Jean-Paul II, notamment dans son encyclique Christifideles laïci, ont développé l'enseignement rappelant la nécessité de la mobilisation des catholiques en politique.
Le devoir électoral en fait partie mais il n'en est qu'une dimension extrêmement limitée et éphémère. Et la réflexion attentive autour du suffrage qui conduit à marginaliser ce monde décadent n'a rien d'un désengagement. Cette attitude cohérente revêt au contraire un caractère prophétique : « Il est nécessaire que des chrétiens, convenablement formés et compétents, soient présents dans les diverses instances et institutions européennes, pour concourir (...) à définir une convivialité européenne toujours plus respectueuse de tout homme et de toute femme, et donc conforme au bien commun. » (Jean-Paul II)
Rédigé par : CITE et CULTURE | 12 juin 2009 à 14h03
bonjour je suis la por parler du hellfest . vous etes trop severes et je vous le demande accepter la musique metal laisser a chacun le droit de s'exprimer et d'ecouter ce qu'il veux ! et en aucun cas le detruire . si tout e monde faisait comme vous le monde serait bien nul . merci de votre comprehension .
(MOD : oui, ce commentaire est représentatif de ce que nous recevons, les insultes en moins...)
Rédigé par : un inconnu du metal | 29 juin 2009 à 18h16
Åh, dom där slklue sitta fint till frukost!Förmodligen slklue barnen älska tekakor om jag våga prova att baka Men sen aldrig få dom att äta vanliga frallor jag bakar Plastbacken är en kanoners idé!Själv lämnar jag degen i maskinen med tillhörande lock + en handduk över. Lagom varmt av motorn under Frugan hälsar å!
Rédigé par : Felix | 05 février 2012 à 01h36