Dans le comté de Los Angeles, le nombre de divorces a chuté de 9% par rapport à 2007. Tandis que la droite chrétienne applaudit et se félicite de cette conséquence inattendue de la crise, les psychologues flairent un danger. Les cas de violences domestiques et de désertion du foyer par un parent ont en effet augmenté.
Tous les couples souffrant de désamour ne sont en effet pas capables de co-habiter dans une relative harmonie :
« J'ai des clientes qui me téléphonent pour me dire qu'elles n'ont jamais été victimes de violences domestiques aux mains de leur mari mais que la situation chez elles est si tendue qu'elles craignent le pire », raconte Sharon.
Même si les taux de divorces déclinent progressivement aux Etats-Unis depuis 1981, il faut remonter à la crise de 1929 pour comparer le phénomène actuel.
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