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Rédigé le 28 août 2009 à 22h57 dans Chrétien(s) au quotidien, Conférence/débat, Histoire, Notre Eglise, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 28 août 2009 à 22h51 dans Chrétien(s) au quotidien, Conférence/débat, Culture de vie, Détente, En kiosque, Jeunes, Littérature, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 28 août 2009 à 20h56 dans Bioéthique, Culture de vie, Défendre la famille, Science | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: appel aux dons, bioéthique, Fondations, recherche scientifique, santé, Trisomie 21, Twestival, Twitter
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Benoît XVI a raison : le préservatif n'est pas l'idéal dans la lutte contre le Sida, parce que la prévention de la contagion concerne tous les aspects d'une personne et demande donc une réponse culturelle.
C'est ce qu'a affirmé Edward Green, anthropologue et directeur de l'Aids Prevention Research Project de la Harvard School of Pubblic Health and Center for Population and Developement Studies, qui est intervenu le 25 août au Meeting de Rimini sur le thème « Le Sida, un problème culturel ».
Avec
une expérience de plus de trente ans dans les pays en voie de
développement, Edward Green avait déjà présenté une étude, en janvier
2004, au Medical Institute for Sexual Health à Washington D.C.
qui démontrait les résultats insuffisants produits par la distribution
de préservatifs sur le continent africain, en particulier en Afrique
sub-saharienne.
Dans son intervention, E. Green a mis l'accent sur les déclarations prononcées par le pape sur l'inefficacité du préservatif dans la lutte contre le Sida et sur la nécessité d'un « réveil spirituel et humain », durant le vol pour le Cameroun, à l'occasion de son premier voyage apostolique en Afrique, en mars 2008. Ces déclarations avaient suscité indignations et critiques.
« La proximité des commentaires du pape avec les découvertes scientifiques les plus récentes m'a touché », a commenté l'anthropologue.
En effet, a-t-il expliqué, « il n'y a aucune preuve que les préservatifs aient une quelconque efficacité dans la réduction à grande échelle du Hiv, en particulier en cas d'épidémies très étendues, comme en Afrique ».
« C'est un instrument qui peut peut-être fonctionner pour de simples individus mais pas nécessairement pour des populations et des pays », a-t-il précisé.
« Et pourquoi cela ne fonctionne-t-il pas en Afrique ? Avant tout parce qu'il n'est pas utilisé régulièrement, parce qu'il y a une faible demande, parce que cela réduit le plaisir, parce que cela indique un manque de confiance au sein du couple et surtout parce qu'il y a ce que l'on appelle la ‘compensation du risque' », a-t-il expliqué.
Ce dernier est le phénomène engendré par la fausse perception de protection liée au préservatif qui pousse les personnes à s'exposer à de plus grands risques et donc à augmenter les possibilités de contracter le virus.
« Tous ces principes sont immuables et généraux - a affirmé E. Green - et il ne suffit donc pas de dire ‘il faut que tout le monde utilise toujours le préservatif' parce que cela ne se passe pas comme cela ».
En particulier, « les stratégies centrées sur les préservatifs ont initialement été développées aux Etats-Unis, en pensant aux groupes les plus vulnérables, à ceux les plus exposés aux infections, c'est-à-dire aux homosexuels masculins, aux héroïnomanes et aux prostituées ».
A ce moment-là, « les ressources pour la prévention étaient principalement utilisées pour la réduction du risque ou pour développer des solutions médicales ».
Initialement, pour prévenir le Hiv on utilisait en premier lieu le préservatif, des tests diagnostiqués sur une base volontaire, le traitement d'autres maladies vénériennes qui peuvent faciliter la transmission du Sida dans le virus, microbiocides vaginaux et des médicaments antirétroviraux.
« En réalité, il n'y avait aucune preuve que ces mesures préventives réduisent la diffusion du Hiv en Afrique, parce qu'elles n'ont pas eu d'impact général sur l'épidémie », a-t-il affirmé en précisant que ces interventions se sont au contraire révélées fructueuses dans des pays comme la Thaïlande et le Cambodge, où le Hiv est surtout transmis par les prostituées.
En réalité, sur la base des résultats de certaines recherches, « la fidélité et la circoncision masculine semblent avoir eu de bons effets en Afrique, aboutissant à une réduction de 60 % dans la réduction du Hiv ».
Aux Etats-Unis, entre 1982 et 1985, quand on ne parlait plus du Sida comme de la slim disease, « les homosexuels et les héroïnomanes étaient considérés comme des groupes très stigmatisés et marginalisés » et « personne ne pouvait lancer de jugement moral sur leurs habitudes sexuelles parce qu'il s'agissait de la sphère privée et cela était donc intouchable ».
La liberté sexuelle, a souligné Green, était considérée par la communauté « gay » comme une conquête, fruit d'une longue bataille à laquelle on ne pouvait pas renoncer.
Quand ensuite les Etats-Unis ont commencé à lancer des programmes au niveau international, exportant le modèle centré sur le préservatif aux autres pays, indépendamment du mode de diffusion de l'épidémie, les personnes qui se sont montrées les plus intéressées ont été les activistes gays et les experts en planification familiale.
Le préservatif étant aussi une technologie à bas coût, a continué Green, « la prévention du Sida est devenue une sorte de business ».
En Ouganda, au contraire, qui
est fortement touché depuis 1986 par cette maladie, qui cause chaque
année plus de 900.000 morts, « le Sida a été considéré comme un
problème comportemental et pas seulement médical », a raconté Edward
Green.
« On a cherché à éviter et non pas à réduire le risque », en utilisant aussi la campagne des affiches destinées à faire peur aux gens, mais sans stigmatiser les séropositifs, afin de renverser le paradigme alors dominant.
On a donc pointé sur l'approche « ABC » du Sida (Abstain, Be faithful, use Condoms, c'est-à-dire Abstinence, Fidélité, Préservatif) avec une campagne lancée en 1987 et destinée à sensibiliser les personnes sur l'importance de rester vierge jusqu'au mariage, d'éviter les relations sexuelles occasionnelles et de n'avoir qu'un seul partenaire.
Cette mobilisation dans un pays symbole - l'Afrique subsaharienne - a mené à une réduction des séropositifs passés de 21% à la fin des années 1980 à 6,4% en l'an 2000, et une réduction du Hiv de 75% chez les personnes ayant entre 15 et 19 ans, et de 60% chez les 20-24 ans.
Source : Zenit.
Rédigé le 28 août 2009 à 19h51 dans Chrétien(s) au quotidien, Conférence/débat, Culture de vie, Economie et social, Jeunes, Notre Eglise, Sida | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu dans l'excellent Jeunesse Actuelle de juillet 2009 :
"On ne dit pas Jerrican mais j'me bidonne."
Rédigé le 28 août 2009 à 19h33 dans Détente | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Entendu dans la bouche de Michel Rocard le 28 juillet dernier sur France-Info :
« Le principe, c’est que la Terre est protégée de radiations excessives du soleil par l’effet de serre (sic), c’est à dire une espèce de protection nuageuse, enfin protection gazeuse qui dans l’atmosphère est relativement opaque aux rayons du soleil. Et quand nous émettons du gaz carbonique ou du méthane ou du protoxyde d’azote, un truc qu’il y a dans les engrais agricoles, on attaque ces gaz, on diminue la protection de l’effet de serre et la planète se transforme lentement en poële à frire. Le résultat serait que les arrière-petits-enfants de nos arrière-petits-enfants ne pourront plus vivre. La vie s’éteindra à sept huit générations, c’est complètement terrifiant (sic). »
On se cotise pour lui offrir un abonnement à Image Doc ?
Rédigé le 28 août 2009 à 19h28 dans Ecologisme, Economie et social, Environnement, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Ces dernières années, nous avons vu des exemples de petits groupes de personnes qui peuvent se livrer à un suicide collectif. En 1978, 918 membres du Temple du Peuple dirigé par Jim Jones périrent empoisonnés après avoir bu du koolaid. En 1997, 39 membres de la secte La Porte du Ciel décédèrent après s'être drogués et attachés des sacs de plastique autour de leur tête. Malheureusement, l'histoire démontre également qu'il est possible pour toute une civilisation de se suicider en détruisant délibérément les moyens de sa subsistance.
Au début du XIXe siècle, les Britanniques ont colonisé l'Afrique du Sud. Les indigènes Xhosa résistèrent, mais souffrirent des multiples défaites humiliantes face aux forces militaires britanniques. Les Xhosa finirent par perdre leur indépendance et leur terre natale devinrent une colonie anglaise. Les Britanniques adoptèrent une politique d'occidentalisation des Xhosa. Ceux-ci doivent être convertis au christianisme, leur culture et leur religion doivent être anéanties. Sous la pression d'une technologie supérieure et irrésistible, les Xhosa développèrent un sentiment d'inadaptation et d'infériorité. Dans ce contexte apparut un prophète.
En avril 1856, une fille de quinze ans, Nongqawuse entend une voix lui dire que les Xhosa doivent tuer tous les bovins, arrêter de cultiver leurs champs et détruire leurs stocks de céréales et d'aliments. La voix insiste pour que les Xhosa se débarrassent aussi de leurs houes, ustensiles de cuisine et tous les outils nécessaires au maintien de la vie. Une fois ces choses accomplies, une nouvelle ère va naître magiquement. Tout ce qu'il faut pour la vie va surgir spontanément de terre. Les morts seront ressuscités. Les aveugles verront et les vieux retrouveront leur jeunesse. La nourriture et du nouveau bétail vont réapparaître en abondance, sortant spontanément de terre. Les Britanniques seront acculés à la mer et l'ancienne gloire des Xhosa sera restaurée. Ce qui est promis n'est rien de moins que la création du paradis sur Terre.
Nongqawuse raconte cette histoire à son oncle et tuteur, Mhlakaza. Dans un premier temps, l'oncle était sceptique. Mais il devient croyant après avoir accompagné sa nièce à l'endroit où elle a entendu la voix. Bien que Mhlakaza n'ait rien entendu, il est devenu convaincu que Nongqawuse a entendu la voix de son défunt père dont les instructions doivent être respectées. Mhlakaza devient le prophète en chef et leader du mouvement d'extermination du bétail.
Les nouvelles de la prophétie se propagent rapidement et en quelques semaines, le roi des Xhosa, Sarhili, devient un converti. Il ordonne aux Xhosa d'abattre leur bétail et, dans un acte symbolique, tue son boeuf favori. Pendant que l'hystérie s'étend, d'autres Xhosa commencent à avoir des visions. Certains voient les ombres des morts ressuscités surgir de la mer, roder parmi les joncs en bordure de rivières ou même flotter dans l'air. Partout où les gens regardent, ils trouvent des preuves à l'appui de ce qu'ils tiennent désespérément pour être vrai.
Les croyants commencent leurs oeuvres pour de bon. D'importantes quantités de céréales sont retirées des silos et épandues par terre pour finir par pourrir. Le bétail est tué si rapidement à une échelle telle que les vautours ne parviennent pas à dévorer tous les cadavres en décomposition. Le nombre ultime de bétail que les Xhosa ont abattu se monte à 400.000. Après avoir tué leur bétail, les Xhosa construisent de nouveaux kraals [enclos] plus pour tenir les nouvelles bêtes magiques qu'ils s'attendent à voir sortir de terre. L'élan de ce mouvement est devenu irrésistible.
La résurrection des morts est prévue pour la pleine lune de juin 1856. Rien ne s'est produit. Le prophète en chef du mouvement d'extermination du bétail, Mhlakaza, repousse la date à la pleine lune du mois d'août. Mais une fois de plus, la prophétie ne se réalise pas.
Le mouvement d'extermination du bétail commence désormais à entrer dans sa phase finale et mortelle, qui est inévitable de par sa propre logique interne. L'échec de la prophétie a été imputé sur le fait que l'extermination du bétail n'est pas complète. La plupart des croyants a conservé un peu de bétail, principalement des vaches laitières qui fournissent une source de nourriture immédiate et continue. Pire encore, il y avait une minorité de sceptiques non-croyants qui ont refusé de tuer leur bétail.
La saison des plantations d'automne arrive et s'en va. Les croyants ont jeté leurs pelles dans les rivières et n'ont pas semé une seule graine. En décembre de 1856, les Xhosa commencent à être tiraillés par la faim. Ils fouillent les champs et les bois à la recherche des baies et des racines et essayent même de manger l'écorce des arbres. Mhlakaza fixe une nouvelle date au 11 décembre pour la survenue de la prophétie. Lorsque l'événement prévu ne se produit pas, les mécréants sont blâmés.
La résurrection est reportée une fois encore pour 16 février 1857 mais les croyants sont de nouveau déçus. Même après tout ce temps, le croyant moyen possède encore trois ou quatre têtes de bétail vivantes. L'échec répété des prophéties ne pouvait que signifier que les Xhosa n'avaient pas réussi à remplir la condition nécessaire qui consiste à tuer jusqu'au dernier tout le bétail. Maintenant, enfin, ils commencent à aller jusqu'au bout du processus de mise à mort. Non seulement les bovins ont été abattus, mais aussi les poules et les chèvres. Tous les moyens de subsistance doivent être détruits. Tout le bétail qui pourrait avoir échappé à l'extermination plus tôt est désormais abattu pour la nourriture.
Une famine sérieuse débute à la fin du printemps de 1857. Toute nourriture a disparu. La population affamée va jusqu'à manger la nourriture des chevaux. Les gens ramassent les os qui ont blanchi sous le soleil pendant des années pour essayer d'en faire de a soupe. Ils mangent de l'herbe. Rendus fous par la faim, certains pratiquent le cannibalisme. Affaiblis par la famine, les membres de la famille se résignent à regarder les chiens dévorer les cadavres de leurs conjoints et de leurs enfants. Ceux qui ne meurent pas directement de faim succombent à la maladie. Jusqu'à la fin, les véritables croyants ne renoncent jamais à leur foi. Ils meurent simplement de faim en blâmant l'échec de la prophétie sur le doute des non-croyants.
À la fin de 1858, la population des Xhosa a chuté de 105.000 à 26.000. Quarante à cinquante mille personnes sont mortes de faim et le reste a migré. Avec la civilisation Xhosa détruite, le terrain est libre pour la colonisation des blancs. Les Britanniques constatent que ceux des Xhosa qui ont survécu sont des servants dociles et utiles. Ce que l'Empire britannique n'a pas été en mesure d'accomplir en plus de cinquante ans de colonialisme guerrier, les Xhosa l'ont fait par eux-mêmes en moins de deux ans.
La civilisation occidentale est maintenant sur le point de répéter l'expérience des Xhosa. Depuis l'avènement de la révolution industrielle à la fin du XVIIIe siècle, l'Europe et l'Amérique du Nord ont bénéficié de la plus grande prospérité jamais connue sur Terre. L'espérance de vie a doublé. En un peu plus de deux cents ans, chaque mesure objective du bien-être humain a augmenté plus que dans l'ensemble de l'histoire de l'humanité.
Mais la civilisation occidentale est en roue libre sur une impulsion donnée par nos ancêtres. Il n'y a presque personne vivant en Europe ou en Amérique aujourd'hui qui croit en la supériorité de la société occidentale. La culpabilité et la honte nous pendent au cou comme des meules et conduisent notre culture émasculée vers l'auto-immolation. Quels que soient les défauts des bâtisseurs de l'Empire britannique, eux au moins croyaient en eux-mêmes.
Nos ancêtres ont bâti une civilisation technologique basée sur l'énergie carbonée des combustibles fossiles. Sans l'énergie bon marché et fiable fournie par le charbon, le pétrole et le gaz, notre civilisation s'effondrerait rapidement. Les prophètes du réchauffement climatique veulent que nous fassions exactement cela.
Comme le prophète Mhlakaza, Al Gore a promis que si l'on cesse d'utiliser l'énergie à base de carbone, de nouvelles technologies de l'énergie vont apparaître par magie. Les lois de la physique et de chimie seraient abrogées par la volonté politique du pouvoir. Nous allons atteindre la prospérité par la destruction de tous les moyens grâce auxquels la prospérité est créée.
Alors que la civilisation occidentale est en pleine confusion, paralysée par le doute et la culpabilité, les Chinois sont en train de construire rapidement une civilisation technologique intensive en énergie. Ils ont 2000 centrales électriques alimentées au charbon et en construisent une nouvelle par semaine. En Chine, plus de gens croient en l'économie de marché libre qu'aux États-Unis. Nos amis asiatiques sont sur le point d'être désignés par l'histoire comme les nouveaux relayeurs du progrès humain.
David Deming, professeur agrégé d'Arts et des Sciences à l'Université de l'Oklahoma
Rédigé le 28 août 2009 à 19h18 dans Ecologisme, Environnement, Histoire, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Par 40 voix sur 53, la chambre des députés d’Uruguay – 3,4 millions d’habitants – a adopté jeudi un projet de loi autorisant l’adoption par les couples homosexuels. L’entrée en vigueur définitive de la loi est prévisible puisque le sénat uruguayen, qui avait déjà approuvé le projet sous une forme légèrement différente, ne devrait pas se dédire. Il devrait voter le projet d’ici au 15 septembre. L’Uruguay devient ainsi le premier pays d’Amérique latine à entériner une révolution aussi fondamentale de sa société (...).L’Eglise catholique avait vivement combattu le projet, publiant les avis de son comité de bioéthique et multipliant les mises en garde. Ainsi Mgr Nicolas Cotugno, archevêque de Montevideo, avait déclaré que son opposition ne reposait pas sur des exigences religieuses ou philosophiques mais sur les réalités de la nature humaine et sur les « droits de l’enfant » : « Les enfants ont besoin d’un père et d’une mère comme référents naturels, c’est un droit qu’on ne peut leur ôter. »
Cela n’a pas suffi dans ce pays majoritairement catholique mais où la franc-maçonnerie exerce depuis longtemps une influence très importante.
Il faut souligner aussi que la pression en faveur de la légalisation de l’adoption homosexuelle et de tous les « droits gay » s’exerce de manière de plus en plus contraignante par le biais des organisations internationales comme l’ONU, non à travers des instruments légaux signés par les Etats mais par le jeu des comités et commissions de surveillance mandatés par elles pour peser sur les législations nationales.
Suite aux élections législatives du 7 juin, le Premier ministre Jean-Claude Juncker (membre du Parti populaire chrétien social) a publié le Programme gouvernemental (après les élections...). On y trouve :Et la zoophilie, c'est pour la prochaine mandature ?
- gratuité de la contraception jusqu'à 25 ans (p.117)
- l'extension du "droit" à l'avortement (p.92)
- l'éducation sexuelle (et à la contraception) à l'école (p.117)
- le "mariage" homosexuel (p.108)
- la réforme de l'adoption, permettant l'adoption aux homosexuels (p.208)
Rédigé le 28 août 2009 à 19h11 dans Antichristianisme, Avortuerie, Culture de mort, Culture de vie, SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Il n'empêche que dans un billet publié hier dans Direct Soir, Jacques Séguéla se déclare «Allègro écolo». Le publicitaire apporte un soutien enthousiaste à l’ancien ministre de l’Education, partisan de l’«écologie productive» et adversaire revendiqué des Grenelle et autre taxe carbone.
Et quand Séguéla aime, il ne fait pas semblant : Allègre «est à la science ce que Prévert est à la littérature, Gainsbourg à la chanson, Coluche à l’humour. L’empêcheur de penser en rond.»
Rédigé le 28 août 2009 à 18h53 dans Ecologisme, Economie et social, Environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"On ne dit pas faire semblant mais apartheid."
Rédigé le 28 août 2009 à 18h45 dans Détente | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Alexandre Simonnot, conseiller municipal de Taverny et responsable du Front national en Seine-Saint-Denis, communique :
ThibaudIl semblerait que la Butte Montmartre soit désormais devenue interdite à tout rassemblement catholique.
Après avoir interdit, en juin dernier, la traditionnelle messe d’arrivée du Pèlerinage de Chartres sur la Butte Montmartre, la Mairie de Paris a refusé au Recteur de la Basilique du Sacré-Cœur l’autorisation d’organiser demain un grand concert catholique sur la même Butte.
Motif invoqué par les amis de Bertrand DELANOE ? « La préservation de la tranquillité des riverains »
C’est connu, l’annuel déferlement hystérique et anti-famille de la Gay Pride n’a jamais dérangé personne !...
Addendum 18h45 : plus d'infos sur l'annulation du concert ici.
Rédigé le 28 août 2009 à 13h58 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Notre Eglise, SOS Homofolie, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Nouvelle amusement des détraqués pervers que produit en masse la modernité, les combats de clochards se multiplient, au risque d'inquiéter les administrations publiques américaines. Les SDF sont devenus une nouvelle minorité qu'il est toléré de haïr. Eux, ils ne disposent de SOS Racisme, de Don Quichotte, de Touche pas à mon pote. Pour un paquet de bière ou pour quelques dollars promis par un particulier en mal de "sensations", ils se battent, au risque de se retrouver ensuite sur Youtube. 5700 vidéos, paraît-il. Bientôt, le crime sera sur Youtube...
Il est curieux de constater qu'à une époque où l'on parle sans cesse de "droits de l'homme", la dignité humaine soit si peu respectée.
D'ailleurs, en parallèle, le métro de Moscou vient de réhabiliter Staline dans ses couloirs. Le patron avoue que s'il avait pu retrouver la statue original de Staline, il l'aurait volontiers remise. La dignité est tombée bien bas.
Didyme
Rédigé le 27 août 2009 à 21h29 dans Culture de mort | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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au traité de Lisbonne. Intel aussi. Les pêcheurs irlandais, eux, voteront "non".
Thibaud
Rédigé le 27 août 2009 à 19h33 dans Economie et social, Elections européennes, L'UE au quotidien | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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film de Quantin Tarantino, avec Brad Pitt, Christoph Waltz, Mélanie Laurent, Diane Kruger, Daniel Bruhl, Til Schweiger, Jacky Ido, Eli Roth, Mike Myers.
synopsis: Durant la seconde Guerre mondiale, le lieutenant Aldo Raine entraine un commando de soldats juifs américains qui doit être parachuté en France afin d'éliminer un maximum de soldats nazis. Ce petit groupe se fait bientôt connaitre du haut commandement allemand sous le nom redouté des bâtards. En juin 1944, le groupe a pour mission de faire sauter à l'explosif un cinéma, avec l'aide d'une vedette allemande agent double, où se réunira tout le gratin du IIIe Reich pour la projection d'un film de propagande. Parallèlement, Shoshana, une jeune femme juive qui a échappé au massacre de sa famille par des SS trois ans plus tôt et qui dirige le cinéma en question décide de l'incendier avec l'aide de son assistant. Mais c'est sans compter sur l'intervention de l'officier SS Hans Luda, perspicace et obstiné, qui doit assister à l'évènement. Tout ce beau monde va se télescoper à l'occasion de la projection.
commentaire: Habituellement, je ne chronique sur e-deo que des films m'ayant aprticulièrement plu ou ayant un rapport direct avec le site. Aucune des deux caractéristiques ne se retrouvent dans le dernier film de Tarantino, mais il m'a semblé intéressant d'en faire une analyse poussée étant donné le sujet.
Quentin Tarantino, réalisateur parmi les plus branchés, plébiscité par le public, acclamé par la critique (et aussi largement surestimé à mon humble avis) décide d'aborder un sujet historique, celui de la seconde Guerre mondiale, un cadre plutôt inattendu de la part du réalisateur de "Réservoir dogs", "Pulp fiction" et "Jackie Brown". Le fil est en fait un remake d'un film de guerre italien de 1978 réalisé par Enzo G Castellari (lequel fait d'ailleurs une courte apparition dans le film de Tarantino) et non des "douze salopards" de Robert Aldrich contrairement à ce que l'on pourrait croire. N'ayant pas vu l'original, je ne ferai aucune comparaison avec son remake qui doit, de toute façon, être très librement inspiré.
Le film de Tarantino reste très fidèle à l'ensemble de la filmographie du réalisateur : beaucoup de temps longs servis par d'interminables dialogues (Après le slasher verbeux "Boulevard de la mort", voici le film de guerre verbeux, QT fidèle à lui-même!), personnages bien barrés dont on arrive à penser qu'ils devrait tous se trouver dans un asile psychiatrique, scènes de violence déjantées et désordonnées agrémentées d'une épaisse couche de sadisme, humour bien lourd et une poignée de références au cinéma bis des années 1980. Ah et aussi un embryon de scénario dans lequel il ne se passe pas grand chose de neuf. L'affiche du film et la bande-annonce résumme très bien l'histoire: En gros, tous les protagonistes non nazis du film s'acharnent à démontrer que les nazis sont vraiment trrrès méchants et s'ingénient à les massacrer de toutes les façons immaginables: à la mitraillette, au revolver, au couteau, à l'explosif et même à la batte de base-ball! Bref, encore une ode délicate et hautement morale à la violence gratuite déchainée contre des cibles faciles histoire d'être bien dans l'air du temps. J'immagine assez bien, d'ici quelques années, une biographie élogieuse de Tarantino affirmant, entre autres, que ce grand artiste a réalisé un film courageux qui dénonça clairement le nazisme dés 2009! Signalons aussi que le film prend de sérieuses libertés avec l'histoire puisque nous y apprenons que Hitler ne s'est pas suicidé dans un obscur bunker berlinois le 30 avril 1945 mais fut tué à coup de mitraillettes en compagnie de Goebbels par un commando américain surarmé (et joué par Eli Roth, réalisateur du film d'horreur pas effrayant "Hostel et grand copain de Tarantino) dans un cinéma parisien en juin 1944. N'oublions pas enfin le portrait ultra caricatural et politiquement correct de la France de l'occupation (en gros, les seuls héros français sont un noir et une juive, Mélanie Laurent, on aperçoit rapidement un ou deux collabos bien franchouille, plus dans l'air du temps, à part Luc Besson, je ne vois pas!). Parmi les quelques points positifs (si, si, il y en a!), signalons l'excellence des acteurs. Tarantino étant bankable peut avoir n'importe quel casting et a bien réussi celui-ci, à l'exception notoire de Brad Pitt qui, pour jouer les durs, ne trouve rien de mieux que de froncer en permanence les sourcils et de prendre un air constipé, ce qui fait qu'il a l'air aussi crédible en militaire baroudeur que le serait Djamel Debbouzze en roi de France! Par opposition, Christoph Waltz, interprète de l'officier SS machiavélique Hans Luda, est on ne peut convaincant, parvenant même à rendre son personnage plus sympathique que les bâtards d'Aldo Raine malgré l'horreur de ses actes (le propre des bons acteurs, un peu comme Robert Knepper avec Théodore Bagwell dans "Prison break"). Signalons que l'acteur incarnant Hitler fait preuve d'un cabotinage que n'aurait pas renié Henri Tisot dans "Le fuhrer en folie" de Philippe Clair. La mise en scène est indéniablement efficace mais sans aucun génie, n'en déplaise à ses fans, Tarantino se contente de nous refaire les mêmes plans alambiqués qu'il fait pour chacun de ses films et qu'on a déjà vu ailleurs (son plan séquence fait beaucoup penser à ceux des films de Brian De Palma). Le rythme est plutôt bien dosé malgré les sempiternels verbillages qui parsèment le film. De toute façon, au vu de son succés au box-office et de la pub monstre qui lui a été faite, le film ne risque pas d'arrêter la carrière de son réalisateur ni de dégonfler la baudruche Tarantino (idem pour Luc Besson).
En clair, un divertissement branchouille techniquement bien foutu, mais aussi creux que conformiste et à la moralité plus que douteuse. Un cran au-dessus de "Boulevard de la mort" (pas difficile), mais pas le chef d'oeuvre annoncé, loin s'en faut. Si vous êtes fan de QT, vous pouvez allez le voir, mais si vous préfèrez un film réaliste et artistiquement supérieur sur l'occupation allemande de la France, je vous recommande plutôt "Lacombe Lucien" de Louis Malle et si vous désirez une version comique, "Papi fait de la résistance" de Jean-Marie Poiré.
Raspail
Rédigé le 27 août 2009 à 15h59 dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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On apprend que:
La mairie de Paris a commencé à mettre en place l'interruption volontaire de grossesse (IVG) par voie médicamenteuse dans les centres de planification de la ville, afin d'améliorer l'accès à l'avortement "défaillant" dans la capitale, a annoncé jeudi une élue. "Nous voulons inscrire les centres de planification dans la pratique de l'IVG médicamenteuse", a déclaré Fatima Lalem, adjointe à la mairie de Paris chargée de l'égalité femmes-hommes. "D'ici la fin de l'année, cette pratique sera possible dans cinq centres de planification et dans les autres, une montée en charge est prévue", a-t-elle poursuivi.
Les méfaits de la culture de mort sont toujours intolérables et doivent plus que jamais être combattus avec vigueur. Benoît XVI rappelait d'ailleurs dans son dernier déplacement en Autriche (2007) que :
"L'avortement ne peut être un droit humain. Il est son contraire."
La marche pour la vie du 17 janvier prochain sera organisée pour faire entendre la voix de ces enfants que l'on a fait taire.
Enguerand
Rédigé le 27 août 2009 à 15h01 dans Avortuerie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu sur Alerte-Environnement à propos de la taxe carbone à 15 euros la tonne de CO2 proposée mercredi par Christine Lagarde :
A priori, si l’on compare la France à ceux de nos voisins européens qui ont institué une taxe carbone, nous nous situons en bas de la fourchette. En effet, selon l’OCDE, la taxe carbone en Norvège s’étale de 10 à 40 euros par tonne de CO2. En Finlande, elle varie entre 30 à 50 euros. Au Royaume-Uni entre 17 et 34 euros. La Suède bat tous les records avec 300 euros de taxe carbone par tonne de CO2 !!!
Mais la Suède a commencé en 1991 avec une taxe carbone beaucoup plus basse : l’équivalent de 27 euros la tonne. En 18 ans, son montant aura donc été multiplié par 11 !
Ambroise
Rédigé le 27 août 2009 à 08h24 dans Ecologisme, Economie et social, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 27 août 2009 à 08h20 dans Détente, Ecologisme, Environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 27 août 2009 à 08h14 dans Promenade sur la toile | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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