Lu sur LePoint.fr suite aux révélations du Quotidien de la Réunion :
Contacté par lepoint.fr, le cabinet du ministre conçoit que Frédéric Mitterrand a agi, ici, avec une certaine légèreté, n'écoutant que son "bon coeur". N'empêche, la lettre crée un immense malaise. Frédéric Mitterrand, directeur de la Villa Médicis, projette ici d'utiliser les moyens de l'État pour se porter au secours de deux violeurs condamnés. La victime, une jeune fille âgée de 16 ans, a été l'objet d'une tournante sous la menace d'un couteau...
(...) Contacté par lepoint.fr vers 19 h 15, l'Élysée, pris de court, découvrait l'histoire. Une réaction est attendue après concertation avec Nicolas Sarkozy et François Fillon.
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