Cécile Philippe, directrice générale de l’Institut économique Molinari dénonce le fait que :
Les personnes qui se montrent sceptiques à l’égard des origines du changement climatique sont trop souvent considérées comme immorales ou malhonnêtes. Il y a quelques mois, le secrétaire à l’environnement britannique David Milibrand assimilait ceux qui nient le changement climatique aux défenseurs modernes de l’idée que la Terre est plate. Récemment, la Société Royale de Londres – l’équivalent de l’Académie des Sciences française – a tenté de réduire au silence les ‘sceptiques’ du changement climatique en incitant une grande entreprise à cesser de les financer au motif qu’ils « déforment la science du changement climatique. »
Il en va de même chez nous où le simple fait de s’interroger sur l’origine humaine du réchauffement global peut vous amener à être accusé de négationnisme, à l’instar de ce qui vient d’arriver à Claude Allègre. Une chroniqueuse australienne est même allée plus loin en affirmant : « il existe peut-être une raison pour faire du déni du changement climatique une infraction. C’est un crime contre l’humanité, après tout. »
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