Grâce au revirement du Parti libéral d'Australie dirigé par Tony Abbott (un catholique pro-vie), le Parlement a rejeté le projet de loi du gouvernement visant à imposer les industries polluantes (donc à faire payer le consommateur) sous la forme de permis de polluer monayables.
"L'Australie ne doit pas adopter un système d'échange d'émissions avant le reste du monde" a justifié Tony Abbott.
Le Premier ministre Kevin Rudd (centre-gauche) souhaitait faire de l'Australie un exemple dans la lutte contre le supposé réchauffement climatique (dont les origines anthropiques ne sont pas prouvées), en faisant adopter son projet par le Parlement avant le sommet de Copenhague. Il devrait être proposé de nouveau en février aux parlementaires mais sa formation, le Labour australien, est minoritaire au Sénat. Si le projet de loi est rejeté de nouveau, cela pourrait provoquer des élections anticipées (elles doivent de toutes les mannières avoir lieu fin 2010).
L'Australie a son ministre du réchauffement climatique et de la mer, Penelope "Penny" Ying-yen Wong, par ailleurs homosexuelle militante.
Dommage que votre article entretienne la confusion entre pollution et réchauffement climatique.
Ce n'est pas parce que le réchauffement climatique n'est pas d'origine humaine qu'il ne faut pas lutter contre les "indutries polluantes".
Ces industries sont probablement à l'origine de l'augmentation vertigineuse du taux d'infertilité humaine.
(MOD : lutter contre les industries polluantes, pourquoi pas. En aidant la recherche ou en relevant les normes. Mais en profiter pour créer de nouvelles taxes, non! A la fin, c'est vous et moi qui payons.)
Rédigé par : mohammedovitch | 02 décembre 2009 à 12h05