Communiqué
Dans l’affaire des profanations de deux cimetières toulousains, le juge d’instruction a identifié et mis en examen des individus à l’encontre desquels il a retenu de très importantes charges.
Ces individus appartenant à des groupes dit musicaux d’inspiration selon les cas, et selon leurs dires, lucifériennes ou satanistes, ont affirmé, ce qui ne surprend pas en effet, puiser leur motivation dans la plus véhémente haine anti-chrétienne.
L’intervention de l’Agrif a contribué à la prise en compte de ce racisme dans la mise en examen.
L’Agrif attend maintenant le procès au cours duquel plaidera son avocat Me Pierre Bonneau, du barreau de Toulouse.
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