Reportage de France 3 pendant la messe du 10 janvier. Des journalistes de la presse nationale étaient présents.
L'affaire prend de l'ampleur, un groupe Facebook de soutien à l'abbé Michel s'est même constitué.
Enguerran
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La charité ne fait pas de bruit.
J'ai très très peur pour le mal qui va rester de ces esbroufes.
Rédigé par : Vince | 11 janvier 2010 à 08h51
Nourrichard, substantif masculin
Evêque déchristianisateur : En 2009, la France comptait, selon les observateurs bien informés, plus de soixante nourrichards (étymologie : de Christian Nourrichard, évêque d’Evreux de 2006 à 2010, nommé ensuite évêque in partibus infidelium de Tubulbaka).
Rédigé par : furgole | 11 janvier 2010 à 14h48
MAIS furgole, C'EST PAS POSSIBLE DE LIRE CA!!!
VOUS CROYEZ QUE VOUS ALLEZ SAUVER L'EGLISE PEUT-ETRE!
CE N'EST PAS VOUS QUI DETENEZ LA VERITE, ALORS UN PEU D'HUMILITE!
Si en effet Monseigneur s'est fourvoyé, alors une procédure dans le respect de la hiérarchie est à faire, votre propos n'aide que l'oeuvre du malin.
J'ai grandi dans un monde méfiant de nos Evêques, mais dans une famille obéissante, et fort de cette expérience, je vous en conjure, ne cedez pas à la tentation de vous servir de votre juste souffrance pour raillez l'Eglise. L'Eglise n'est pas Rome toute seule, ou l'ensemble des prêtres plus le Pape, l'Eglise est tout, de Rome jusqu'au servants de messes, EVEQUES COMPRIS!
Et vous, les modos, est-ce faire oeuvre de Paix que de publier des textes insultant notre clergé?
Rédigé par : Vince | 11 janvier 2010 à 16h12
@ Vince :
Le problème est que l'on ne peut pas défendre l'Abbé Michel sans taper sur Mgr Nourrichard.
L'Abbé est un prêtre. Un simple prêtre, qui prêche comme un prêtre, baptise comme un prêtre, enterre comme un prêtre, catéchise comme un prêtre... Bref, un prêtre qui fait(bien) son boulot de prêtre. Que voulez-vous qu'on en dise ?
Le soutien à l'Abbé Michel ne se comprend qu'en soulignant que l'évêque et les autres prêtres du diocèse ne font PAS ce boulot de prêtre, justement. On ne peut pas défendre l'Abbé Michel sans expliquer que les prêtres susceptibles de le remplacer prêchent des hérésies, refusent les sacrements, abdiquent tout leur sacerdoce pour une posture idéologique... et s'opposent ouvertement (cf. les numéros du magasine "Eglise d'Evreux") au Saint Père et à l'Eglise.
J'ai cherché moi aussi comment il était possible de défendre l'Abbé Michel et de faire comprendre à quel point certaines situations exceptionnelles obligeaient à une désobéissance tout aussi exceptionnelle.
Seulement, il est impossible de le faire sans pointer du doigt les responsables du scandale. Un scandale qui dépasse de très loin le simple cas de l'Abbé Michel, et qui n'est rendu visible que parce que - pour une fois ! - les fidèles se sont manifestés violemment contre une "mise au placard" qui a frappé de nombreux prêtres en France depuis la publication du Motu Proprio Summorum Pöntificum.
Rédigé par : AncillaDomini | 12 janvier 2010 à 17h31
Quant à dire que la plupart des évêques français ne sont pas catholiques... C'est malheureusement un fait.
Lisez leurs publications, écoutez leurs homélies, consultez les sites de leurs diocèses : des attaques - directes ou indirectes - contre le Saint Père aux déformations du Catéchisme de l'Eglise Catholique, la panoplie est complète. Elle inclut bien évidemment le silence sur les directives données par le même Saint Père... qui correspondent rarement à leur vision de la "pastorale".
Les pressions continuelles que subissent la poignée d'évêques jeunes et fidèles à Rome, autant de la part de leurs confrères que de la part de leurs propres prêtres, n'est pas une énième "théorie du complot" traditionaliste, mais bien la réalité. Même Golias s'en rengorge.
D'ailleurs, étant plus ou moins "hors-circuit", les traditionalistes en sont souvent les moins bien informés et s'en prennent régulièrement à des évêques "raztingeriens" à qui leurs prêtres ultramodernistes ont lié les mains.
Rédigé par : AncillaDomini | 12 janvier 2010 à 17h51
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Laudetur Iesus Christus ! Semper laudetur !
... la tactique est toujours la même pour mettre fin à la réussite pastorale de certains prêtres de tendance traditionaliste.
1.- On les déplace au confin d'un diocèse, tout au fond d'une vallée perdue et dans des villages sans avenir.
2.- On les classe dans la catégorie "traditionaliste" (sinonyme d'inutilisable.
3.- Lorsqu'ils ont remonté la pastorale locale et que le succès de la pastorale "à l'ancienne" (selon la tradition) est bien visible, on les décapite pour les neutraliser en les envoyant dans des zones encore plus désertique du diocèse.
... En France, on trouve ces prêtres "déportés" dans des endroits incroyables où personne ne songerait les trouver.
... Ouvrez les yeux ! Au nom d'une certaine idéologie conciliare, ces prêtres-là sont à envoyé à la déportation.
Viva Cristo Rey ! Viva !
RZL - Radio Zone Libre
www.rzl.fr.fm
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Rédigé par : RZL - Radio Zone Libre | 13 janvier 2010 à 16h22