Chantal Jouanno, secrétaire d’Etat chargée de l’écologie et tête de liste de l’UMP à Paris pour les élections régionales, vient de se déclarer favorable à l’adoption par des couples homosexuels, parce que, dit-elle, sans sembler s’apercevoir de ce qu’il peut y avoir de contradiction entre ces deux arguments, «Dans l’intérêt de l’enfant, il faut un couple stable» et il est nécessaire de «reconnaître la société telle qu’elle est» (Le Figaro du 4 février 2010). Famille et Liberté appelle chacun à faire savoir à François Fillon, Premier ministre, et à Xavier Bertrand, Secrétaire général de l’UMP, que cette déclaration lui paraît incompatible avec les responsabilités qui sont les siennes.
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Vous pouvez également adresser vos remarques à François Fillon et Xavier Bertrand aux adresses suivantes :
Appel à François Fillon : http://www.gouvernement.fr/premier-ministre/ecrire
Monsieur le Premier ministre,
Je tiens à vous faire part de mon indignation devant les propos de Mme Chantal Jouanno en faveur de l’adoption par les couples homosexuels (Le Figaro du 4 février).
Cette opinion me paraît en totale contradiction avec l’intérêt de l’enfant et avec les valeurs familiales défendues par votre gouvernement. Je souhaite que vous lui demandiez d’en tirer les conséquences quant à sa participation au gouvernement.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Premier ministre, l’expression de haute considération.
Appel à Xavier Bertrand : [email protected] ou à http://www.lemouvementpopulaire.fr/ (à objet du message, cliquer sur Xavier Bertrand)
Monsieur le Secrétaire général,
Je tiens à vous faire part de mon indignation devant les propos de Mme Chantal Jouanno en faveur de l’adoption par les couples homosexuels (Le Figaro du 4 février). Cette opinion, en totale contradiction avec l’intérêt de l’enfant et avec les valeurs familiales défendues par votre mouvement, la disqualifie à mes yeux pour la place de tête de liste, à Paris, lors des prochaines élections régionales. Je souhaite que vous mettiez fin à cette situation.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Secrétaire général, l’expression de mes sentiments distingués.
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