explique le Pape durant son trajet en avion vers le Portugal :
Thibaud
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Nous signalerons au lecteur d'e-deo cette vidéo qui laisse à penser que l'équipe du président polonais aurait été éliminée au sol :
http://www.youtube.com/watch?v=PxIFh3NkEvM
Rédigé par : Olivier | 13 mai 2010 à 05h55
"Le péché de l'Eglise" ou "le péché dans l'Eglise"? Il est important de rapporter de façon très précise ce qu'a dit le pape. En effet, parler du "péché de l'Eglise" revient à faire de l'Eglise, épouse du Christ, bénéficiant de l'assistance de l'Esprit Saint, une pécheresse. Je ne pense pas que le pape a voulu dire cela.
(MOD : je m'interroge en effet. La traduction de KTO est-elle bonne ? Un lecteur qui parle italien pourrait nous éclairer...)
Rédigé par : hildebrand | 13 mai 2010 à 16h52
Je suis italophone, si on m'indique une vidéo non doublée pour pouvoir écouter facilement, je veux bien vérifier la traduction.
Ceci dit, l'italien est vraiment facile pour un francophone. Avec une bande son correcte, une bonne oreille et un peu de déduction, à peu près n'importe-qui ne parlant pas italien devrait pouvoir le dire.
Rédigé par : Benjamin L | 13 mai 2010 à 17h35
"dans" l'Eglise et non "de l'Eglise" :
"Quant aux nouveautés que nous pouvons découvrir aujourd’hui dans ce message, il y a aussi le fait que les attaques contre le Pape et contre l’Église ne viennent pas seulement de l’extérieur, mais les souffrances de l’Église viennent proprement de l’intérieur de l’Église, du péché qui existe dans l’Église. Ceci s’est toujours su, mais aujourd’hui nous le voyons de façon réellement terrifiante : que la plus grande persécution de l’Église ne vient pas de ses ennemis extérieurs, mais naît du péché de l’Église et que donc l’Église a un besoin profond de ré-apprendre la pénitence, d’accepter la purification, d’apprendre d’une part le pardon, mais aussi la nécessité de la justice. Le pardon ne remplace pas la justice. En un mot, nous devons ré-apprendre cet essentiel : la conversion, la prière, la pénitence et les vertus théologales. Nous répondons ainsi, nous sommes réalistes en nous attendant que le mal attaque toujours, qu’il attaque de l’intérieur et de l’extérieur, mais aussi que les forces du bien sont toujours présentes et que, à la fin, le Seigneur est plus fort que le mal, et pour nous la Vierge est la garantie visible, maternelle, de la bonté de Dieu, qui est toujours la parole ultime dans l’histoire."
Rédigé par : hildebrand | 14 mai 2010 à 17h40