Se pourrait-il enfin qu'elle serve le bien commun ?
Jeannette Bougrab, présidente de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde), indique que les réclamations pour des discriminations liées à la grossesse ont été multipliées par cinq entre 2008 et 2009, dans un entretien au Parisien."C'est un sujet anxiogène pour de nombreuses femmes qui se projettent d'avance dans une situation d'exclusion", souligne Mme Bougrab. Les femmes estimant avoir été victimes de discrimination à ce sujet dans le cadre de leur travail peuvent saisir gratuitement la Halde qui les accompagne en tant "qu’"observateur", si elles décident de porter le dossier devant les prud'hommes.
Selon l'enquête, 12% ont ressenti une discrimination à l'annonce de leur grossesse, 11% dans leur travail quotidien, 11% pour obtenir un poste de responsabilité, 10% à leur retour de congé maternité, et 10% pour obtenir une augmentation.
Thibaud
Absurdités typiques de l'idéologie anti-discriminatoire :
"Selon l'enquête, 12% ont ressenti une discrimination à l'annonce de leur grossesse, 11% dans leur travail quotidien, 11% pour obtenir un poste de responsabilité, 10% à leur retour de congé maternité, et 10% pour obtenir une augmentation."
Evidemment qu'il y a une discrimination à l'annonce de la grossesse. On s'extasie sur votre état, on vous ménage, on évite de vous fatiguer : c'est discriminant. C'est mal.
Evidemment qu'on ne va pas vous confier un poste à responsabilité juste au moment où vous tombez enceinte : la grossesse ça fatigue, ça rend indisponible ; précisément le contraire de ce qu'on demande à quelqu'un à qui on confie des responsabilités accrues.
Evidemment qu'on ne va pas vous augmenter juste au moment où vous tombez enceinte : voire les motifs ci-dessus.
Bref, une femme n'est pas un homme, et ça c'est vachement discriminatoire.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 28 juin 2010 à 18h37