Bernard Antony communique :
Le ministre de l’immigration Eric Besson annonce qu’une étude sur « le coût de l’immigration illégale n’est pas tabou ». Voilà qui est bien. Même si, incroyablement, dans la chape de plomb totalitaire de l’antiracisme et du politiquement correct ce tabou a été longuement maintenu.
Mais depuis trop longtemps aussi demeure un autre tabou : celui du coût de l’immigration légale ! Etudier le premier coût et non le second est une absurdité.
Car l’immigration illégale fournit à peu près chaque année les contingents des grandes régularisations et elle se meut donc en immigration dite légale.
Cette immigration a un coût sans doute énorme. Elle produit un fort contingent de chômeurs et est affectée de tous les autres phénomènes sociaux dus au déracinement : communautarisation, délinquance, abus dans l’utilisation des caisses de solidarité nationale. Et l’on sait aussi combien fréquemment l’immigration dite légale exploite l’illégale. Mais ce dont on ne mesurera sans doute jamais véritablement le coût, c’est celui de la rupture d’homogénéisation de la société française avec, il est vrai, l’incompétence assimilatrice de notre système scolaire de non-éducation fondamentalement antinational.
Bonjour,
Ici la police réacosphérique de répression du vice grammatical et lexical et de promotion des vertus y afférentes.
Nous avons remarqué le passage suivant sur votre blog intitulé "e-Deo" :
"Car l’immigration illégale fournit à peu près chaque année les contingents des grandes régularisations et elle se meut donc en immigration dite légale."
Il s'agit à l'évidence d'une confusion entre le verbe muer et le verbe se mouvoir.
Il aurait fallu écrire "elle mue donc en immigration dite légale", ou "elle se transforme en immigration dite légale".
Le verbe se mouvoir est peu adapté au sens que la phrase souhaite transmettre, et ne saurait en tout état de cause être suivi de la préposition "en".
Nous sommes contraints d'inscrire un avertissement à votre dossier. Toute récidive vous contraindra à faire donner une bonne demi-douzaine de messes de réparation à Notre-Dame de Paris.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 09 juillet 2010 à 15h04
La première cause de l'immigration est le rapprochement conjoint car il devient de plus en plus difficile pour un Français surtout en région parisienne de trouver l'âme soeur, le nombre croissant de célibataires subits et l'exigeance toujours plus grande de la gente féminine contraignent les Français à chercher ailleurs ce qu'ils ne trouvent plus ici.
Rédigé par : abeille | 09 juillet 2010 à 18h46