La ministre de l'Economie a aussi expliqué au Financial Times du 23 août que la révision de 2,5 à 2% de la prévision de croissance sur laquelle sera basé le budget 2011, actée lors d'une réunion vendredi dernier autour de Nicolas Sarkozy dans le sud de la France, était "réaliste et prudente", et non pas trop optimiste comme le prétendent plusieurs économistes.
Les élections présidentielles de 2012 approchant, Nicolas Sarkozy n'osera pas prendre les mesures impopulaires (?) qu'il n'a pas été capable de prendre depuis son élection pour réduire les déficits. Principalement la réduction des dépenses publiques. Autant dire que les 6% de déficit devraient être dépassés en 2012.
Ambroise
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.