Mehdi Ouraoui, secrétaire national du Parti socialiste, Tahar Ben Chaabane, conseiller municipal Nouveau centre d’Orléans et Mourad Guichard, journaliste chez Libération choqués. Et pas invités, d'ailleurs.
Le quotidien de gauche joue la vierge effarouchée, notamment par cette phrase trouvée sur le groupe Facebook relatif à l'événement (en fait une blague de potache) : « Pour être certains de ne pas avoir de problèmes et de recevoir que des amis, je vous demande d’amener beaucoup de porc (égorgé avec le cul vers St Jacques de Compostelle de préférence, merci) et j’aurai de l’alcool à gogo. Merci de votre compréhension. ;-) ».
Soutien total aux deux créateurs du groupe.
C'est quand même ahurissant, ce tropisme musulman. Ils gueulent comme des veaux parce qu'ils sont prétendument discriminés, victimes du racisme, objets d'amalgames nauséabonds avec les terroristes et les intégristes qu'ils se défendent d'être.
Et, dès qu'ils accèdent au moindre poste de responsabilité (conseiller municipal, ministre, journaliste, chercheur-fonctionnaire...) -- preuve que la France, tellement "raciste", a su reconnaître leurs "mérites" -- ils s'empressent de louper une occasion de se taire, ils se précipitent pour se solidariser avec l'extrémisme, ils évitent soigneusement de réagir comme les Français normaux qu'ils prétendent être, et qui ne songent nullement à s'offusquer d'un apéro saucisson-pinard destiné à défendre les valeurs françaises et l'héritage français.
La contradiction ne les dérange pas.
Mais, à part ça, ils sont français comme vouzémoi. Et tout à fait "modérés", bien sûr.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 06 août 2010 à 18h36
Une église saccagée dans l'Aube
Lu ici :
"L’église Saint-Pierre de Pouan-les-Vallées, un édifice classé, vient de faire l’objet d’une opération de destruction caractérisée
[...] « C'est une véritable infamie », s'étrangle Paul Cantraine, le maire de Pouan, qui parle de « crucifix renversés, de lustres en verre éclatés sur le pavé, d'un autel renversé, de la corde d'une cloche arrachée, du chemin de croix incendié, etc. Le pire, c'est la destruction de la voûte en ogive, au-dessus du maître-autel », s'inquiète l'adjoint au maire, Georges Bracq, en montrant les pièces de craie venues se fracasser sur le meuble et sur le pavement.
Et là, les français musulmans et croyants, que disent-ils ? C'est autrement plus grave qu'une phrase ironique ? Imaginons qu'un pareil saccage soit fait dans une mosquée ou une synagogue...
Rédigé par : Rachel | 09 août 2010 à 23h05