[Lu dans Le Parisien de dimanche]Le "Grand Journal", l'émission phare de Canal +, a décidé de célébrer la Journée de la femme. Le 8 mars, il n'y aura donc aucun homme sur le plateau. Ni son animateur, Michel Denisot, remplacé par Ariane Massenet, ni les chroniqueurs, remplacés par des chroniqueuses, ni les cameramen, remplacés par des cadreuses... Même le public sera 100% féminin, tout comme les invitées.
par 40 militants du syndicat du livre pour protester contre l'impression du "gratuit" par Brodard graphique, une
entreprise dite de labeur (consacrée à l'impression des magazines et de
la publicité, NDLR). Ils réclament que Direct Matin soit imprimé dans une entreprise de presse.
"Le 28 janvier, par trois fois la Chambre des Lords a rejeté le projet
de loi sur l'égalité sexuelle voté par le Parlement. Ce projet
consistait à restreindre les possibilités de contrôle des Églises sur
leurs employés, sur les prêtres et religieuses. Harriet Harman,
ministre de l'Égalité, s'était jurée de faire disparaître le sacerdoce
catholique. L'enjeu était essentiellement le droit pour les femmes
d'accéder au sacerdoce, et pour les prêtres de s'orienter vers leur
gender (genre) dans le cadre du mariage, du concubinage, de leurs
aspirations homosexuelles ou transsexuelles. Les Églises auraient alors
été obligées de se soumettre à la loi. Les évêques catholiques
prévoyaient déjà de faire l'objet d'un torrent d'amendes qui aurait
abouti à la mise sous séquestre des biens d'Église, voire pour certain
d'entre eux de se retrouver en prison.
Il est à noter qu'à la suite de divers amendements, le projet de
loi n'a été rejeté que par une majorité de trois voix sur 349 votants."
lisez ce communiqué du PS où on apprend que "le droit à l’avortement" est "aujourd’hui remis en cause", que "la droite a récemment dénigré l’action du Mouvement Français pour le
Planning Familial (MFPF) et veut remettre en cause des crédits qui lui
sont alloués"...
A l'occasion de la Saint-Valentin, une "campagne de sensibilisation contre
l'homophobie et pour le respect des différences" parodiant le Baiser de l'Hôtel de ville de Robert Doisneau, vient d'être lancée par des associations homosexuelles comme le Mag, avec le soutien d'Animafac et de La Mutuelle Des Etudiants (LMDE, ex-MNEF). Trois versions vont cohabiter dont une représentant deux femmes s'embrassant sur la bouche et l'autre deux hommes en situation similaire.
8 000 affiches et 10 000 flyers vont être diffusés
pendant la semaine de la Saint-Valentin, principalement dans les
universités, grandes écoles, ainsi que plusieurs lycées de la région
parisienne.
Nous vous invitons à demander aux personnes les distribuant plusieurs dizaines de flyers pour "sensibiliser votre entourage" puis à les mettre à la poubelle juste après et à réserver aux affiches que voici l'accueil qu'elles méritent :
L'Association pour le Droit à Mourir dans la Dignité (ADMD) a
organisé [dimanche] pour ces 30 ans d'existence une réunion publique dans
les majestueux salons de d'Hôtel de Ville prêtés pour l'occasion par le
Maire de Paris.
C'est sur une scène ornée d'un
gigantesque triangle, qui est le logo de l'association, que se sont
entretenus fraternellement, Mireille Dumas ainsi que quelques
politiques (Manuel Valls, Jean-Paul Huchon, Anne Hidalgo, Jean-Luc
Romero...) devant un millier de personnes sensiblement plus âgées
qu'eux. Le public applaudit mollement et une personne âgée fait une
crise de larme au milieu de l'intervention de François De Closets,
auteur de "la Dernière Liberté".
Bon
nombre d'intervenants utilisent tour à tour le sondage qui stipule que
les Français veulent une loi sur l'euthanasie pour tenter de promouvoir
une révision de la loi Leonetti, développent la thématique de l'"IVV"
(Interruption Volontaire de la Vie) comparant ainsi leur combat à la
prétendue victoire du droit à l'IVG, et insistent sur la "liberté
Ultime" de l'euthanasie.
Plusieurs blogues ont déjà repris l'article rédigé par Mickaël Fonton, "Pourquoi je ne serai pas prof". Après l'énoncé des faits tragiques, il conclut : "Être prof dans ces conditions-là donne l’impression de participer,à son
corps défendant, à un vaste processus de destruction, ou à la parodie
d’un métier que personne n’osera plus qualifier de plus beau du monde."
Cet article qui traite surtout des IUFM n'est pas le premier du genre. Désormais, le statut d'ex-prof devient un genre littéraire. Souvenons-nous de Charlotte Charpot, qui publia en septembre dernier un livre intitulé "Madame, vous êtes une prof de merde", dont les interventions sur les radio (Europe 1, Radio-Courtoisie...) et dans les journaux témoignèrent de l'état de déliquescence de l'Éducation Nationale. Elle explique qu'il est impossible d'enseigner à des enfants qui répondent qu'en dealant, il gagneront deux fois plus qu'elle ; Elle témoigne aussi du racisme anti-blanc, anti-noir, anti-arabe ou anti-asiatique qui existe dans des écoles qui sont de véritables "coupe-gorge".
Déjà en 2008, un enseignant chercheur, Xavier Dunezat, avait démissionné pour souligner le raz-le-bol d'un système qui s'effondre sur lui-même. Plutôt de gauche, adepte de l'autogestion, il partait écoeuré par l'Éducation Nationale.
Dans tous les cas, le même schéma se reproduit : l'absence d'autorité des professeurs ne contribue qu'à développer l'ignorance en brisant toutes les relations humaines parmi les enseignants. A cela s'ajoute la volonté de ne rien imposer aux élèves. Le mythe de l'efficacité de la méthode globale sévit à plein. Les élèves ne savent pas lire, mais ils savent comment utiliser les préservatifs depuis que les politiques comme Ségolène Royale et Luc Châtel se soucient de leurs sexualités, et non de leurs avenirs. Cette idéologie, que l'on appelle la Nouvelle Pédagogie, se base sur l'inversion des valeurs : la sélection est bannie ; l'égalité remplace l'équité ; le consensus remplace l'autorité (en principe), etc...Et l'Éducation Nationale reste le budget le plus important de l'État français.
La fabrique du crétin a encore de beaux jours devant elle. Car elle produit ce qu'elle dénonce sans cesse, de l'inégalité. Elle ne peut empêcher ceux qui travaillent d'y arriver, tandis que les autres sont laissés à eux-mêmes. Les corps professoraux ont abdiqué face aux élèves et aux parents. La violence s'installe progressivement dans toutes les écoles, comme en témoigne l'assassinat récent d'un jeune, à Lyon, dans l'enceinte de son lycée.
Pour compenser cet état de fait, le système préfère mettre en place des mesures inégalitaires plutôt que de se remettre en cause. La discrimination positive naît de là. Des minorités peuvent parvenir dans de grandes écoles sur dossier, parce qu'ils vivent dans un quartier sensible. Ce n'est plus le mérite personnel qui est récompensé, mais la naissance. Or si l'évolution ne se fait plus au mérite, le travail de bonne qualité ne sert à rien. C'est pourquoi le système de la discrimination positive ne peut que s'effondrer, car il contribue à dévaloriser les diplômes. D'un côté, elle valorise des personnes qui n'ont pas le niveau, de l'autre, elle accroît la sélection pour les places qui restent, et provoquent le découragement de ceux qui, sans grands moyens, travaillent suffisamment pour espérer avoir un bonne école. Dévalorisation que la conférence des Grandes Écoles a si bien compris, qu'elle a refusé l'imposition de quotas de boursiers. On ne peut que s'en réjouir !
Selon l'Alliance pour les Droits de la Vie, le taux d'avortement en Ile-de-France est 30% plus élevé que dans le reste du pays et trois fois plus élevé qu'en Allemagne. Autant dire que la politique de prévention de l'avortement à l'échelle régionale est un véritable échec qui rend encore plus déplacées et insupportables les publicités pro-avortement du Planning "familial" dans le métro parisien, financées par les contribuables franciliens... Ci-dessous, la vidéo de la dernière action de l'ADV :
Nul doute que ce communiqué des Associations familiales catholiques concerne "Le baiser de la lune" :
De nombreuses familles s'interrogent sur les actions conduites en
milieu scolaire pour lutter contre les discriminations, pour
l'essentiel par des associations - dont certaines bénéficient d'un
agrément*. Ces actions renvoient à certains éléments
du programme (ainsi, pour les classes de CE2, CM1 et CM2, le programme
d'instruction civique et morale comprend « le refus des discriminations
de toute nature »).
De fait, a priori, les objectifs affichés par ces interventions
paraissent légitimes (par exemple lutter contre les agressions, les
insultes et toute attitude trahissant un mépris des personnes
homosexuelles). Un examen précis de supports d'intervention montre que
leur finalité est contradictoire avec les principes qui pourraient
justifier qu'elles aient lieu (neutralité, laïcité, caractère d'intérêt
général). Bien plus, certains de ces projets soulèvent d'importantes
difficultés pour les élèves, par exemple du fait de l'âge de ces
derniers, ou parce qu'ils cherchent à susciter une adhésion de nature
émotionnelle. Par ailleurs, ils rappellent le risque, identifié en 2004
par la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNDH),
d'ériger l'orientation sexuelle en composante identitaire au même titre
que l'origine ethnique, la nationalité ou la religion. Une telle
approche, toujours suivant la CNDH, conduit à atténuer, au nom de la
lutte contre les discriminations, la protection due à chaque personne,
sans distinction, au profit de la protection de groupe de personnes.
Dans ce contexte, outre
des actions contentieuses,
les AFC ont exprimé leur position auprès des pouvoirs publics. Elles
continuent à diffuser le vade mecum consacré aux relations
parents-écoles. Il constitue un outil précieux pour sensibiliser les
parents et leur permettre d'agir à bon escient au sein de l'école. Il
permet aussi d'argumenter auprès des pouvoirs publics sur ces sujets
sensibles.
* L'agrément permet à l'association qui en
bénéficie de pouvoir intervenir dans les établissements scolaires sans
avoir à présenter au préalable le dossier de son intervention au
rectorat. Si les interventions restent soumises à l'accord du chef
d'établissement, l'agrément lève ainsi un verrou de contrôle et donne
une forte légitimité aux associations qui en bénéficient et qui
sollicite les chefs d'établissement. Le décret prévoit que les
associations d'envergure nationale doivent être agréées par le ministre
et les associations locales par le recteur d'académie.
L’Apel nationale a été informée, par plusieurs Apel académiques, du lancement d’une souscription pour la réalisation d’un film d’animation destiné à servir d’outil pédagogique pour aborder les relations amoureuses entre personnes du même sexe, à l’intention des enfants de CM1/CM2. Ce projet suscite de nombreuses interrogations et réactions vives de la part de ces responsables Apel qui nous ont donc alertés.
Bien qu’il ne s’agisse encore que d’un projet et du lancement d’une souscription à laquelle nul n’est obligé de participer, le soutien apparemment apporté par le ministère de la jeunesse et des sports et plusieurs pouvoirs publics locaux nous incite à une grande vigilance.
L’Apel nationale exprime les plus sérieuses réserves concernant ce projet qui consiste à présenter à de jeunes enfants, sans qu’ils en soient nécessairement demandeurs, une information sur la sexualité des adultes mettant sur le même pied hétérosexualité et homosexualité.
Cette vision de la sexualité, qui est celle des personnes homosexuelles dont plusieurs associations soutiennent le projet, ne correspond pas à celle que la grande majorité des parents souhaite voir présenter à leurs enfants. L’Apel dénonce cette tentative de manipulation des consciences de jeunes enfants, projetée sous couvert d’intentions tout à fait louables comme la lutte contre les discriminations et le respect
de la différence, par un lobby puissant bénéficiant d’appuis importants. Soucieuse de permettre aux parents de faire respecter leur droit à éduquer leurs enfants selon leur conscience, l’Apel nationale, par la voix de sa présidente, ne manquera pas d’interpeller le ministère de l’Education nationale à ce sujet lors du rendez vous prévu
prochainement.
L’ambiance jeune, courtoise, et bon enfant de notre manifestation,
contrastait avec l’agressivité des personnes souhaitant se rendre au
salon.
Ainsi, nous avons dû, dès notre arrivée, faire face à la
violence physique d’un des vigiles, totalement incapable de contrôler
ses nerfs à notre vue.
Ce fut, quelques minutes après, au tour d’un des visiteurs du salon de perdre ses moyens à la lecture de notre tract, et de vouloir utiliser la violence pour nous faire taire.
Dans
un cas comme dans l’autre, nous avons su, courtoisement mais fermement,
remettre à leur place ces primates vociférants et continuer notre
action jusqu’à ce que nous décidions de partir.
Ainsi, nous avons pu durant une heure et demie, assister à un festival de mauvais goût, de bêtise et de vulgarité réunis.
Mais
ce qu’il y a de plus choquant, c’est de voir des couples accompagnés
d’enfants de 3 ou 4 ans, entrer sans problème dans le salon. Situation
confirmée par les témoignages recueillis à la sortie, puisque de l’aveu
même d’un habitué des lieux depuis 10 ans, il nous avouait son écœurement devant le nombre de très jeunes gens présents cette année.
Évidemment,
un courrier adressé à la Mairie et à la Préfecture sera envoyé dans les
jours qui suivent afin d’en alerter les autorités publiques, qui ne
pourront plus feindre de l’ignorer.
Le moins que l’on puisse dire est que notre action n’est pas passée
inaperçue. A tel point, que l’organisateur du salon de l’érotisme,
visiblement très gêné par la mauvaise presse que nous lui faisons, est
venu de lui-même engager la discussion avec nous, pendant près d’une
demi heure.
À la question, « Avouez que c’est un salon de la pornographie et non de l’érotisme. »
La réponse, « Mais bien sûr, puisque la pornographie est un courant de l’érotisme. »
Nous
voyons, s’il en était besoin, le niveau d’inculture de cette personne,
qui s’est pourtant vantée à plusieurs reprises d’être docteur en
philosophie (défense de rire !).
Deux jeunes femmes racontent sur Riposte-catholique.fr leur consultation au Planning familial, rue Vivienne dans le IIème arrondissement de Paris. La preuve, s'il en fallait encore une, du caractère mortifère de cette association... financée par nos impôts.
Vigil Ignis «On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l'on n'admet pas tout d'abord qu'elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure.» Georges Bernanos dans "La France contre les robots"
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