Rédigé le 08 décembre 2010 à 20h01 dans Agenda, Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Islam, Jeunes, Notre Eglise, Prière, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Notre-Dame des Neiges et la Transmission de la Foi ! Tel est le thème du grand pèlerinage en l’honneur de Notre-Dame des Neiges en ce prochain samedi 11 décembre.
La Fête de Notre-Dame des Neiges, rappelons-le, est célébrée, chaque année, le samedi le plus proche du 15 décembre, jour anniversaire de la bénédiction de la statue de Notre-Dame des Neiges de Saint-Pierre-de-Colombier par Monseigneur Couderc, évêque de Viviers, le 15 décembre 1946. Plusieurs cars achemineront les pèlerins de diverses régions de France : Lyon, Marseille, Nice, Cannes, Trans-en-Provence, Sainte Maxime, Bergerac, Vannes, le Grand-Fougeray, Paris-Sens. D’autres pèlerins, amis de Notre-Dame des Neiges, viendront par leurs propres moyens d’autres villes ou villages de France.
Ce pèlerinage est, pour les habitants de Saint-Pierre-de-Colombier, une occasion de rendre grâce pour les protections demandées à la Vierge Marie et accordées lors de la dernière guerre mondiale. Ce pèlerinage est aussi, pour les membres de la Famille Missionnaire de Notre-Dame, la Grande Fête Patronale de l’année. Il est un peu comme le sommet et la source de toute leur mission. Après le thème de la fidélité, de la famille, et des jeunes, les enseignements porteront sur « la transmission de la foi ». Ce thème rejoint la grande préoccupation de l’Eglise actuellement, celle du Pape Benoît XVI et des évêques. Nous croyons, en tant que chrétiens, que la Foi est une lumière de Dieu, particulièrement révélée dans l’Evangile prêché par Jésus. Ses apôtres ont parcouru le monde pour la transmettre. L’Europe et la France sont profondément marqués par la Foi chrétienne. Le cœur de tous nos villages est l’église qui était comme la fontaine du village où l’on venait puiser l’Amour et la Lumière de Dieu. Puisse ce prochain pèlerinage permettre à Notre-Dame des Neiges d’obtenir à tous les pèlerins des grâces pour être en ce monde les constructeurs de la civilisation de l’Amour. La Foi n’est pas une menace pour la paix entre les Nations, elle est au contraire une Puissance de Dieu qui doit permettre aux hommes de s’aimer dans la vérité en posant cet acte courageux du pardon des ennemis.
Celles et ceux qui veulent participer à la Journée de pèlerinage du samedi 11 décembre peuvent s’inscrire pour le repas de midi auprès de la communauté. Tél : 04 75 94 41 95. Courriel : [email protected]
9h : début du temps de prière.
10h : premier enseignement de Père Bernard.
10h30 : Messe solennelle.
13h45 : Office du milieu du jour et deuxième partie de l’enseignement de Père Bernard.
15h : Grande procession à la statue de Notre-Dame des Neiges suivie de la bénédiction du Saint Sacrement à l’église.
Rédigé le 07 décembre 2010 à 12h32 dans Chrétien(s) au quotidien, Histoire, Notre Eglise, Prière | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Beaucoup d’entre nous, en particulier les jeunes, s’interrogent devant l’état de notre pays, la France. Problèmes sociaux, moraux, sécuritaires, religieux ne semblent pas être suffisamment résolus au niveau politique. La France, et avec elle les Français, demeure meurtrie et souffre dans son esprit, sa culture et ses valeurs.
Le souhait d’agir préoccupe nombre d’entre nous, désireux d’œuvrer pour notre pays mais ignorant bien souvent de quelle manière agir.
Aussi, nous vous proposons une action simple mais dont les fruits peuvent être considérables : lancer une neuvaine de prière d’envergure nationale pour demander et obtenir à l’occasion de Noël une nouvelle naissance pour la France.
Parce que nous croyons à la force de la prière, nous savons que le Ciel nous entendra mais plus nous serons nombreux à nous unir à cette neuvaine, plus les fruits en seront importants, alors faites passer ce message et informez de cette initiative tout chrétien de bonne volonté, prêtre, couvent, communauté, paroisse ou blog susceptible de prier et de faire prier pour la France !
En union de prière pour la France !
> le site officiel de la neuvaine pour la France (du 16 au 24 décembre)
Rédigé le 07 décembre 2010 à 12h00 dans Agenda, Chrétien(s) au quotidien, Jeunes, Notre Eglise, Prière, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé le 07 décembre 2010 à 11h55 dans Agenda, Chrétien(s) au quotidien, Histoire, Identité, Jeunes, Notre Eglise, Patrimoine, Prière, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Le très progressiste Mgr Defois (ancien évêque de Lille), le frère Hervé Legrand (un dominicain professeur émérite de théologie à l'Institut Catholique de Paris, favorable à l'ordination des femmes), Anne Soupa et Christine Pedotti (fondatrices du Comité de la Jupe et de la Conférence des baptisé-e-s [sic] de France, adeptes de la théorie du genre), Eric Fassin, sociologue spécialisé dans la politisation des questions de genre et de sexualité, professeur agrégé à l’Ecole Normale Supérieure, ont prévu de se retrouver
mardi 7 décembre de 18h à 20h
au siège des Editions du Cerf,
29 boulevard de La Tour-Maubourg
75007 Paris
Métro La Tour-Maubourg (ligne 8) ou Invalides (lignes 8 et 13, RER C). Bus 28, 63, 69.
pour débattre de
l'exercice du pouvoir dans l'Eglise
e-deo vous invite à perturber ce "débat" entre partisans de la culture de mort qui se réclament abusivement du catholicisme.
Rédigé le 06 décembre 2010 à 09h15 dans Agenda, Antichristianisme, Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Conférence/débat, Culture de mort, Défendre la famille, Economie et social, Jeunes, Notre Eglise, SOS Homofolie, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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[Elles] ont été d'une incroyable densité puisque l'on est passé de la chute du communisme en Europe de l'Est et en Russie, à l'hégémonie mondiale du libéralisme, à la montée de l'islam et aux poids grandissant de l'Asie avec notamment la Chine et l'Inde, sans parler de l'acuité des problèmes écologiques. Et dans le même temps, nos sociétés occidentales n'ont cessé de se défaire, brisant tous les derniers liens qui les retenaient encore aux notions les plus élémentaires de la morale naturelle. Il n'y a plus guère de limites au pouvoir de l'homme que la majorité parlementaire qui est elle-même issue de l'opinion générale et dont on ne peut attendre, sauf surprise, qu'elle la désavoue. Bref, dans la société civile, les choses vont de mal en pis et rien ne semble pouvoir arrêter ce déclin : l'effacement du politique (et de la nation qui le porte) n'y est pas étranger non plus. Rien sinon l'Eglise catholique (avec les Eglises orthodoxes), qui est la seule organisation internationale ayant une anthropologie et une doctrine cohérentes, et qui résiste au rouleau-compresseur de cette modernité qui a perdu la tête. L'Eglise, qui ne vit pas déconnectée du monde, a elle-même connu une crise interne d'autant plus grave qu'elle a coïncidé avec une crise de civilisation, celle des années 68 et de la"libération" des mœurs. Les manifestations de cette crise ne sont pas terminées, hélas ! mais le fond de la vague me semble incontestablement passé et je partage sans réserve l'avis de Benoît XVI dans "Lumière du monde", quand il dit que "le christianisme se trouve dans une nouvelle dynamique" (p. 86). Dans notre monde de fous, la renaissance de l'Eglise, que l'on doit en partie à l'œuvre de Jean-Paul II et de Benoît XVI, est comme une lumière dans les ténèbres. Mais cette lumière est essentielle, car c'est elle qui nous guide et qui permet à la jeunesse d'envisager l'avenir avec espérance.
Rédigé le 04 décembre 2010 à 22h05 dans Antichristianisme, Culture de mort, Economie et social, Histoire, Notre Eglise, Tendances | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Anthony Hopkins incarnera un prêtre exorciste dans The Rite, adaptation cinématographique – sortie prévue le 28 janvier aux États-Unis – du livre paru l’an dernier, dans lequel le Père Gary Thomas, 55 ans, curé à Saratoga (Californie), raconte sa propre expérience.
Ce dernier, qui revient de Hongrie où il avait été appelé comme consultant pour le tournage du film se dit confiant : « Ce ne sera pas un film d’horreur, mais bien un film sur la foi. »
Rédigé le 04 décembre 2010 à 13h28 dans Chrétien(s) au quotidien, Cinéma, Etats-Unis, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus et de Toulon, vient de sortir un nouveau livre intitulé Urgence éducative - L'école catholique en débat. Extrait de la synthèse de Liberté politique :
Pour Mgr Rey, la première urgence est le retour à la temporalité inscrite au cœur des humanités, elles-mêmes fondées sur le principe de réalité. Cette urgence se décline en plusieurs impératifs :
- Celui de raisonner, qui commence par l’émerveillement grec devant l’être et mène au fructueux dialogue de la foi et de la raison dont dépend la construction de l’intériorité. La rationalité, au cœur des préoccupations de Benoît XVI, repose sur l’adhésion au réel, comme le souligne l’évêque de Fréjus-Toulon.
- Celui de dialoguer pour chercher la vérité. La méthode socratique, qui est aussi celle de Jésus, a pour fin l’attestation de la vérité. La « diaconie de la vérité », qui réclame humilité et confiance, est un marqueur de l’école catholique.
- Celui de s’engager dans la durée. Il s’agit de redonner son épaisseur au temps : comme l’Église, l’école catholique est eschatologique. Elle institue l’humanité dans la perspective de ses fins dernières et c’est pourquoi elle est dans « l’urgence éducative ». Tout en sachant que cette urgence doit respecter tous les stades de la croissance humaine. Il s’agit donc d’optimiser le temps et d’en harmoniser le cours selon les besoins de chaque âge.
- Celui de restaurer l’autorité dont le déni est lié, selon Hannah Arendt, « à la crise de la tradition, c’est-à-dire à la crise de notre attitude vis-à-vis de tout ce qui touche au passé ». Dans le soupçon généralisé qui rend la société post-moderne schizophrène, il faut restaurer la confiance par l’acte d’espérance à la racine de toute éducation. La seule pédagogie qui vaille est celle de l’exemple, celle du témoignage de l’unité de vie de l’éducateur.
- Celui d’éduquer à l’amour et à l’affectivité. Le respect de la personne est indivisible du respect de la vie et constitue le noyau dur de l’éducation chrétienne. « Le projet spécifique de l’enseignement catholique…réfère l’éducation affective, relationnelle et sexuelle à la vision chrétienne de l’anthropologie, et l’inscrit dans une éducation plus large à la relation, qui concerne tout le parcours scolaire » dit le récent document de la conférence épiscopale sur ce sujet.
- Celui de s’ouvrir à l’universel. L’individualisme et le relativisme entraînent les replis identitaires du communautarisme tribal. L’Église se présente aux jeunes « comme la seule expérience de mondialisation mise en œuvre à l’épreuve des siècles, des haines et des guerres », écrit Mgr Rey. Le cadeau de l’Église au patchwork des tribus est sa catholicité.
Thibaud
Rédigé le 04 décembre 2010 à 13h10 dans Economie et social, Jeunes, Notre Eglise, Tendances, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Thibaud (source : La Manche Libre)
Rédigé le 01 décembre 2010 à 14h58 dans Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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rappelle la Fraternité Saint-Pie X :
A la question claire du journaliste « l’Église catholique n’est-elle pas fondamentalement contre l’utilisation de préservatifs ? », le pape répond par une situation exceptionnelle et ne rappelle pas que l’Eglise est toujours fondamentalement opposée à l’usage des préservatifs.
Or, que l’utilisation du préservatif soit une action intrinsèquement immorale et matière à péché mortel, est un point constant dans l’enseignement traditionnel de l’Eglise, par exemple chez Pie XI et Pie XII, et même dans la pensée de Benoît XVI disant au journaliste qui l’interroge : « Evidemment, l’Eglise ne considère pas le préservatif comme une solution réelle ni morale », mais le pape l’admet néanmoins « dans certains cas ». Cela est pourtant inadmissible au regard de la foi : « Aucune raison, enseigne Pie XI dans Casti Conubii (II, 2), assurément, si grave soit-elle, ne peut faire que ce qui est intrinsèquement contre-nature devienne conforme à la nature et honnête ». Ce que rappelle Pie XII dans son Allocution aux sages-femmes du 29 octobre 1951 : « Aucune ‘indication’ ou nécessité ne peut transformer une action intrinsèquement immorale en un acte moral et licite ». Ce que saint Paul affirmait : « Ne faisons pas le mal pour qu’il en advienne un bien » (Rm 3, 8).
Benoît XVI semble envisager le cas de ce prostitué selon les principes de la « morale de gradualité » qui veut permettre certains délits moins graves pour amener progressivement les délinquants de délits extrêmes à l’innocuité. Ces délits moindres ne seraient pas moraux, sans doute, mais le fait qu’ils fassent partie d’un cheminement vers la vertu les rendrait licites. Or cette idée est une grave erreur parce qu’un moindre mal reste un mal quel que soit le signe d’amélioration qu’il donne. « En vérité, enseigne Paul VI dans Humanae vitae (n°14), s’il est parfois licite de tolérer un moindre mal moral afin d’éviter un mal plus grand ou de promouvoir un bien plus grand, il n’est pas permis, même pour de très graves raisons, de faire le mal afin qu’il en résulte un bien (cf. Rm 3, 8), c’est-à-dire de prendre comme objet d’un acte positif de la volonté ce qui est intrinsèquement un désordre et par conséquent une chose indigne de la personne humaine, même avec l’intention de sauvegarder ou de promouvoir des biens individuels, familiaux ou sociaux ».
Tolérer un moindre mal n’équivaut pas à rendre ce mal « légitime », ni à l’inscrire dans un processus de « moralisation ». Dans Humanae vitae (n°14), il est rappelé que : « C’est une erreur de penser qu’un acte conjugal rendu volontairement infécond et par là intrinsèquement déshonnête, puisse être rendu honnête par l’ensemble d’une vie conjugale féconde », de même il faut dire que c’est une erreur d’avancer l’idée que le préservatif, en soi déshonnête, puisse être rendu honnête par le cheminement espéré vers la vertu d’un prostitué qui l’utilise.
A l’opposé d’un sevrage qui passerait d’un péché « plus mortel » à un péché « moins mortel », l’enseignement évangélique affirme clairement : « Va et désormais ne pèche plus » (Jn 8, 11), et non pas « va et pèche moins ».
Rédigé le 29 novembre 2010 à 16h22 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Jeunes, Notre Eglise, Tendances, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (10) | TrackBack (0)
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Philippe Muray, moins d'un an avant sa mort, a décrit le pape idéal pour notre monde de fou ("Il nous faut un Pape en phase") :
"Un pape à la botte, au pied, aux ordres, aux mots d’ordre, un pape qui file doux et qui respecte les nouveaux règlements. Les nôtres. Un pape qui lâche ses bondieuseries pour notre eau bénite et ses patenôtres transcendantes pour nos homélies multiculturelles.
Un pape qui, cessant de bêtement parler des “errances de la modernité”, nous rejoigne dans nos divagations divines.
Un pape à roulettes et en culottes courtes.
Un pape citoyen.
Un pape qui sorte du Saint-Siège, une bonne fois, en poussant le cri primal, pour n’y plus jamais revenir.
Un pape qui dégraisse la doctrine, dépoussière le Vatican, se batte pour la légalisation de l’euthanasie, prenne fermement position en faveur de la procréation assistée comme pour le mariage des prêtres et l’ordination des femmes.
Un nouveau pape comme il y a de nouveaux pères,un pape qui porte le petit Jésus sur son ventre, dans un sac, comme les mamans kangourous ("Habemus mamam !").
Un pape vigilant sur le respect de la laïcité.
Un pape qui proteste avec nous contre la mises en berne des drapeaux de la République en hommage au pape défunt.
Un pape qui participe aux fanfares de soutien à Florence Aubenas et s’occupe de lâcher des ballons plutôt que de promulguer des bulles. Un pape qui milite pour les couloirs de bus, la candidature de Paris ville olympique en 2012 et l’opération "Ici c’est 100% sans tabac" (s’il pouvait, par la même occasion, nous donner un petit coup de pouce pour faire un peu remonter le oui à la Constitution européenne ce ne serait pas plus mal).
Un pape soucieux de l’amélioration de la qualité de l’air.
Un pape résolument décidé QUI laisser tomber ses lamentables discours normatifs sur le sexe pour rejoindre les nôtres.
Un pape conciliant et pas conciliaire.
Un pape bon apôtre, en somme, et conscient de tous les chantiers prioritaires qui l’attendent.
Un pape d’époque. Un pape comme l’époque. Un pape-époque. Un pape-société."
Un pape qu'ils n'auront, Dieu merci, JAMAIS.
Rédigé le 29 novembre 2010 à 14h23 dans Antichristianisme, Avortuerie, Bioéthique, Culture de mort, Economie et social, La vie des médias, Littérature, Notre Eglise, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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En tant que radio religieuse, Espérance Sénégal Fm aura pour mission essentiellement de répandre la bonne nouvelle. "Ce sera une radio d’obédience chrétienne qui sera animée par différentes corporations de prêtres, catéchistes, laïcs engagés, des femmes, des jeunes qui y développeront des thèmes de tendances ou des émissions chrétiennes sérieuses et saines pour évangéliser, des débats ciblés et éducatifs de haute facture", précise [Aimé Sène, membre de l’Association des dirigeants, entrepreneurs et cadres catholiques du Sénégal - Adeccs]. Puis, de souligner que cette radio (...) couvrira, dans un premier temps, la région de Dakar, avant, dans une seconde phase d’émettre sur l’ensemble du territoire national. Aussi, les messes et événements liturgiques des différentes paroisses pourraient être retransmis. "Nous rappelons que ce projet est une tâche que l’évêque Théodore Adrien Sarr nous a confiée et nous sommes presque à sa réalisation, car nous attendons, d’un moment à l’autre, l’attribution d’une fréquence", poursuit Aimé Sène. Qui explique que cette radio est un besoin pour les chrétiens du Sénégal.
Le studio principal de cette radio portera le nom de feu Abbé Patrice Coly, le porte-parole du chef de l’Eglise du Sénégal récemment décédé. Une manière, selon Aimé Sène, de rendre hommage à ce prêtre qui s’est beaucoup investi dans la mise en place de cette radio.
Sur le financement de cet outil de communication, le président des entrepreneurs et hommes d’affaires catholiques informe que son association, qui est à but non lucratif, a mis en place une société de droit ouverte avec un capital de 50 millions de francs Cfa [76 224 euros, NDLR]. L’Adeccs aura 10 % des actions, les diocèses 33 % et le reste du capital réservé aux communautés catholiques et aux particuliers.
Rédigé le 29 novembre 2010 à 13h51 dans Chrétien(s) au quotidien, Economie et social, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La ministre des Affaires étrangères Michèle Alliot-Marie a souligné dimanche 28 novembre "la place et le rôle dans leurs sociétés d'origine" des chrétiens d'Orient, en recevant le patriarche syriaque catholique d'Antioche.
Lire la suite "MAM réaffirme le soutien de la France aux chrétiens d'Orient" »
Rédigé le 29 novembre 2010 à 13h28 dans Chrétien(s) au quotidien, Islam, Notre Eglise, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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L'hebdomadaire pour septuagénaires partisans du mariage des prêtres prévient le 26 novembre sur son site que... le 27, ont lieu 450 veillées de prière "pour la vie naissante" dans toute la France. Il en profite pour s'en prendre aux "extrémistes". Vous savez, ceux qui soutiennent depuis toujours le Saint-Père dans son combat pour défendre la vie de son commencement à sa fin naturelle contre vents, évêques et grands médias "catholiques". La Vie écrit :
pas question de tomber dans la militance pro-life dure qui se discrédite par sa violence ou son agressivité.
De quelle violence parle La Vie ? Celle qui consiste à prier en public sous les insultes et les menaces ? A marcher en janvier pour demander des lois pour la famille et l'accueil de la vie ?
Récupération et diabolisation
La Vie continue :
la mobilisation pour les veillées du 27 novembre s'est tout de même faite sous la pression des groupes les plus radicaux, travaillant comme des lobbys américains. Le Salon Beige, site de laïcs proches de l'extrême-droite, a systématiquement listé les veillées suite à un recensement initié par « la Famille missionnaire de l'Evangile de la Vie ».
Mais pourquoi les salariés de La Vie ne l'ont pas fait à la place des bénévoles du Salon Beige ? Ah, il aurait fallu quitter le travail à 18h30 au lieu de 18h... Et puis Benoît XVI, il est bien gentil...
Comme sous la pression de nombreux laïcs, même des évêques réputés progressistes ont fini par daigner présider des veillées de prière "pour la vie naissante", La Vie ne peut plus les ignorer. A moins de paraître à la ramasse auprès de ses lecteurs grisonnants ou de mauvaise foi auprès des autres. Alors, elle tente de les récupérer. Sans n'avoir rien fait pour leur succès.
Rédigé le 27 novembre 2010 à 16h54 dans Chrétien(s) au quotidien, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Lettre ouverte à M. Etienne Pépin, Directeur de RCF en Berry
Comme dans de nombreuses villes de France ce samedi 20 novembre, un "chapelet pour la Vie" s'est déroulé à Châteauroux, à l'appel de SOS Tous-Petits, et en co-organisation avec l'Institut Civitas. Environ 90 personnes se sont rassemblées à 17h place de la République à Châteauroux. Parmi ces personnes, beaucoup de jeunes filles, ainsi que quatre prêtres. Durant une heure, malgré les blasphèmes, les insultes et les menaces de quelques contre-manifestants, nous avons prié pacifiquement.
Quelle n'est pas dès lors notre surprise de prendre connaissance d'une émission insultante et mensongère de RCF en Berry diffusée ce lundi 22 novembre. Il s'agit en fait d'un éditorial hebdomadaire que l'on doit à Etienne Pépin, Directeur de RCF en Berry et qui s'intitule pour l'occasion "Non l'Eglise catholique n'est pas intégriste". Pour ceux qui ne le sauraient pas et qui liront la suite, précisons que RCF signifie Radios Chrétiennes en France.
M. Etienne Pépin consacre donc son éditorial à cette action de prière, qu'il qualifie de "manifestation odieuse sur le thème anti-avortement". Avec une diction nerveuse, il nous parle des "intégristes qui ont manifesté ce week-end partout en France parfois de manière violente", une "violence provoquée par des milieux intégristes gratuitement contre l'avortement", insiste-t-il.
Très énervé, le Directeur de RCF en Berry en rajoute encore : tout cela est le fait de "militants limite sectaires, trop fondamentalistes", des "intégristes qui ne sont surtout pas et toujours pas (sic) reconnus par le Pape, salissant notre église chrétienne".
Rien que ça. Et en seulement deux minutes.
Il convient donc de répondre à M. Etienne Pépin.
Vous parlez d'une "manifestation odieuse sur le thème anti-avortement". On serait en droit d'attendre que ce qu'un Directeur d'une Radio Chrétienne en France trouve odieux, ce soit l'élimination méthodique, chaque année en France, de plus de 220 000 petites victimes innocentes. Mais passons. Il y a bien longtemps que les journalistes, même prétendument chrétiens, nous ont habitué à leur indignation sélective.
Si vous aviez été sur place, vous auriez pu comparer deux comportements. D'un côté, ceux qui, pacifiquement et sans aucune haine, prient pour les victimes de l'avortement, pour ces enfants que l'on tue dans le ventre de leur mère, mais aussi pour ces mamans en détresse. De l'autre, ceux qui vocifèrent et voudraient volontiers l'affrontement. Face à des enfants, des femmes, des prêtres, ils éructent des chants blasphématoires, des obscénités sans nom, voire des appels au crime. Ainsi, à Châteauroux, on put entendre, entre autres amabilités, des appels au viol.
Odieux, disiez-vous, M. Etienne Pépin ? Où est la manifestation odieuse ?
Vous parlez de "violence". Pourtant, à Châteauroux comme dans de nombreuses autres villes de France, notre seule arme, c'était notre chapelet. On ne peut pas en dire autant des contre-manifestants, militants d'officines anarcho-communistes et autres partisans de la "liberté d'oppression", venus bien souvent masqués, parfois casqués et armés de barres de fer. Il suffit de jeter un rapide coup d'œil sur les nombreuses photos prises ce samedi dans différentes villes de France pour pouvoir vérifier sans nul doute que la violence n'est pas de notre côté.
Pour le reste, M. Etienne Pépin, nous n'avons nul besoin d'une attestation de votre part pour pouvoir nous définir comme catholiques. Il nous semble même, à l'écoute de vos propos, que vous ne soyez guère un spécialiste de doctrine catholique ou de théologie morale catholique. Et nous nous inquiétons : que faîtes vous donc à RCF, M. Etienne Pépin ?
Mais rassurez-vous, M. Etienne Pépin, si nous nous croisons un jour, et que je mette la main à la poche, ce ne sera que pour sortir mon arme de prédilection, ce chapelet qui vous fait si peur, et pour prier aussi pour vous.
Alain Escada, secrétaire général de l'Institut Civitas
PS : en raison du caractère insultant des propos de M. Etienne Pépin, nous lui envoyons également un droit de réponse et nous nous réservons la possibilité, en accord avec notre avocat, d'intenter une procédure en justice.
Rédigé le 24 novembre 2010 à 17h35 dans Antichristianisme, Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Jeunes, Notre Eglise, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Dans ses appartements privés.
Pierre
Rédigé le 24 novembre 2010 à 16h16 dans Chrétien(s) au quotidien, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Si un bandit va braquer une banque, s’il utilise une arme sans munitions, c’est un premier pas, un début de responsabilité : il ne tuera pas. Ce n’est pas pour autant que l’Eglise admet le braquage des banques ou prône l’utilisation de pistolets non chargés.
Rédigé le 23 novembre 2010 à 18h57 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Economie et social, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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dans un entretien accordé par téléphone au National Catholic Register dont Daniel Hamiche a traduit un extrait :
Je ne vois aucun changement dans l’enseignement de l’Église. Ce qu’il [le pape, NDLR] commente – en fait, il déclare clairement que l’Église ne considère pas l’utilisation des préservatifs comme une solution valable ou morale –, mais ce dont il parle dans le commentaire qu’il fait sur un prostitué mâle, c’est sur un certain processus de conversion qui survient dans la vie d’un individu. Il fait simplement le commentaire qu’une personne qui s’adonne à la prostitution, puisse au moins envisager d’utiliser un préservatif pour l’empêcher de transmettre la maladie à une autre personne – même si l’efficacité du préservatif est discutable –, cela pourrait être une manifestation de quelqu’un qui éprouve un certain éveil moral. Mais en aucun cas cela ne veut dire que la prostitution est moralement acceptable ni que l’usage des préservatifs soit moralement acceptable. Ce qu’aborde le pape c’est une certaine croissance dans la liberté, un dépassement de l’asservissement à une activité sexuelle qui est moralement répugnante, de telle sorte que ce souci d’utiliser un préservatif afin de ne pas infecter son partenaire sexuel puisse être au moins le signe d’un réveil moral chez la personne, ce qui permet d’espérer qu’il conduira cette personne à comprendre que cette activité n’est qu’une trivialisation de la sexualité humaine, et qu’il faut en changer.
N'en déplaise à Golias, Yves Thréard, Act-Up ou au président philippin Benigno Aquino.
Rédigé le 23 novembre 2010 à 18h11 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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