dans tous les pays ! Notamment au Nicaragua où l'avortement est interdit.
Amnesty
International appelle les Etats "à prendre les mesures suivantes afin de
prévenir les graves atteintes à ces droits ["les droits fondamentaux des femmes]
et d’y mettre fin, dans le respect des obligations qui incombent à ces États au
titre des normes internationales relatives aux droits humains:
(a) abroger toutes les lois qui permettent l’incarcération ou toute autre sanction pénale contre les femmes qui ont recours ou tentent d’avoir recours à l’avortement et toutes les autres lois qui prévoient l’incarcération ou toute autre sanction pénale pour ceux qui fournissent des informations sur le sujet ou pratiquent des avortements ;
(b) donner accès en toutes circonstances, à toutes les femmes qui en ont besoin, aux services médicaux pour traiter les complications consécutives à un avortement, que celui-ci ait été pratiqué de façon légale ou non ;
(c) prendre toutes les mesures nécessaires pour que des services d’avortement, sûrs, légaux, accessibles, acceptables et de bonne qualité soient à la disposition de toutes les femmes qui en ont besoin dans les cas de grossesse non désirée consécutive à un viol, une agression sexuelle ou un inceste, et dans les cas de grossesse mettant en danger la vie de la femme ou constituant une menace grave pour sa santé".
(a) abroger toutes les lois qui permettent l’incarcération ou toute autre sanction pénale contre les femmes qui ont recours ou tentent d’avoir recours à l’avortement et toutes les autres lois qui prévoient l’incarcération ou toute autre sanction pénale pour ceux qui fournissent des informations sur le sujet ou pratiquent des avortements ;
(b) donner accès en toutes circonstances, à toutes les femmes qui en ont besoin, aux services médicaux pour traiter les complications consécutives à un avortement, que celui-ci ait été pratiqué de façon légale ou non ;
(c) prendre toutes les mesures nécessaires pour que des services d’avortement, sûrs, légaux, accessibles, acceptables et de bonne qualité soient à la disposition de toutes les femmes qui en ont besoin dans les cas de grossesse non désirée consécutive à un viol, une agression sexuelle ou un inceste, et dans les cas de grossesse mettant en danger la vie de la femme ou constituant une menace grave pour sa santé".
Une association à boycotter et à faire boycotter.
sur ce sujet prècis lire les pages 141,142, 143 du livre de Jean-Pierre Moreau, "Le terrorisme pastoral" ed Folfer, qui vient de paraître
Rédigé par : jp | 22 mai 2009 à 23h03