L'association "Oui à la vie" communique :
L’article de Libération Bordeaux, intitulé « Les féministes font rebrousser chemin aux anti-IVG », sous la plume de Stéphanie Lacaze, nécessite plusieurs mises au point. Bien évidemment, son auteur n’a pas estimé nécessaire de prendre contact avec l’association « Oui à la Vie » pour comprendre l’esprit dans lequel se déroulera la marche du 6 juin. Ce n’est pas l’association « Oui à la Vie », par peur des « féministes », qui a décidé de modifier le lieu de départ de la marche, mais la Préfecture et la police qui lui ont imposé ce changement en raison du nombre de marcheurs attendus. La marche du 6 juin n’est pas une manifestation « anti-IVG » rassemblant des gens « virulents », mais une marche pour la Vie et la famille. Pour les enfants. Pour les personnes handicapées. Pour les personnes âgées. L’association « Dies Irae » ne s’est jamais manifestée pour apporter le moindre soutien à cette marche. Les participants ne viennent pas de « Saint Eloi », mais de toute l’Aquitaine, catholiques, protestants, orthodoxes, juifs ou sans croyance particulière, si ce n’est celle en l’amour de la Vie et de la famille. Nous laissons au planning familial et à Madame Barbara Duval la liberté de prêcher l’euthanasie pour les enfants trisomiques ou les personnes âgées grabataires qu’ils estiment indignes de vivre, comme ce fut le cas dans l’Allemagne des années 1930. Nous leur laissons la liberté de chanter les louanges de l’avortement en leur rappelant simplement les dernières paroles de Stéphane Audran, signataire en 1971 du « manifeste des 343 salopes » : « C'est terrible de se faire avorter ». Mais nous ne leur laisserons pas, samedi, la liberté et l’impunité d’insulter, de menacer et d’agresser, verbalement ou physiquement, les centaines de famille présentes à cette marche.
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