Michel de Poncins, président de l'association "Catholiques pour les libertés économiques", dénonce le mensonge de l'origine anthropique du réchauffement climatique :
"La presse passe sous silence le fait que 36 000 scientifiques américains ont signé une pétition pour dénoncer ce mensonge. Les études les plus sérieuses montrent que, dans le passé, il y eut de très gros changements climatiques. Il y a mille ans environ, le Groënland fut appelé ainsi, car cette terre était verte et sa prospérité était telle qu’une cathédrale y fut édifiée.
En revanche, une période de mini-glaciation a eu lieu au XVIIe siècle. Elle nous valut les belles arabesques de patineurs des peintres flamands. Lors de ces changements climatiques, les hommes s’adaptèrent grâce à l’usage de la raison que Dieu leur a donnée et compte tenu des moyens techniques dont ils disposaient à leur époque. Il est démontré que, depuis environ 150 ans, il n’y a pas de changement dans le climat, ce qui est contraire à la propagande à laquelle se livrent les médias. Vaclav Klaus, président de la Tchéquie, a écrit récemment un livre « Planète bleue et péril vert » pour tout expliquer."
Thibaud
D'un autre côté, le Gröenland est aussi un parfait exemple des catastrophes que peuvent entrîner les changements climatiques. Les Vikings y arrivèrent à la faveur d'une logique d'expansion en Europe et en Russie. Ils importèrent leurs modes de vie, fondés sur l'élevage. Les moissons venaient essentiellement d'Europe. A l'inverse venant du Grand Nord, les Inuits maîtrisaient la pêche, la chasse et la vie en milieu glacé. Ils utilisaient les traîneaux, chose que refusèrent sans cesse les Vikings. Les Vikings, qui virent leur environnement disparaître avec le petit âge glaciaire, se trouvèrent exposés aux velléités expansionnistes des inuits, qui ne tardèrent pas à la exterminer. Les Vikings n'avaient pas changé de modes de vie ; il ne s'étaient pas adaptés ; ils ont donc disparu du Groënland.
Rédigé par : Didyme | 30 août 2009 à 10h06