Nanterre, le 2 octobre 2009 COMMUNIQUE DE PRESSE de Bruno GOLLNISCH LA CULTURE DE MORT GAGNE DU TERRAIN
En Espagne, l’Etat autorise la vente libre dans les pharmacies de la pilule du lendemain, plus faite pour soutenir les comptes sociaux que pour endiguer réellement l'explosion du nombre d'avortements. En France, il autorise la pilule du "surlendemain", opération commerciale potentiellement si lucrative que l'on n'a pas attendu l'autorisation de remboursement de la sécurité sociale. Des cas douloureux, médiatisés à outrance, sont mis en avant pour justifier l'euthanasie au nom d'un prétendu "respect de la dignité". La nouvelle loi sur la bioéthique s'annonce inquiétante à plus d’un titre...
Le corps devient marchandise, la vie n'est plus un don, mais une circonstance que l'on tolère ou que l'on supprime au gré de convenances personnelles, d'impératifs financiers, de projets mercantiles, de prétendues évolutions de la société, là où il n'y a que demandes particulières ou revendications ultra-minoritaires.
Mais pourquoi le Système serait-il plus tendre avec l'enfant à naître et le vieil Homme devenu inutile qu'avec les millions d'adultes qu'il considère comme des outils de productions jetables et interchangeables ?
Il reste cependant des hommes et des femmes pour qui
A défaut de pouvoir être physiquement à leurs côtés, j'y serai par l'esprit et par le cœur.
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