... au totalitarisme chinois.
"A la faveur des réformes, les litiges immobiliers se sont multipliés en
Chine populaire. Là où l'arbitraire du pouvoir et de l'argent ne
s'impose pas, la loi stipule que les biens fonciers doivent être
utilisés conformément à leur usage social ; ceux qui ont été confisqués
ou spoliés doivent être rendus à leur propriétaire légitime. En 2005,
une affaire similaire à celle de Tianjin avait eu lieu : des
religieuses franciscaines missionnaires de Marie avaient été sévèrement
frappées par les hommes de main d'un promoteur immobilier, avant qu'un
arrangement financier ne soit finalement conclu."
Didyme
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