C'était vendredi soir dernier, 22 janvier, à 21H30 près de la cathédrale saint Louis. Quatre garçons d'une quinzaine d'années passée, d'un lycée privé de Versailles, sont pris à partie par une bande hétéroclite composée de maghrébins, d'africains et d'européens. Sous la menace d'un couteau, on demande son portable à l'un des quatre jeunes versaillais. Celui-ci répond par une insulte, refuse de s'excuser, et encaisse alors un coup de poing en pleine figure. Ses dents volent en éclats. L'un de ses amis accourt à sa rescousse et bouscule l'un des voyous, se fait plaquer à sont tour, rosser à terre dans le corps et dans la figure. Et se prend un coup de couteau dans la cuisse (plaie profonde, plus de 3 centimètres précisera le certificat du médecin). Dents cassées, hématomes à l'oeil, blessure au couteau, jours d'ITT...
Vous avez dit "diversité"? Souvent les concepts, aussi séduisants soient-ils -mais n'est-ce pas précisément son pouvoir de fascination qui rend l'idéologie subversive?- sont incapables de se plier aux exigences du pays réel. Alors, quand la réalité ne se plie pas, l'idéologie destructrice s'impose par la violence. Ou le délitement du tissu social...
Henry
Chapelet et matraque.
Ça a fait ses preuves pendant des siècles.
Rédigé par : Eric | 25 janvier 2010 à 13h37