L'ONG internationale se mobilise pour les femmes africaines, trop souvent victimes de complications liées à la grossesse. Plus de 2000 meurent chaque année. Quelles sont les solutions envisagées ? L'accès aux services de "santé reproductive et sexuelle", de planification familiale, sous couvert de "droit à la santé". Ce sont donc des considérations qui excluent la mortalité due à l'avortement ou aux autres traitements importés par les Occidentaux.
Il y a encore quelques années, Amnesty International ne s'exprimait pas sur l'avortement, peut-être pour ménager les donateurs chrétiens. Maintenant, l'ONG est officiellement devenue prédatrice pour l'homme.
Didyme
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