Christine Clerc, chroniqueuse politique bien connue, vient d'officialiser son athéisme.
Elle croit entre autres que le Saint-Père s'amuse à décider qu'untel est peut-être bienheureux. Autant dire qu'elle ne croit pas au Père, au Fils et au Saint -Esprit.
Un lecteur lui répond :
cette affaire aura eu un effet positif puisqu'elle vous permet de prendre conscience de la réalité des faits : la personne du Christ n'a aucun impact dans votre vie à vous lire, l'appartenance à l'Eglise n'était pour vous qu'une vague attache sentimentale. Or le christianisme est une voie spirituelle exigeante. Il n'est qu'à relire tous les appels du Christ à le suivre, sans se retourner, sans même aller enterrer son père, en étant près à tout abandonner. C'est parce qu'on a trop fait du catholicisme une sorte de vague sentimentalité qu'on l'a profondément altéré. Je ne dis pas cela pas dans un esprit d'exclusion, mais seulement parce que maintenant que vous avez conscience que vous êtes à l'extérieur, la possibilité s'ouvre à vous d'une vraie conversion qui transformera votre vie profondément et vous permettra de rencontrer Celui en lequel nous avons été élus de toute éternité comme l'écrit saint Paul : Jésus le Christ, notre Sauveur qui est la Voie, la Vérité et la Vie. Nous t'aimons et t'espérons Christine. Et peu nous importe que tu sois divorcée. L'Esprit fait toutes choses nouvelles. Viens !
Prions pour la vraie conversion de Christine Clerc.
C'est d'une telle bêtise, d'une mauvaise foi si évidente que c'est sans intérêt.
La péronnelle n'est pas devenue athée, elle l'est depuis fort longtemps ! En tout cas l'Eglise n'a que faire de "chrétiens" de cette sorte.
Nous pouvons cependant prier pour elle, qui en a bien besoin.
Rédigé par : Nicole | 12 janvier 2010 à 06h25