dans un débat organisé par l’hebdomadaire VSD sur le thème « La laïcité est-elle menacée ? » après que Nicolas Sarkozy avait appelé à ne pas opposer la laïcité aux « racines chrétiennes » de la France dans son désormais célèbre discours prononcé en décembre 2007 au palais du Latran, à Rome, Caroline Pigozzi, opposée à Alain Bauer, ex-Grand Maître du Grand Orient de France, avait affirmé : « Comment
parler de séparation de l’Église et de l’État quand la France est
désignée, depuis le baptême de Clovis, comme étant la fille aînée de
l’Eglise ? »
Plus de 143 millions d’euros pour toute une mascarade politique. Il faut rendre l’argent aux contribuables.
Au total, 192 pays ont été représentés à Copenhague. Des dizaines
de chefs d’Etat accompagnés de plusieurs dizaines de ministres, des
centaines de conseillers et de gardes du corps, des milliers de
voitures sans compter les avions qui ont atterri et décollé de
l’aéroport de Copenhague durant ces deux semaines du Sommet. Tout cela
a un coût qui a été supporté par les contribuables. Aujourd’hui, il
est temps de faire les comptes. On estime à 143 millions d’euros les dépenses liées au déplacement et
au séjour des 15 000 délégués venus du monde entier à Copenhague. Cette
somme représente : les vols, les frais de séjour (hôtel, repas…), les
frais de déplacement à Copenhague (voitures, surveillance policière…)
ainsi que les salaires du personnel accompagnant les délégations
(traducteurs, experts du climat…). A cela s’ajoute le coût des
émissions de carbone générées par ce Sommet. D’après les estimations,
40 500 tonnes de CO2 ont été rejetées dans l’atmosphère pendant ces
deux semaines, ce qui représente un coût de presque plus de 1
million d’euros (le prix de la tonne de CO2 est estimé à 29 euros).
La délégation française présente en permanence sur place a compté une
cinquantaine de personnes. A leur tête, Brice Lalonde, l’ambassadeur
chargé des négociations sur le climat, Laurence Tubiana et Paul
Watkinson, les adjoints de Brice Lalonde. La délégation comptait des
fonctionnaires du ministère de l’Environnement et du Développement
durable, des Affaires étrangères, de Bercy, du ministère de
l’Agriculture, ainsi que des représentants des établissements publics,
comme l’Ademe, l’Agence Française de Développement (AFD), ou le CNRS.
Ils ont été rejoints par les politiques et le personnel qui les
accompagnait.
Vu les résultats catastrophiques de ces deux semaines de palabres, les
contribuables du monde entier sont en droit de demander le
remboursement de toutes ces dépenses inutiles.
La préfecture du Pas-de-Calais a annoncé vendredi l'annulation d'un
débat public sur l'identité nationale prévue le 13 janvier à Liévin,
provoquant l'indignation de Marine Le Pen qui avait annoncé jeudi son
intention de venir y débattre avec Éric Besson.
Son nom ne vous dit peut-être rien, mais Casey Johnson, héritière du groupe Johnson & Johnson, lesbienne revendiquée, est morte à 30 ans. L'autopsie n'a pas encore révélé si sa mort est due à ses problèmes de toxicomanie, ou bien à son diabète. Mais le mélange des deux n'a pas vraiment du l'aider. Samantha Ronson, une de ses "ex",déclare déjà être lasse de perdre ses amis par overdose.
Elle avait fait parler d'elle en reproduisant des "fiançailles" avec Tila Tequila, un starlette de MTV, avec laquelle elle s'est déjà brouillée ; elle avait également été arrêtée pour suspicion de vol de sous-vêtements chez une de ses amies, la top modèle Jasmine Lenard, qui jure par ailleurs n'avoir jamais eu de liaison avec elle. En janvier 2009, Courtenay Semel, une autre "ex", avait tenté d'enflammer ses cheveux lors d'une dispute.
A part ça, il paraît que les homosexuels ont une vie aussi stable que n'importe quel autre couple. Puisqu'on vous le dit...
Parallèlement, Obama vient de nommer une transsexuelle au poste de conseillère technique principale au ministère du commerce. David Letterman fait déjà polémique. Les LGBT n'ont pas le sens de l'humour.
Ce qui m'inquiète néanmoins, ce sont tous les combats perdus. En Espagne, en Irlande, au Pays-Bas, en Belgique, la décadence s'installe au gré des gouvernements gauchistes, qui n'hésitent pas à subvertir le peuple pour imposer l'avortement, l'euthanasie, le mariage homosexuel, l'adoption homosexuelle, et toutes sorte de reconnaissances publiques aux déviances sexuelles.
L’avez-vous remarqué ? Pour terminer son grand discours traditionnel de
la Saint-Sylvestre, le président de la République a prononcé une fois
de plus un solennel : « Vive la République, vive la France ! » Ce
n’était point original, c’est une coutume républicaine apparemment
obligatoire, et pas seulement dans les campagnes électorales mais en
toutes circonstances. Ainsi est-il réaffirmé à satiété, mais sans qu’on
s’en rende bien compte, que « la République » et « la France » sont
deux identités distinctes. Et pourtant les mêmes orateurs n’arrêtent
pas de nous répéter que l’identité française, ce sont les « valeurs
républicaines ». C’est se tromper avec obstination sur ce qui constitue
une identité.
"Je pense qu’il n’est aucune vie, si dégradée, si détériorée, si abaissée, si appauvrie soit-elle, qui ne mérite le respect et ne vaille qu’on la défende avec zèle.
J’ai la faiblesse de penser que c’est l’honneur d’une société que d’assumer, que de vouloir ce luxe pesant que représente pour elle la charge des incurables, des inutiles, des incapables; et je mesurerais presque son degré de civilisation à la quantité de peine et de vigilance qu’ elle s’ impose par pur respect de la vie… Quand l’ habitude sera prise d’éliminer les monstres, de moindres tares feraient figure de monstruosités .De la suppression de l’horrible à celle de l’indésirable, il n’y a qu’un pas… Cette société nettoyée, assainie, cette société où la pitié n’aurait plus d’emploi, cette société sans déchets, sans bavures ,où les normaux et les forts bénéficieraient des ressources qu’absorbent jusqu’ici les anormaux et les faibles, cette société renouerait avec Sparte et ravirait les disciples de Nietszche : je ne suis pas sûr qu’ elle mériterait encore d’être appelée une société humaine."
Le taux de réussite des écoles publiques sud-africaines aux examens
couronnant les études secondaires a chuté pour une sixième année
consécutive malgré une forte augmentation des dépenses gouvernementales
dans le secteur éducatif.
(...) L’Afrique du Sud a plus que quadruplé les dépenses en éducation depuis
les premières élections multiraciales tenues en 1994. Cette forte
augmentation ne s’est cependant pas traduite par de meilleurs
résultats. On attribue habituellement ces échecs à la mauvaise
formation des enseignants, à une réforme scolaire qui a augmenté la
charge administrative imposée aux enseignants et à une culture rurale
qui ne privilégie pas l’étude scolaire.
(...) Les politiques de
discrimination positive en faveur des Noirs menées par le gouvernement
ANC depuis 16 ans privent (...) l’Afrique du Sud d’enseignants
qualifiés. C’est ainsi que le quotidien Beeld avait signalé en août de l'année passée que plusieurs dizaines de
milliers de postes d’enseignants et de directeurs d'école sont à
pourvoir dans les écoles publiques sud-africaines. Ils ne sont pas
comblés, car l’Administration n’en fait pas la publicité ou quand des
professeurs blancs qualifiés y postulent on rejette systématiquement
leur candidature. Le grand nombre de postes à pourvoir s’explique en
partie par l’épidémie de SIDA qui fauchait déjà 55 enseignantes par
mois en 2000. L'épidémie de SIDA touche principalement les éducatrices
noires.
(...) Les nombreuses coupures générales d’électricité de 2008 ont révélé la
pénurie aiguë de techniciens que connaît le producteur d’électricité
national, Escom. Cette pénurie est en grande partie le résultat de
politiques discriminatoires comme le rappelle R. W. Johnson dans son
livre South Africa’s Brave New World (pp.
479-480) : « [Escom] devra recruter deux nouveaux employés qualifiés
par jour pour les cinq prochaines années. Au minimum la moitié de
ceux-ci devront être des femmes noires afin d’atteindre ses objectifs
de 65 % de cadres noirs et de 40 % de personnel noir en 2010, malgré la
quasi-inexistence de femmes noires ingénieures. »
Comme quelque huit millions de coreligionnaires, les coptes de Nag
Hammadi, une ville moyenne de Haute-Égypte, célébraient Noël mercredi 6
janvier au soir. Mais à l’issue de la cérémonie religieuse, une voiture
s’est arrêtée devant l’église Mar Girgis, la plus importante de la
ville, et des hommes ont tiré sur la foule qui en sortait. Sept
personnes ont été tuées, six coptes et un policier, et dix ont été
blessées, dont deux musulmans.
« Nous avons terminé la messe à 23 h, et je me suis dirigé vers
l’évêché. J’ai alors vu un homme à bord d’une voiture en train de tirer
à l’arme automatique contre tous les coptes qui passaient », témoigne
Mgr Kirolos, l’évêque de Nag Hammadi, ville qui compte 70% de coptes.
(...) L’événement, révélateur des tensions grandissantes entre Égyptiens
coptes et musulmans depuis quelques années, risque en tous les cas
d’envenimer un peu plus les relations entre les deux communautés. Hier
matin, quelque 2000 coptes ont manifesté à Nag Hammadi, aux cris de «
Non à l’oppression » et « Ô Croix, nous te défendrons par notre âme et
notre sang ».
Des heurts ont eu lieu avec les forces de l’ordre dépêchées en
renfort. La situation s’est calmée en fin de matinée, avant les
funérailles qui ont débuté dans l’après-midi en présence d’une foule de
quelque 5 000 personnes.
(...) Gamal Eid, directeur du Réseau arabe pour l’information sur les droits
de l’homme, [s’est] rendu à deux reprises dans la région suite à des
affrontements entre les deux communautés (...) « Le gouvernement égyptien minimise les affrontements en disant qu’il ne
s’agit pas d’un conflit religieux. Mais en réalité il y a un vrai
problème concernant les relations entre musulmans et chrétiens
aujourd’hui en Égypte », estime-t-il.
Pour preuve, la construction d’une nouvelle église se passe
rarement sans heurts dans le sud de l’Égypte. « Tant que le
gouvernement se borne à apporter une réponse sécuritaire, ces violences
ne s’arrêteront pas, continue Gamal Eid. Nous avons besoin d’un débat
public sur la notion de citoyenneté et la question religieuse en
Égypte. »
Ainsi, s’attaquer aux chrétiens, assimilés à l’Occident, serait
pour certains l’occasion de manifester l’opposition de l’islam
fondamentaliste au gouvernement du Caire : la dureté dont vient de
faire preuve le Caire face aux Palestiniens de Gaza pourrait ne pas
être sans rapport avec ces assassinats.
Loin des tumultes que provoquent l'annulation
de la taxe carbone que Borloo est censé défendre et porter, Le Ministre
d'Etat, Ministre de l'Ecologie est partie en vacances pour le réveillon
avec Béatrice Schöenberg sa compagne à Miami. L'histoire ne dit pas
quel est le bilan Carbone de ce séjour au soleil...
Et s'il va arrêter de culpabiliser les Français avec les lubies des adorateurs de la déesse Gaïa.
La responsable (mais pas coupable ?) des jeunes de l'UMP en Gironde et conseiller municipal à Bordeaux nous écrit :
"Je vous demande de supprimer avant ce soir minuit l'article diffamatoire et scandaleux me concernant sur votre blog. Si ce n'est pas fait je porterai plainte, sur les conseils de mon avocat, dès demain."
On croit rêver. Le scandale, ça n'est pas notre brève qui se borne à rapporter les propos de Laetitia Jarty mais qu'une responsable de l'UMP déclare :
"Quant à la Gay Pride, vous savez, ça
ne choque pas du tout à l’UMP. J’ai toujours eu envie que notre
mouvement participe à la Gay Pride. Mon prédécesseur y était hostile,
mais j’ai demandé l’année dernière que les Jeunes Pop y participent sur
Bordeaux. Je suis d’ailleurs très amie avec la personne en charge de
GayLib [le mouvement homosexuel associé à l’UMP, Ndlr] sur l’Aquitaine.
En aucun cas la Gay Pride n’est en opposition avec les valeurs
familiales, au contraire."
Passons le fait que Laetitia Jardy "[n’ait] pas réfléchi à la question" de la construction des mosquées. Cela lui évite de devoir choisir entre les Français (majoritairement hostiles à leur édification) et les grands prêtres de la religion cathodique du Progrès avec lesquels il vaut mieux rester en bons termes quand on a quelques ambitions...
Ci-dessous, un petit aperçu de la compatibilité entre "les valeurs familiales" et les Gay-pride :
On va finir par se demander si l'UMP est compatible avec "les valeurs familiales"...
« La France n'est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une
religion, c'est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble.
Il n'y a pas de Français de souche, il n'y a qu'une France de
métissage. » Éric Besson, le 5 décembre 2009 à La Courneuve
Vigil Ignis «On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l'on n'admet pas tout d'abord qu'elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure.» Georges Bernanos dans "La France contre les robots"
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