C'est le constat que fait l'agence Gallup, à l'issue d'une enquête menée dans 135 pays entre 2007 et 2009. La violence et la misère expliquent principalement une telle hémorragie.
La violence endémique pousse des populations à chercher refuge dans les pays développés. Mais que faire lorsque, de victimes, ces populations deviennent bourreaux ? Pourquoi reproduire en Europe la violence qu'ils connaissent dans leurs pays d'origine ? L'article me paraît biaisé sur ce dernier point. Il part du principe que l'émigration est une fatalité, et que la misère entraîne nécessairement la violence.
Le cercle vicieux qui ne peut qu'empêcher les pays pauvres de se développer ne risque pas de s'interrompre. Si tous les citoyens quittent un pays, qui le relèvera de la violence ou de la misère ?
Didyme
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