[Les étudiants pro-vie communiquent]
"Aujourd'hui mardi 23 février 2010, l'Assemblée nationale a voté une résolution « visant à promouvoir l’harmonisation des législations européennes applicables aux droits des femmes suivant le principe de la clause de l’Européenne la plus favorisée ».
Le but est d’appliquer en France les mêmes dispositions que celles en vigueur chez nos voisins européens.
ThibaudOr, cette résolution en son alinéa 17 traite de la "santé reproductive" qui englobe l'avortement.
Dans certains pays de l'Union Européenne, l'avortement tardif est possible comme au Royaume-Uni où il est possible d'avorter jusqu'à la 24ème semaine ou encore en Suède jusqu'à la 18ème semaine (et plus sur avis d'une commission médicale...)
Ainsi, sous le beau et louable prétexte d’aider l’égalité homme-femme, on ira en réalité vers un accroissement du taux d’IVG.
Nous rappelons que l'accompagnement des femmes victimes de l'avortement en France est pitoyable, que le nombre d'avortement en France est environ de 210 000 par an et cela malgré une campagne de contraception massive.
Le législateur pense-t-il donc que c’est de toujours plus d’avortements que les françaises ont besoin ?
En voulant niveler les législations européennes par le bas, on va plutôt vers une harmonisation des problèmes.
Ne faudrait-il pas mieux développer une législation européenne protectrice de la vie visant à aider les femmes à éviter l’IVG, comme le font certains de nos voisins européens ?"
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