L'association Laissez-les-Vivre communique :
La manifestation de protestation publique envers la réception de Mme Simone VEIL à l'Académie française organisée conjointement par LAISSEZ LES VIVRE-SOS FUTURES MERES et SOS TOUT PETITS et soutenue par de nombreuses associations a rassemblé jeudi 18 mars près de [200, NDLR] participants quai du Louvre (face au quai de Conti).
Cependant, à peine installés quai du Louvre, les forces de police entendaient nous expulser du lieu prévu pour nous reléguer à au moins deux cents mètres du Pont des Arts situé face à la Coupole. En outre à peine mise en route, la sonorisation fut débranchée par un responsable de la préfecture de police avec menace de confiscation du matériel, et ce, malgré la mention exprès d'une sonorisation inscrite sur le récépissé de dépôt de déclaration, cacheté et signé, régulièrement délivré par la préfecture de police. Les associations organisatrices laisseront le tribunal correctionnel de Paris qualifier cette action constitutive d'une infraction pénale.
Un chapelet très fervent, animé par M. l'Abbé Beauvais (assisté de ses puissants mégaphones, faute de sonorisation). Entre chaque mystère, les prises de parole ont été assurées par le Dr Xavier DOR, Président de SOS TOUT PETITS ainsi que le Dr Luc PERREL et Pierre VOUTERS, respectivement Président et Délégué général de LAISSEZ LES VIVRE-SOS FUTURES MERES.
Tandis que Madame VEIL suivie de son terrible cortège de SEPT MILLIONS DE PETITES VICTIMES montait l'escalier d'honneur de l'Institut de France, revêtu du traditionnel tapis rouge, désormais rouge sang, le pavé de la place de l'Institut était jonché d'un millier de petites croix blanches, symbolisant chacune 7 000 enfants exterminés avant la naissance.
Désormais, chaque jeudi à 15 heures, deux militants en tenue de deuil, assureront une permanence place de l'Institut, jonché de ces petites croix blanches : en effet, puisque la République renie, une fois de plus, sa parole, il devient inutile de procéder à des déclarations de manifestation conformément au décret-loi du 17 octobre 1935 qui ne concerne que les rassemblements de trois personnes et plus.
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