L'éruption volcanique du volcan Eyjafjöll réjouirait presque certains écologistes ravis de voir tant d'avions bloqués au sol. Il paraît que c'est l'équivalent annuel en pollution d'une ville comme Grenoble qui aurait été évité. Comme toujours dans ce type de situation en pays développés, on s'aperçoit que les gens trouvent les moyens de rentrer chez eux. Par conséquent, certains pensent pouvoir se passer d'avions. Ridicule. Comme si le système D pouvait perpétuellement remplacer le progrès technique.
On croit rêver ! Revoilà les adeptes de la décroissance et de la régression obscurantiste qui viennent nous servir du naturalisme béat. Il ne faut pas avoir été touché par l'éruption pour adopter ce genre de réflexion, comme si les voyageurs avaient volontairement souhaité de se priver d'avions.
Surtout que les rejets en gaz du volcan sont certainement bien plus importants que l'ensemble des rejets des compagnies aériennes. En 1991, après l'éruption du Pinatubo, aux Philippines, la température avait chuté de deux degrés en moyenne pendant deux ans, sans l'aide de l'activité humaine. Une éruption volcanique, rien de tel pour refroidir les ardeur écologistes climatoréchauffistes.
Didyme
une hute de 2 degrés...hum, j'ai des doutes. je m'intéresse beaucoup à la météorologie...j'ai entendu dire de 0,5...mais de v2 degrés, c'est impossible !
Rédigé par : Le Goff | 20 avril 2010 à 06h12
0,6° pour être exact, pendant 30 mois.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pinatubo
Rédigé par : Alys | 20 avril 2010 à 19h57