Lu sur le blog de Jeanne Smits :
Les femmes qui, malgré les pressions de leur mari ou de leur petit ami, refusent d'avorter, se retrouvent souvent victimes de la part de ceux-ci de violences et parfois même d'assassinat. C'est ce qui résulte d'une enquête de l'Elliot Institute citée par le site américain Lifenews. L'étude s'intéresse aux « avortements forcés aux Etats-Unis » et aboutit à la conclusion qu'il existe une véritable « épidémie » d'avortements non désirés, et obtenus par la force : il pourrait s'agir de jusqu'à 64 % des avortements totaux aux Etats-Unis où les femmes affirment s'être senties pressées par quelqu'un d'autre d'avoir recours à « l'IVG ».
Ne pas suivre ces « conseils » n'est pas sans danger puisque l'étude rend compte de 200 cas de femmes ayant refusé d'avorter et qui ont subi de ce fait des agressions très violentes et même mortelles ; elle précise que la principale cause de mortalité parmi les femmes enceintes est l'homicide volontaire. L'Elliott Institute précise que nombre des centaines d'attaques violentes répertoriées avaient directement pour but de mettre fin à la grossesse. Elle a rassemblé ses données en surveillant les faits divers de ces six dernières années et en invitant les associations pro-vie à lui faire remonter les informations.
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.