nous signalent les organisateurs (qui font l'erreur de mettre toutes les religions dans le même sac) :
La préfecture de police a refusé aux Parisiens le droit de commémorer le soixante-dixième anniversaire de l'appel du 18 juin 1940 ce vendredi à La Goutte d’Or en partageant les produits typiques de nos terroirs dans la simplicité et la convivialité.
En notifiant officiellement cette décision ce mercredi dans l’après-midi – vingt-quatre heures après l’avoir annoncée par voie de presse ! –, elle nous empêche d’organiser ce pique-nique, puisqu’elle donne à la justice jusqu’à vendredi après-midi pour statuer sur le référé-liberté que nous avons déposé.
Nous annulons donc l'apéro prévu dans le quartier de La Goutte d'Or vendredi 18 juin à 19 heures et nous passons au plan B, qui permettra à chacun de manifester, dans le plus grand calme et dans le total respect des lois de la République, sa révolte face à cet interdit administratif et sa volonté d’entrer en résistance contre l’islamisation de la France.
Nous invitons tous les Parisiens à nous rejoindre place de l'Etoile, à l’angle de l’avenue des Champs-Elysées, vendredi 18 juin à 19 heures.
C’est là que, le 11 novembre 1940, malgré la publication d’un communiqué de la préfecture de police affirmant qu’« aucune démonstration publique ne sera tolérée », deux mille lycéens et étudiants eurent le courage de se réunir pour défier l’occupant.
Nous y donnerons une conférence de presse pour :
• présenter et analyser les raisons du refus opposé par la préfecture ;
• rappeler solennellement qu’aucun lieu public en France ne doit être régi par des lois religieuses ;
• annoncer des actions à venir.
Comme pour l'apéro, aucun signe de reconnaissance ou d'appartenance politique ne sera admis.
Nous n'acceptons que des drapeaux français, sans marque dessus.
Seuls les chants patriotiques français pourront être entonnés.
On peut apporter son saucisson et son jus de raisin, mais pas de boisson alcoolisée.
e-deo suivra en direct l'événement à partir de 18h50.
Hier, Bruno Larebière (Bloc identitaire) était invité sur iTélé : "le quartier de la Goutte d'Or est occupé"
"rappeler solennellement qu’aucun lieu public en France ne doit être régi par des lois religieuses"
et c'est sur le fond de cette revendication que les CRS viennent matraquer les cathos qui refusent de livrer les parvis de nos cathédrales aux différentes provocations des homos (kiss-in etc.)
Oui ! je vous trouve suspects et votre apéro saucisson-porc un vendredi soir plus fait pour marcher au pas de l'idéologie neocon sioniste antimusulmane,prohomo et anticatho
(MOD : nous avons déjà soulevé la question du poisson ici : http://e-deo.typepad.fr/mon_weblog/2010/06/ap%C3%A9ro-g%C3%A9ant-du-18-juin-la-racaille-ou-la-cochonnaille-.html et avons émis un (gros) bémol en début de post. Il faut seulement que vous admettiez que l'on peut hostile à l'islam sans être sioniste.)
Rédigé par : antihasbara neocon | 17 juin 2010 à 06h25
Et on peut aussi admettre que la seule opinion pacifique et respectueuse du droit des peuples consiste à être sioniste.
Car ne pas être sioniste, c'est être pour la disparition d'Israël.
Puisqu'être sioniste, c'était, avant 1948, soutenir la création d'un Etat pour regrouper les Juifs éparpillés à travers le monde.
Soixante ans après la fondation de l'Etat d'Israël, le débat entre sionistes et anti-sionistes n'a plus aucun sens. C'est un anachronisme. C'est un peu comme si les colonnes des journaux et des blogs étaient envahis de discussions passionnées entre iconoclastes et iconodules.
Non seulement l'anti-sionisme n'est pas distinct de l'anti-sémitisme, mais il est bien pire.
On peut être anti-sémite et ne pas aimer les Juifs, penser qu'ils exercent un pouvoir nocif sur la société, etc.
Etre anti-sioniste, c'est aller beaucoup plus loin : c'est vouloir remonter l'horloge de l'histoire, c'est affirmer qu'Israël n'existe pas, c'est par conséquent vouloir sa disparition, ce qui ne peut signifier qu'une chose : l'éradication physique des Juifs d'Israël.
Du moins si les mots ont un sens.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 17 juin 2010 à 21h38