"Moi par exemple, je suis pour l'égalité entre les garçons et les filles sur ce plan-là. J'attends. C'est pas la honte, au contraire : c'est respect. Personne va rien te dire."
Julie a beau être "athée, blanche, pas musulmane", la virginité "compte aussi. C'est un truc de respect pour elle-même, chez la fille. Si vous me dîtes qu'à Paris, la plupart des filles couchent avant le mariage, ça ne m'étonne pas, je sais que c'est normal pour vous. Mais nous, c'est quand même une chienne. Ça marginalise."
C'est dit en des termes crus et ça ne va pas faire plaisir à la lectrice de Cosmopolitain ou à la permanente du Planning familial prisonnières de leur "libération sexuelle", mais la virginité reviendrait en force dans nos banlieues :
Le reportage "la Cité du mâle" dont est extraite la vidéo supra est diffusé ce soir sur Arte.
Thibaud
Alors là, je dis bravo à ARTE de réduire le patriarcat à une "virilité" bestiale et dénuée de toutes cultures courtisanes et machistes. C'est une méthode de diabolisation classique pour discréditer la véritable virilité forgée par notre histoire ; que l'on retrouve d'ailleurs dans le film-documentaire de propagande féministo-pédéraste : "La domination masculine."
Je ne pense pas que nous puissions nous réjouir du retour de la virginité dans les banlieues par les agissements de "milices" de la pureté autoproclamées (qui ne rechignent d'ailleurs pas à tirer sur le chichon de temps en temps). D'ailleurs, ce n'est pas respecter la virginité, qui relève de l'intime, d'en faire un centre d' d'intérêt public... (Bien entendu je ne cautionne pas non plus la sexualité débridée, mais là n'est pas mon propos.)
Je plains ces pauvres femmes des banlieues, obligées de porter les si "sexy" jogging ou autre burka pour ne pas passer pour des "chiennes". Bien entendu qu'il faut que la femme se respecte dans sa manière de s'habiller, mais justement, se respecter, pour une femme, ne veut pas dire se travestir en garçon... bien au contraire.
Et puis merde, c'est quoi ce milieu où les hommes rejettent sur la femme leur incapacité à se maitriser ? Ce reportage rabaisse les garçons au stade d'animaux incapables de se contrôler (Caroline Fourest doit être bien contente)et qui en font payer le prix aux femmes.
Bref, pour faire simple, les femmes, c'est : ni sac ni pouffe, vive la beauté incarnée.
(PS : le mec déclare croire en l'égalité homme/femme... pfff machiste en carton, tarlouze.)
Rédigé par : Machiste ET galant | 31 août 2010 à 19h17