Décrire le nouveau déficit [67,9 milliards d'euros au 31 mai 2010 contre 82,1 milliards l'année dernière, NDLR] comme une amélioration reviendrait à dire, de la part du commandant de bord d’un avion : « Certes, nous continuons à piquer vers le sol, mais rassurez-vous, notre vitesse de chute s’est ralentie ! »
D’autres, plus marins, compareront le bâtiment de Bercy au Titanic, et les ministres qui s’y agitent en ce moment aux musiciens de l’orchestre du fameux paquebot qui, dit-on, continuèrent à jouer pendant le naufrage…
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