Pourquoi s'arrêter en si bon chemin ?
Je lui [Georges Frêche, NDLR] suggère encore Robespierre, Amin Dada et Pol Pot. Plus quelques tueurs vautrés dans la politique mais sans éthique. La liste est infinie de ceux qui ont démérité, dans l'Histoire, parce que l'humanité ordinaire ne pensant pas comme eux ne méritait plus de respirer. Quitte à faire dans l'abject, pourquoi se priver du grandiose ?
Puisqu'il faut absolument séparer morale et politique et que les provocations les plus belles sont les plus inadmissibles, à quand une statue en bronze d'Hitler à Montpellier ? Staline puis Adolf : je suis sûr que Georges Frêche aurait ainsi son triomphe. Il n'y a qu'une ignominie de plus à franchir du «petit père» au «führer» !
Au fond, tout cela est triste à pleurer. Il n'y a que Frêche qui rit auprès de quelques-unes de ses statues.
Thibaud
Cela est triste à pleurer en effet, c'est pourquoi je propose de dire un Notre Père et un Je Vous Salue Marie pour la conversion de G. Frêche
Rédigé par : Bruno | 21 août 2010 à 12h13