Le pape Benoît XVI, en tant qu'Allemand, donc "héritier" de l'Histoire, n'avait pas le droit de critiquer implicitement la politique du gouvernement français envers les Roms, a dit aujourd'hui Alain Minc.
"J'ai envie d'exploser un peu. Ce pape allemand ? Parler comme il a parlé ? En Français ?", a dit Alain Minc sur France Inter.
"On peut discuter (de) ce que l'on veut sur l'affaire des Roms, mais pas un pape allemand", a osé déclarer l'économiste, essayiste et conseiller officieux de Nicolas Sarkozy. Son prédécesseur "Jean-Paul II peut-être, pas lui".
Alain Minc a laissé entendre que, de par sa nationalité, Benoît XVI était "un héritier" du régime nazi.
"Son insensibilité qu'on a mesurée quand il a réinstallé un évêque révisionniste, son insensibilité à l'Histoire, dont il est comme tous les Allemands un héritier, non pas un coupable mais un héritier", a-t-il dit.
Des propos délirants qui en disent long sur le personnage et la haine anticatholique de certains juifs toujours prêts à instrumentaliser l'histoire.
Minc est le contraire de l'intelligence.
On s'en fiche de Minc, qu'il braille tout ce qu'il peut et nous savons pour quelle idéologie il roule au moins.
Rédigé par : CH | 26 août 2010 à 01h27