Jusqu'où la haine de soi peut aller... Le 1 juin 2009, le Brussels Journal publiait un article hallucinant, intitulé : « Les talibans m’ont violée, mais ils m’ont respectée ». C’était une interview de Joanie de Rijke, une journaliste néerlandaise de gauche qui s’est rendue en Afghanistan pour faire une interview sympathique avec les talibans djihadistes qui venaient de tuer dix soldats français. Elle a été enlevée et violée à répétition pendant six jours. Et maintenant elle est en colère, mais pas contre le principal voyou taliban, dont elle affirmait qui l’avait « respectée » même si, malheureusement, « il ne pouvait pas contrôler sa testostérone ». Non, elle est en colère contre les gouvernements belge et néerlandais qui ont refusé de payer la rançon de 2 millions de dollars exigée par les djihadistes... Thibaud (source : Riposte laïque)
Allons, allons, elle perd un peu les pédales.
Ces deux gouvernements n'ont pas payé sa rançon mais ils l'ont respectée, en refusant de faire d'elle le vecteur qui vole l'argent des contribuables pour financer des actes terroristes.
CQFD
Rédigé par : Barbara | 29 septembre 2010 à 14h38
je propose qu'on la renvoie en Afghanistan pour être violer de nouveau...
Rédigé par : philippe | 30 septembre 2010 à 23h26