Aujourd'hui, nous vous invitons à exercer votre vigilance sur des élections plus discrètes mais importantes, les élections des parents délégués au "conseil d'école" qui se tiennent cette année le vendredi 15 ou le samedi 16 octobre.Des militants homosexuels en profitent pour faire cheminer le non-sens de l'homoparentalité. "Dans les écoles que mes enfants fréquentent, une maman vit avec une femme, qui souhaite non seulement voter, mais aussi se présenter et être élue." témoigne une maman d'élève à Catholiques en Campagne.Aujourd’hui, ne peuvent se présenter et voter que les parents ou tuteurs ayant l’autorité parentale. "Pour le moment, la loi est claire, pas d’autorité parentale, pas de voix." fait remarquer cette personne.
Pour le moment.
Cependant "la maman demande un passe-droit, demande aux organisateurs d’être hors-la-loi. […] Le conseil d'école n'est pas le lieu de revendications politiques. La loi telle qu'elle est actuellement ne permet pas à cette femme de voter (sinon, pourquoi pas les parrains, marraines, les grands-parents, la nounou, qui participent à l'éducation des enfants et parfois à la vie quotidienne des enfants)".
Beaucoup hésitent à prendre position par rapport à l’homoparentalité. Peur du politiquement correct, du qu’en dira-t-on, manque d’arguments ? Il est pourtant primordial d’avoir une position claire sur ce problème : pas d'autorité parentale, pas le droit de voter et encore moins de se présenter. C'est une cause d'annulation des élections et nous vous invitons à écrire au service juridique de l'inspection de votre académie pour demander le respect de la loi. Avec une fermeté courtoise et charitable.
Autoriser, revendiquer l’homoparentalité n’est pas sans conséquence. Combattre pour faire respecter une loi claire et éviter les dérives n’est pas une option mais une nécessité. Comment nier l’impact et les conséquences que cela aurait : veto sur les manuels scolaires, prévisions de sorties orientées, peut-être même volonté de faire découvrir aux enfants une autre "alternative" comme ce fut le cas avec Le baiser de la lune, film faisant la promotion éhontée de l'homosexualité dans les école primaires.
Thibaud
"Le baiser de la lune" ne faisait aucunement une promotion de l'homosexualité. Il s'agissait juste d'un dessin animé, de bonne qualité d'après le peu d'image qu'on a eu le droit de voir, qui s'est fait miroir de la société, comme la plupart des dessins animés et des histoires que l'on raconte aux enfants, d'ailleurs.
C'est à ça que sert l'école (au niveau maternelle et primaire surtout) et les histoires, apprendre, découvrir par le jeu la société. De façon totalement inconsciente, on intègre les "codes" relayés par ces histoires.
Bien sûr, tout cela doit se faire de manière graduée, et on ne va pas raconter à un gamin de CP une histoire avec violences conjugales et meurtre à la clef. Mais l'homosexualité n'est pas quelque chose de négatif, et dire aux enfants que oui, ça existe, et que oui, c'est normal, relativement tôt dans l'enfance permet d'ouvrir à la tolérance. Il en est de même avec les différentes religions, les différentes origines, la "couleur de peau", etc...
Croyez-moi, ça serait quelque chose d'extrêmement bénéfique que de faire ça, autant pour eux (même s'ils sont hétéros), que pour leur entourage et la société.
Rédigé par : Skorpan | 14 octobre 2010 à 17h53