Face au vice-président du Front national, le fils de la Veuve Jean-Luc Mélenchon et le négationniste Vincent Peillon.
Thibaud
Face au vice-président du Front national, le fils de la Veuve Jean-Luc Mélenchon et le négationniste Vincent Peillon.
Thibaud
Rédigé le 08 décembre 2009 à 22h03 dans Antichristianisme, Culture de mort, Culture de vie, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Belgique et Chrétienté asbl (site/blog), lobby accrédité au Parlement européen, communique :
Aujourd'hui, Béatrice Delvaux, rédactrice en chef du journal Le Soir (peu connu pour ses sympathies à l'égard des valeurs catholiques), publie un édito à propos de la succession du Cardinal Danneels, primat de l'Eglise catholique de Belgique.
Et voilà Madame Delvaux, athée militante, qui réclame du Pape qu'il désigne un nouvel archevêque de Malines-Bruxelles qui fasse "du Danneels, sans Danneels", c'est-à-dire qui ne fasse pas appel "aux valeurs traditionnelles", "à la façon des églises espagnole ou italienne" qui feraient preuve "d'un traditionalisme religieux prosélyte" qui dérange notre journaliste militante.
Curieusement, lors du débat sur le dernier référendum suisse, la rédactrice en chef du Soir n'était pas du côté des opposants au prosélytisme musulman incarné par les minarets.
Serait-ce donc une confirmation que c'est la seule religion catholique qui dérange Madame Delvaux ?
Conseillons à celle-ci de s'occuper de ce qui la regarde et d'essayer de faire de l'information objective plutôt que du lobbying épiscopal teinté de christianophobie prosélyte.
Rédigé le 08 décembre 2009 à 17h43 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Economie et social, L'UE au quotidien, La vie des médias, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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par Christian Vanneste
Une vingtaine d’associations familiales
et de défense de la famille ont répondu à mon invitation de débattre,
la semaine dernière, à l’Assemblée nationale, avec mon collègue Jean Leonetti du rapport sur le “statut de beau-parent” dont il avait été chargé par le Premier ministre.
Intitulé Intérêt de l’enfant, autorité parentale et droit des tiers, ce rapport établi après l’audition de nombreux spécialistes de l’enfance fait ressortir le caractère inutile et inopportun de l’avant projet de loi relatif à l’autorité parentale et aux droits des tiers de février 2009.
Projet inutile, parce que les nouveaux conjoints ou concubins d’une femme ayant la garde des enfants qu’elle a eus d’une union antérieure (et il en va de même dans les cas, moins nombreux, où c’est le père qui a eu cette garde) :
Projet inopportun parce que faisant l’impasse sur les conséquences néfastes qu’il pouvait avoir. C’était en particulier le cas de la disposition prévoyant lors d’une nouvelle rupture le maintien automatique de droits pour l’ex beau-parent. On aurait abouti ainsi à une sorte de multipaternité, à un partage de l’enfant entre plusieurs ayants-droit, solution à l’exact opposé du jugement prononcé par Salomon entre les deux femmes qui se disputaient un enfant.
La démarche de Jean Leonetti consiste à donner la priorité à l’intérêt de l’enfant. Mais cette priorité ne doit pas être un prétexte pour légaliser toutes les situations au motif que des enfants y sont impliqués.
Cette priorité doit, au contraire, conduire le législateur à refuser la multiplication de lois à l’usage de minorités privilégiées. Il faut qu’il s’en remette aux juges pour la recherche des moyens pratiques de préserver cet intérêt, dans le cadre de lois d’une portée générale.
C’est pourquoi il a préféré dans son rapport le développement du recours au médiateur familial au vote d’une loi dont il apparaissait dès la troisième ligne de l’avant projet qu’elle était d’abord faite pour satisfaire une revendication du lobby homosexuel. L’accueil bruyant fait au rapport par le dit lobby l’a bien confirmé.
La méthode appliquée par Jean Leonetti dans le cas du statut de beau-parent peut s’appliquer à beaucoup d’autres questions intéressant les familles, et pas seulement les enfants, mais tous les plus faibles, comme celle de la gestation pour autrui ou celle de la fin de vie.
Rédigé le 08 décembre 2009 à 16h50 dans Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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par Néel de Néhou
Le silence. Une famille de femmes emmurées dans le silence. Voici ce qu'a retenu du procès Courjeault, le réalisateur Jean-Xavier de Lestrade, qui nous a livré hier soir une sorte de documentaire, appellation qui évoque une vertu républicaine sacrée : l'objectivité.
Oui, cette objectivité, ce recul, vous savez ? Celui qui est sensé construire un bon journaliste-reporter, mais qui ne signifie hélas, pour les propagandistes inventeurs d'opinions publiques, que façonner à leur guise, l'opinion des pauvres ignorants que nous sommes.
« J'aime les gens qui doutent », chantait Anne Sylvestre bien à propos, en cette sainte période soixanthuitaine, où l'on acheva de remplacer les convictions par le doute, la justice par le droit individuel, le don par le « moi, je ». Oui, on ne peut désormais que douter.
Douter de la légitimité de vies humaines, observées au microscope dans une politique de transgression de la science, dans l'optique mensongère de sauver d'autres vies, qui, elles, vaudraient plus que d'autres.
Douter de la capacité d'un mère en détresse, d'aimer convenablement son enfant, si le contexte n'est pas parfaitement conforme aux exigences aux lois de consommation.
Douter de la capacité au bonheur de ces enfants dépistés à risque de malformation ou atteints de maladies génétiques.
Le procès de Véronique Courjeault n'en est pas un : pauvres idiots que nous sommes, les journalistes nous disent « attention, ne vous trompez pas ! Il ne s'agit pas d'un procès, mais d'un débat ! ». On sait ce que cela signifie. Il faut « se remettre en question », douter de soi, de ses convictions. Après tout, reprenons tout à zéro : et si Véronique Courjeault n'avait pas fait exprès de commettre ces meurtres ? Et si c'était elle, la vraie victime ?
Toutes les souffrances représentent-elles un réservoir d'excuses potentielles en cas de transgression de la Loi ? Est-on coupable lorsque l'on souffre, de transformer sa douleur en haine, et dans ce cas, jusqu'où peut-on pardonner au nom de la souffrance ?
En ce qui me concerne, la vie en communauté m'a donné un certain mal, des difficultés, des souffrances, m'ont donné du fil à retordre avec les autres, me permettant des accrocs à la Charité ou au pardon, des erreurs et des refus de responsabilité dûs à mes engagements. Jusqu'au jour où j'ai reçu une parole de bon sens, qui est certes, facile, mais responsabilisante : « si les erreurs peuvent s'expliquer, on ne peut forcément les excuser ». En effet, parfois, on souffre, mais on va trop loin. Parfois, les causes de nos erreurs légitiment le pardon de nos frères, mais ne peuvent en libéraliser la pratique. Le monde sait et connaît les tribulations auto-destructives du désespoir. Est-il pour autant condamné à se détruire, sommes-nous condamnés à survivre au détriment des plus faibles ?
Ils étaient trois petits enfants. Véronique Courjeault les a supprimés. Mais il s'agissait d'enfants non désirés, dépourvus de projet parental, nés dans un contexte défavorable, des « tumeurs humaines », selon le Docteur Nisand :
"Il ne suffit pas d'être enceinte pour attendre un enfant", souligne-t-il. "S'il n'y a pas de parole, il n'y a pas d'enfant, il y a de la tumeur humaine". (le Docteur Nisand parle ici de ce qu'interprète la femme en déni de grossesse ).
La grossesse n'étant pas nommée, reconnue, la femme souffre donc de déni de grossesse. Des mots très forts, qui frappent, interrogent, font douter : cette mère infanticide est-elle une coupable, ou une victime ? Que de conditions met-on aujourd'hui au droit à naître ! Que de conditions oppressent les parents souhaitant avoir un deuxième, ou un troisième enfant ! Que de diktats au soi-disant bonheur ! Pour vivre, il faut faire preuve d'aptitude à la jouissance, d'une aptitude optimale à en profiter, parce que pour eux, la vie, ce n'est que ça ! Il est interdit d'interdire, il est obligatoire de jouir, de profiter, de s'octroyer le maximum de plaisir. Et pourquoi se priver de vérifier si tout un chacun en est bien capable ? La science le permet...
Véronique Courjeault est donc victime de sa souffrance psychique, son « déni de grossesse ».
Victime, bien sûr, nous autorise gracieusement à penser ce téléfilm. Victime parce que souffrante, et surtout, solitaire, silencieuse. Pourtant, ne nous dit-on pas également qu'elle est par ailleurs une Maman comblée ? Une Maman aimante ? Comment juger si sa famille ne rassemblait-elle pas tous les critères exigés par l'opinion médiatico-publique pour « réussir son projet d'enfant » ?
Quelles auraient été alors, les conditions à réunir, pour que ces trois enfants puissent avoir le droit de vivre ? Le déni de grossesse est une bonne parade explicative, une note à rajouter au dossier de l'institution républicaine. Déni de grossesse, oui, mais déni d'accouchement ? Les enfants ne sont-ils pas finalement nés, donc rendus au réel ? D'après les ouvrages de psychologie, les mères enceintes rêvent leur enfant, elles l'imaginent. Il s'agit de « l'enfant imaginaire ». Et cela va du fait d'imaginer un bébé rose et joufflu, quitte à être un peu impatientes ou déçues même, lors des premières échographies, aux souvenirs plus ou moins douloureux, qui vont faire d'elles peu à peu, les mères qu'elles deviendront en mettant au monde ces mêmes enfants, la naissance rendant ainsi à l'enfant sa liberté d'exister par lui-même et pour lui-même, au-delà des fantasmes ou des névroses de sa mère.
L'enfant à naître n'est pas plus un projet qu'une matière.
Cela ne peut être dit sans nous rappeler l'histoire du bourreau soviétique frappant un homme prisonnier. L'homme, n'en pouvant plus, tente de faire appel à l'être humain, ce fameux être humain dont on nous vante le côté naturellement bon, même défiguré par la haine, et dans un ultime effort, il s'adresse à lui : « Mais pourquoi continues-tu à me frapper ? Ne vois-tu pas que je souffre, que tu me fais du mal ? ». Le bourreau répond : « Je suis matérialiste. Pour moi, tu n'es que de la matière. Te frapper, c'est comme frapper cette table, ou cette chaise. »
Les embryons surnuméraires employés comme de la matière à expérimentation scientifique, parce que démunis de leurs papiers assurant le « projet parental sur eux », des embryons avortés parce que dépistés à risque de maladies ? Des risques pas pris, de vagues projets abandonnés, des attentes niées, comment va-ton appeler cela ? Quel mot va-ton inventer, pour surtout ne pas juger, ne pas accuser ? Pour être sûr de laisser un doute, un doute sur ce sang, qui a pourtant été répandu, là, devant nous, mais qui peut-être finalement n'en est pas ? Un doute sur ces membres arrachés, utilisés à des fins scientifiques et commerciales, qui peut-être, n'en sont pas vraiment ? Quelles sont les conditions requises pour aimer contre toute attente ?
Enfin, qui nous montrera comment prendre tous les risques, au nom de la vie ?
Ce soir, en ce 8 décembre, des millions de lumières resplendiront de tous leurs feux, chantant la gloire du Christ Sauveur par son Immaculée Conception, les millions de petites lumières de ces enfants non-nés ou pas encore nés, abandonnés au jugement d'un procès d'un monde, en déni de lui-même.
Rédigé le 08 décembre 2009 à 14h46 dans Avortuerie, Bioéthique, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Délinquance, Economie et social, La vie des médias, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Vous voulez vous projeter en 2010 ? Vous cherchez un cadeau pratique et intelligent à faire à un membre de votre famille, à un ami ? L’Agenda Benoît XVI 2010 devrait vous convenir. Avec le côté pratique d’un agenda, il offre à la fois la qualité de présentation d’un beau livre mais aussi la richesse d’un contenu à méditer tout au long de l’année. Chaque mois, des pensées et citations de Benoît XVI pour approfondir notre foi. Chaque semaine, un texte court d’une personnalité ecclésiastique ou d’un laïc investi dans la société : liturgie, famille, enseignement, tradition, eugénisme… de quoi nourrir notre réflexion de façon ludique et agréable ! Et, c’est 1 € reversé à la Fondation Lejeune pour chaque agenda acheté.
Pour commander votre agenda à 19,90 € + frais de port : www.editions-terramare.com / Tél : 01 46 21 12 94 / E-mail : [email protected]
ThibaudRédigé le 08 décembre 2009 à 14h24 dans Bon plan, Chrétien(s) au quotidien, Conso, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Littérature, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Communiqué
Les Etudiants Pro Vie soutiennent l'initiative de la Society for the Protection of Unborn Children britannique et la Youth Defence irlandaise se rendant à Strasbourg pour manifester devant la Cour Européenne des Droits de l'Homme sur l'affaire "A, B and C vs Ireland" qui risquerait de voir légaliser l'avortement en Irlande.
Ils appellent tous les Strasbourgeois pro-vie à participer au rassemblement prévu demain matin devant la Cour Européenne de 9h à 12h.
Rédigé le 08 décembre 2009 à 13h25 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé le 08 décembre 2009 à 12h47 dans Avortuerie, Culture de vie, Economie et social, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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L'amendement déposé par le sénateur Nelson est soutenu par son collègue démocrate Robert Casey et huit sénateurs républicains.
Il réclame qu'aucun fonds dans le cadre de la réforme de la couverture santé ne puisse être utilisé pour un avortement, sauf dans le cas de pathologies graves ou si la grossesse est le résultat d'un viol ou d'un inceste.
Cet amendement se veut le pendant d'une disposition qui avait divisé les démocrates à la Chambre des représentants où un amendement similaire avait finalement été adopté le 7 novembre, juste avant le projet de loi qui a ensuite a été approuvé de justesse dans son ensemble.
"Pendant plus de 30 ans, l'argent des contribuables n'a pas été utilisé pour les avortements", a justifié Ben Nelson, qui souhaite que la réforme en discussion garantisse cette situation.
De son côté, la Conférence des évêques américains a exprimé son soutien à l'amendement en adressant une lettre à tous les sénateurs pour les exhorter à "effectuer des changements essentiels au plan de réforme de la couverture santé pour s'assurer que le texte protège vraiment la vie, la dignité, les consciences et la santé de tous".
Rédigé le 08 décembre 2009 à 10h32 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Economie et social, Etats-Unis, Notre Eglise, Société civile (EU) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le curé de l'ancienne basilique de Guadalupe a lancé un défi aux représentants de l'ONU au Mexique qui y font la promotion de l'avortement en exigeant que les lois mexicaines se mettent au diapason des États où le crime est légal, les engageant à produire les textes internationaux des Nations unies qui « reconnaîtraient le droit de tuer ».
Il répondait à des questions de la presse en marge d'une manifestation de familles - beaucoup d'enfants étaient présents - auprès de la statue de l'Ange de l'Indépendance au Mexique pour réclamer le respect de la vie. Le recteur Pedro Agustin Rivera s'était adressé aux fidèles en expliquant que leur marche était une préparation pour ce 8 décembre, journée mondiale des droits des enfants conçus. Il a souligné qu'aujourd'hui « tous les traités internationaux sont en faveur de la vie, si bien que l'avortement constitue le non-respect et la violation de ces traités ».
Rédigé le 08 décembre 2009 à 10h22 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu dans L'Aberration :
«Un fou de Dieu» en charge d’un important hôpital psychiatrique public, à Reims ? La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot vient de nommer Xavier Dousseau, directeur de l’Établissement public de santé mentale de la Marne (EPSMM). Cette nomination, effective le 1er janvier, aurait pu passer inaperçue, mais voilà, tout le milieu de la psychiatrie locale est monté au créneau pour dénoncer cette «nomination ahurissante».
Menottes. «Comment faire confiance et travailler avec un directeur qui s’est attaché aux blocs opératoires de son propre hôpital pour empêcher des IVG ?» s’interroge ainsi un psychiatre, chef de service à Reims. De fait, ce nouveau directeur, Xavier Dousseau, n’est pas un personnage tout à fait banal. En octobre 1995, alors directeur adjoint de l’hôpital de Valenciennes (Nord), il avait pris la tête d’un commando anti-avortement, s’était enchaîné à une table d’opération dans la salle d’intervention du centre d’IVG de son propre établissement, et cela avec dix autres personnes menottées les uns aux autres. Il avait fallu faire appel aux pompiers et aux policiers pour les déloger. Xavier Dousseau avait été immédiatement suspendu de ses fonctions et poursuivi en justice.
Pour expliquer son geste, il n’avait pas vraiment eu d’états d’âme. «Je n’en pouvais plus de ma complicité passive. Je réclame, pour les personnels hospitaliers, le même droit à l’objection de conscience que pour les médecins», disait-il, alors. L’homme, en tout cas,est fidèle. Ce combat, il le mène depuis des années. Membre de la communauté chrétienne Pain de vie, il militait aussi dans le groupe Mère de miséricorde, association d’aide aux mères en difficulté. [Lire la suite...]
Rédigé le 08 décembre 2009 à 10h09 dans Antichristianisme, Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le pédopsychiatre Marcel Rufo déclare au Figaro :
Pourquoi autoriser un homosexuel à adopter seul, mais lui refuser d'adopter en couple ? Les mentalités ont changé depuis le pacs. Si on légalise une union entre deux personnes du même sexe, je ne vois pas pourquoi on leur interdirait l'adoption. Mais elle devrait être réservée aux couples constitués, liés par un mariage ou un pacs par exemple.
Demander l'abolition du PaCS, c'est déjà se battre contre l'adoption par les homosexuels !
Rédigé le 07 décembre 2009 à 16h08 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Sénateur démocrate de l'Etat de New-York et pasteur pentecôtiste dans le Bronx, Ruben Diaz a voté contre la légalisation des parodies homosexuelles de mariage (notre article).
Rédigé le 07 décembre 2009 à 15h59 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Etats-Unis, Société civile (EU), SOS Homofolie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Il y a douze ans, il était à la tête d’un “diocèse” épiscopalien de 40 000 fidèles, et fut l’un des 19 “évêques” épiscopaliens à signer une « déclaration de tristesse » lors de la nomination de Gene Robinson, un homosexuel pratiquant et “pacsé”, comme “évêque” épiscopalien.
Rédigé le 07 décembre 2009 à 09h20 dans Antichristianisme, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Etats-Unis, Histoire, Notre Eglise, Société civile (EU), SOS Homofolie, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 07 décembre 2009 à 08h52 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Notre Eglise, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Marianne 2 publie coup sur coup deux articles qui ne sont pas sans relations.
Le premier nous révèle que Marianne 2 commence à connaître le fonctionnement de l'Eglise catholique, et que si la prochaine loi de libéralisation de l'avortement est adoptée, tous les signataires, y compris le roi, seront excommuniés. L'article souligne que l'Espagne imbroglio politico-confessionnel qui s'annonce difficile à résoudre, chacun des membre du gouvernement jurant sur les Evangiles la fidélité à la nation espagnole.
Dans un autre article, Marianne 2 remet au goût du jour les théories du sociologue Jeremy Rifkin pour expliquer la politique socialiste du gouvernement Zapatero. Pour lutter contre les 18,5% de chômage, ce dernier a décidé de réduire le temps de travail, s'inspirant ainsi des 35 heures de Martine Aubry. Bien sûr, l'article ne manque pas de rejeter sur le patronat la responsabilité de l'échec de cette politique, et non sur son inanité inhérente. En effet, les théories de Jeremy Rifkin repose sur l'approfondissement d'une observation faite au siècle dernier : la mécanisation, comme vecteur de suppression des emplois par le remplacement des manœuvriers. Pour lui, l'informatisation croissante des sociétés modernes provoque des pertes d'emplois colossal, car l'informatique peut traiter les tâches plus rapidement, à moindre coût, et plus longtemps. Plusieurs postes peuvent ainsi être remplacé par un ordinateur. Cette analyse fait trop rapidement l'économie des critiques du bouquin de Rifkin. En 2001, au moment où sortait "La fin du travail", Rifkin fut critiqué pour ne pas avoir compris qu'un société qui se mécanise ou se dématérialise par l'informatisation supprime certes des emplois, mais pour en créer d'autres. La fonction d'ingénieurs informaticiens étaient alors en pleine expansion. Si de nombreux postes furent perdus dans les industries, ils furent compensés par la hausse des embauches dans les métiers liés à l'informatique, au nom d'un principe simple : qui veut voyager loin ménage sa monture. Les services ont connus un essor extrêmement important, car ils devenaient alors un relai essentiel de la croissance mondiale, aussi bien dans les pays développés que dans les pays en développement. Rifkin fut oublié, ou presque. En 2001, les USA étaient le pays le plus informatisé ; c'était aussi le taux d'emploi le plus élevé. Jamais on avait autant travaillé aux Etats Unis. En 2009, malgré la crise, l'analyse est toujours valable quant à la peur du progrès technique. Les 35 heures ne peuvent que baisser les salaires, détruire un peu plus la compétitivité des entreprises espagnoles par l'augmentation des salariés, et ouvrir ainsi un peu plus le marché espagnol aux firmes étrangères...
Quel lien entre ces deux articles ? Je me dis que les socialistes sont encore convaincus de pouvoir réaliser "les lendemains qui chantent", le bonheur terrestre, la joie pour tous, la société de loisirs porté à son niveau le plus ridicule. L'avortement libéralisé, les 35 heures,travailler moins longtemps pour faire travailler plus de monde, jouir de son temps libre, etc... Nulle remise en cause du système, nulle remise en cause de la mondialisation, nulle remise en cause des effets induits par les sacrifices constants à l'Union Européenne ou aux petits producteurs africains... L'Espagne n'a pas fini de s'enfoncer...
Didyme
Rédigé le 07 décembre 2009 à 01h35 dans Avortuerie, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Emission "C'est quoi l'amour ?" consacré aux familles nombreuses. Reportage auprès de familles nombreuses catholique de 9 enfants, catholique de tradition de 7 enfants, russe de... 33 enfants, chrétienne nord-américaine de 19 enfants.
De la culture de vie en concentré !!!
Rédigé le 06 décembre 2009 à 21h44 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Etats-Unis, Jeunes, Société civile (EU), Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Emission "Dieu merci !" du 27 novembre 2009 présentée par Hadrien Lecoeur, avec Dominique Morin :
Thibaud>
Rédigé le 05 décembre 2009 à 16h38 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Economie et social, La vie des médias, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Un des avocats des inculpés, Tom Dixon, de la Thomas More Society, a présenté au juge Jenny Pitts Manier une demande de renvoi pour cause de suspicion légitime. En effet, [la juge] Jenny Pitts Manier n’est autre que l’épouse d’un professeur de Notre Dame, Edward Manier, dont Tom Dixon a démontré qu’il avait commis plusieurs écrits pro-avortement, qu’il avait donné « une somme importante » à la campagne présidentielle d’Obama et qu’il avait également contribués aux campagnes de plusieurs hommes politiques pro-avortement ! Contre toute attente, la juge Jenny Pitts Manier a fait volte-face. Elle qui, en août dernier, interpellée par Tom Dixon avait refusé de répondre à sa question sur les écrits pro-avortement de son époux, se contentant de répondre « Je ne suis pas mon mari », a jugé hier recevable la demande de renvoi pour suspicion légitime et accepté que cette demande soit étudiée par une juridiction d’appel – ce sera soit la Cour d’appel de l’Indiana, soit la Cour suprême de cet État. Ce processus a pour premier effet de repousser toute nouvelle audience à plusieurs mois. Cette décision ne fait pas que soulager la défense et les inculpés : elle est aussi très bienvenue pour le procureur de l’État obligé, certes, de poursuivre en raison de la plainte de Notre Dame, mais pas loin de considérer cette plainte comme excessive.
Rédigé le 04 décembre 2009 à 18h55 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Etats-Unis, Notre Eglise, Société civile (EU) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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