demandant l'abolition de la loi contre le blasphème au Pakistan (qui sert à persécuter la minorité chrétienne).
> Signer la pétition de l'Aide à l'Eglise en détresse.
Thibaud
demandant l'abolition de la loi contre le blasphème au Pakistan (qui sert à persécuter la minorité chrétienne).
> Signer la pétition de l'Aide à l'Eglise en détresse.
Thibaud
Rédigé le 04 août 2010 à 02h52 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Economie et social, Islam, Notre Eglise, Prière | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Au cours de son récent séjour au Liban, l’émir du Qatar, Sheikh Hamad Bin Khalifa Al-Thani, s’est rendu en compagnie du président de la République libanaise, Michel Suleiman, au monastère orthodoxe Saint-Mimas, en partie détruit par des tirs israéliens en juillet 2006 et restauré grâce à des fonds qataris. Au cours de la réception dans la salle attenante à l’église, le métropolite orthodoxe de Saida et Marjayoun, Elias Kfouri, a affirmé que « la vie en commun dans notre pays constitue notre plus grand trésor ». Le maire a ensuite offert les clefs de la localité à l’émir puis les deux chefs d’Etat ont visité le monastère et l’église.
Selon le blog Orthodoxie, le Qatar finance la restauration d’une quarantaine de monastères et églises dans le sud du Liban.
Rédigé le 04 août 2010 à 02h17 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Economie et social, Histoire, Islam, Notre Eglise, Patrimoine, Tendances | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé le 03 août 2010 à 16h23 dans Bon plan, Conso, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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comme dit la gauche. Voici une liste non-exhaustive des faits divers enregistrés en juillet 2010 :
01/7 : Oussama Djellou defigure femme pour avoir refusé avances (Grenoble)Rédigé le 02 août 2010 à 00h22 dans Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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A Roubaix, les boucheries traditionnelles se comptent sur les doigts d’une main mais Martine et Jean-Luc Delcour ne se plaignent pas de la pénibilité de l’activité. Ils dénoncent un environnement hostile.
« Des jeunes ont manifesté leur écoeurement parce que nous n’étions pas une boucherie hallal »
Durant 30 ans, Martine et Jean-Luc Delcour ont tenu la boucherie installée au 267 rue de Lannoy. « C’est vrai que notre clientèle, composée de personnes âgées, ne se renouvelait pas beaucoup, dépeint Martine Delcour. Mais la fréquentation restait suffisante. Nous aurions pu continuer… »
Les Delcour ont préféré fermer boutique en novembre 2009, vendre l’immeuble et tirer un trait sur le fonds de commerce. Ils ont emménagé à quelques dizaines de kilomètres, profitent de leur retraite mais gardent un goût amer de leur départ prématuré.
« Des jeunes ont manifesté leur écoeurement parce que nous n’étions pas une boucherie hallal, relate Jean-Luc Delcour. Une fois, un adolescent a même craché sur mon comptoir… »
« Un client a protesté dans mon magasin parce que je mangeais une clémentine en période de ramadan ! »
Son épouse poursuit : « Nous recevions des jets de soda ou de yaourt sur notre vitrine. » Des comportements isolés ? « Je ne suis pas au courant de ces agissements , indique un travailleur social, ça pourrait se produire car l’influence cultuelle est très forte dans les quartiers. »
Un autre professionnel, exerçant dans les quartiers Est, complète laconiquement : « La situation est explosive… » Nathalie Desfrennes, présidente de l’association Commerces et Quartiers et de l’union des commerçants de la rue de l’Épeule, se souvient à son tour d’une anecdote : « Un client a protesté dans mon magasin parce que je mangeais une clémentine en période de ramadan ! »
« Une partie de notre clientèle, vieillissante et dépendante, ne pouvait plus se déplacer, reprend M. Delcour. Certains ont arrêté, m’ont-ils dit, de commander des saucisses ou du jambon parce que leur auxiliaire de vie refusait de transporter des morceaux de porc. »
Rédigé le 01 août 2010 à 20h13 dans Délinquance, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"les propos du président de la République qui procèdent d'une nouvelle gesticulation estivale, n'ont qu'un mérite, celui de confirmer officiellement le caractère criminogène de certaines immigrations, vérité pour laquelle le Front national est persécuté depuis trois décennies"
Le MRAP :
"une fois de plus, Nicolas Sarkozy s'aligne sur les thèses du Front national"
Rédigé le 01 août 2010 à 19h53 dans Identité, Immigration, Islam, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu dans Le Figaro :
Myriam P. s'en souvient comme si c'était hier. Elle se souvient des cris dans la rue, des insultes qui montaient, de la horde qui gonflait, se massait sous ses fenêtres, des projections de pierres et de carrelages qui menaçaient de tomber dans la chambre de sa fille endormie et bientôt des coups de boutoir dans sa porte, après qu'une quinzaine de jeunes eurent défoncé le portail de son immeuble.
Réfugiée dans les toilettes de son appartement, tenant blottie contre elle son bébé tandis qu'elle essayait désespérément de joindre la police, elle pouvait les entendre qui hurlaient : « On va vous crever, sales céfrans (Français, ndlr). » Son mari, lui, arc-bouté derrière la porte d'entrée, pouvait voir voler en éclats son mur devenu poussière de plâtre. « On a cru vivre nos derniers instants. Sans l'intervention de la BAC, c'en était fini. » C'était dans la nuit du 17 au 18 avril, au 14 de la rue des Trois-Journées, en plein cœur de Perpignan. A cinquante mètres de la splendeur gothique qu'est la cathédrale Saint-Jean-Baptiste, et à deux cents mètres à peine du commissariat principal. Coupables d'avoir osé demander que cessent sous leurs fenêtres les rodéos de scooters et menacé de prévenir les flics.
Pendant cinq jours, encore traumatisé par la violence de l'agression, le jeune couple a bénéficié, grâce à leur assureur, de la protection d'un vigile. Mais après ? Renforcer la cloison ? Dérisoire ! S'en remettre aux caméras de surveillance installées dans la ville pour prévenir des agressions ? Elles ont fait la démonstration que la dissuasion ne suffisait pas face à des délinquants mineurs le plus souvent impunis. A quoi bon vouloir rester dans ce quartier quand leurs agresseurs étaient déjà libres, alors qu'eux-mêmes, à quatre heures du matin, n'avaient pas fini de déposer plainte ? L'un d'eux, à 15 ans, comptait déjà 122 arrestations à son actif. Rester ? Autant tenter le diable ! « C'était intenable, donc nous sommes partis. Il aurait fallu me payer très cher pour que j'y reste un mois de plus », dit-elle aujourd'hui avec le sentiment coupable qu'en choisissant l'exil, elle démissionne et abandonne le terrain à ces nouveaux barbares.
Pour autant, cette jeune femme énergique sera la seule à témoigner à visage découvert, parce qu'« il faut sortir de l'omerta, briser la spirale du silence ». C'est qu'elle n'est pas seule à avoir connu l'enfer. Certains n'ont pas eu sa « chance ».
Direction Saint-Assiscle, un quartier résidentiel de Perpignan. Le 2 juillet, Katy et Thierry, son compagnon, ont été à leur tour victimes de la violence ordinaire. Sur sa page Facebook, la jeune femme de 35 ans livre, lasse, ses sentiments : « C'est pas la joie en ce moment avec la merde qui traîne dans mon quartier... J'ai failli perdre la vue à l'œil gauche. Voilà, c'est pas trop la fête à Perpignan. » Lorsqu'elle consent à nous parler, enfin, elle explose. Son compagnon ? Agressé au poing américain et à la barre de fer, alors qu'il était descendu s'interposer, voyant que deux gamins à vélo qui rentraient du cinéma étaient sur le point de tomber dans un guet-apens, au milieu de jeunes caillassant des voitures. Ils étaient quinze à s'acharner sur lui. Résultat : douze points de suture sur le visage et trois autres sur le crâne. Elle ? Rouée de coups par des gosses à qui elle distribuait des bonbons à l'occasion des fêtes de quartier! « Pendant que nous déposions plainte, certains jeunes étaient déjà à nos fenêtres, salissant d'insultes notre fille de 10 ans qui n'arrivait plus à dormir et qui attendait notre retour... la menaçant : "On va t'attraper !" Depuis, elle fait des cauchemars ! » Et son petit frère de 8 ans, un garçon qui ne s'est jamais battu et, insiste Katy, a toujours été premier de sa classe... lui ne cesse désormais de répéter : « Quand je serai grand, je vous tuerai tous. » Depuis, des bandes traînent sous leurs fenêtres et font pression pour qu'ils retirent leur plainte. « Nos voisins eux-mêmes nous le demandent, pour en finir avec cette histoire qui empoisonne la vie de l'immeuble. Boîte à lettres fracassée, courrier volé, je suis aujourd'hui obligée de convenir de rendez-vous avec la postière pour récupérer mes lettres ! » Intimidations, menaces, comment, dans ces conditions, rester plus longtemps ? Pour Katy, la conclusion s'impose d'elle-même : « Longtemps, la France a été une terre d'asile. Aujourd'hui, c'est à notre tour de nous réfugier, parce que c'est trop tard et que la situation nous a échappé. » Lire la suite...
Lire aussi :
Rédigé le 01 août 2010 à 00h50 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le député socialiste de la Gironde écrit sur son blog, à propos des déclarations du chef de l'Etat annonçant son intention de modifier la législation pour que la nationalité française puisse être retirée à toute personne d'origine étrangère qui aurait "volontairement porté atteinte" à la vie d'un policier, d'un gendarme, ou de tout autre "dépositaire de l'autorité publique" :
"Un des plus créatifs dans le genre a mis ainsi à son palmarès : Thomas Mann, Albert Einstein, Erich Maria Remarque, Willy Brandt...
J'en connais qui auront du mal à rivaliser.."
Michèle Delaunay compare donc Nicolas Sarkozy à Adolf Hitler et sous-entend que le chef de l'Etat souhaite s'en inspirer, "rivaliser" même, écrit-elle...
Des propos grotesques en plus d'être carrément injurieux et diffamatoires.
Thibaud (via Infos-Bordeaux)
Rédigé le 01 août 2010 à 00h30 dans Identité, Immigration, Islam, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Thibaud (source : Petrus Angel)
Rédigé le 30 juillet 2010 à 23h10 dans Détente, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Grenoble. Midi. Ce vendredi 30 juillet, les conseillers régionaux FN de l’Isère remettent en main propre à Nicolas Sarkozy la lettre ouverte que lui adresse Bruno Gollnisch.
En exclusivité, les Jeunes avec Gollnisch en publient le texte :
Monsieur le Président de la République,
Nous avons l’honneur, à la suite des très graves événements qui justifient votre présence aujourd’hui à Grenoble, de vous présenter une requête urgente.
Depuis début avril à Grenoble, autrefois cité paisible, les agressions physiques aux personnes ont augmenté en nombre, en violence, en sauvagerie haineuse. Une véritable barbarie s’est acharnée sur des victimes à terre, subissant coups de pied, coups de couteau, coups de tesson de bouteille au visage…
On déplore trois assassinats, des braquages, des vols, deux séquestrations, un viol, des incendies de voitures par dizaines…
C’est une escalade dans l’horreur ; un terrorisme de proximité, asséné au quotidien. N’importe qui peut tomber sous ces coups, comme ce jeune homme de 23 ans poignardé sur la place centrale de Grenoble parce qu’il ne pouvait donner une cigarette réclamée par une bande de malfrats. Il sera sauvé par une intervention chirurgicale de six heures, mais restera avec des séquelles. Ou encore ce paisible septuagénaire rentrant d’une partie de pétanque, poignardé par deux encapuchonnés qui tentaient de lui extorquer son porte-monnaie.
Vendredi 16 juillet au matin, après une attaque à main armée au casino d’Uriage, des malfrats ont tiré sur des policiers et l’un d’eux, multi-récidiviste, est mort dans la fusillade à Villeneuve de Grenoble. Des bandes ont alors attaqué un tramway, puis caillassé les forces de l’ordre, proféré injures, menaces de mort, « fait du tir à tuer les policiers » comme l’a défini la Directrice Départementale de la sécurité publique, avec arme de poing et fusil. Des incendies de voitures par dizaines, des pillages et incendies de commerces ont mobilisé d’importantes forces de police, CRS , GIPN Raid, hélicoptère…
On découvre une cache d’armes de guerre. On découvre que les policiers de la Brigade anti-criminalité sont fichés, menacés, et que des « contrats » existent sur leur tête. Du coup, leur hiérarchie les prie de se mettre au vert.
Où cela va-t-il s’arrêter ? On appelle des renforts. Mais, si les renforts sont menacés, qui les protègera ? Les parachutistes ? Les blindés ?
Un journaliste parlait d’insurrection. Serait-ce l’explication de l’aggravation des agressions aux personnes ? Il faut en tout cas cesser d’incriminer la pauvreté ou le manque de services sociaux pour expliquer, voire justifier, comme le font certains, cette guerre haineuse faite à la France. L’Inspection Générale des affaires sociales a d’ailleurs constaté que la vraie misère se trouve dans nos campagnes, et non dans les « quartiers » de nos villes. En 2004 le taux de pauvreté en Seine-Saint-Denis atteignait 18%, dans la Creuse 19,5% ! Mais il ressort du rapport de l’Observatoire National de la délinquance qu’en 2009, le taux de violences physiques crapuleuses pour 1000 habitants est 83 fois plus élevé en Seine-Saint-Denis que dans la Creuse (8,3 contre 0,1).
En réalité, ce sont les Français les plus démunis qui subissent l’insécurité le plus violemment, dans l’indifférence généralisée de la classe politique et médiatique.
À la Villeneuve de Grenoble, après des années d’investissements dans le cadre de la « politique de la ville », et après les dégâts causés par ces dernières émeutes, le Maire, M. Destot, promet la prise en charge du coût des voitures brûlées et 75 Millions d’€ pour la Villeneuve. C’est donc toujours plus d’argent pour toujours plus de dégâts !
M. le Président de la république, cette situation ne changera pas avec le remplacement d’un préfet qui n’avait pas démérité. Elle ne changera pas avec les voyages de Monsieur Hortefeux (deux en un trimestre), même accompagnée de déclarations martiales, et de mouvements de troupes de police.
Elle ne changera qu’avec des actions décisives contre la délinquance, et notamment la suppression de l’un de ses terreaux de prédilection, celui que lui fournit une immigration massive, incontrôlée, et qui trop souvent donne lieu à l’implantation sur notre territoire de communautés étrangères à notre culture, hostiles au reste de la population, animées d’une mentalité conquérante, déterminées à combattre tout ce qui peut représenter l’ordre public français : police, gendarmerie, mais aussi conducteurs de bus ou de tramway, contrôleurs, pompiers, médecins, professeurs, etc.
Contre l’abandon des citoyens aux agressions à venir, toujours plus sauvages, notre mouvement, le Front National est depuis des années le seul à sonner l’alarme et à dénoncer les graves déséquilibres sociaux engendrés par la folle politique d’immigration massive et incontrôlée mais orientée vers le communautarisme, c’est à dire la Libanisation.
Pour briser l’impunité des criminels et délinquants :
Il faut maintenir intacts et améliorer les moyens en personnel et matériel de la police (en 10 ans, alors que la population a considérablement augmenté, Grenoble a perdu 150 policiers !).
Il faut également des moyens supplémentaires pour la Justice.
Il faut rétablir la hiérarchie des peines dans le Code pénal, que les réformes successives ont amoindri. Il faut que ces peines soient promptes, certaines, qu’elles assurent la mise hors d’état de nuire des délinquants, la protection de la société, et qu’elles soient accompagnées d’un suivi.
Mais il faut pour cela de nouvelles places de prison. Nos prisons actuelles sont des dépotoirs. Les condamnés doivent y acquérir l’expérience du travail, s’ils ne l’ont pas, et être suivis à la sortie. La construction de 100 000 nouvelles places s’impose d’urgence.
Vous vous étiez engagé au cours de votre campagne présidentielle à augmenter les moyens de la police de la justice. Rien, ou presque rien n’a été fait.
Pour éradiquer le réflexe tribal et insurrectionnel de certains quartiers :
Il faut arrêter les repentances à répétition par lesquelles la France se déconsidère auprès des Français et des étrangers qui vivent sur son sol. Nous serions responsables de tous les maux de la terre : colonialisme, exploitation, esclavage… Vous vous étiez engagé à mettre fin à ces repentances ; le premier acte de votre quinquennat, avant même votre intronisation, a été de vous y livrer.
Il faut obtenir l’union dans les valeurs de la nationalité Française de tous ceux qui le souhaitent et renvoyer d’où ils viennent ceux qui la contestent. Cela implique une redéfinition du code de la nationalité française qui, doit s’hériter ou à défaut se mériter. On apprend tous les jours, par les faits divers, que des prédateurs divers, des prostituées, des personnes sans foi ni loi l’ont obtenue facilement ; et notre droit est ainsi fait que les formalités sont souvent beaucoup plus difficiles pour les gens honnêtes et parfaitement intégrés ! Votre majorité, votre parti, dès avant les élections législatives de 1986, s’était engagé à une réforme substantielle du code de la nationalité. Rien n’a été fait dans ce domaine. Un laxisme incroyable prévaut, qui n’existe pas dans la plupart des autres pays du monde.
Il faut rendre impossible le cumul des nationalités. Cela implique un contrôle des entrées sur notre territoire.
Vous vous étiez engagé à la maîtrise de l’immigration. Rien n’a été fait. « L’immigration choisie », sur laquelle il aurait beaucoup à dire, devait se substituer à l’immigration subie. En fait, aujourd’hui, l’immigration choisie concerne selon les statistiques mêmes de l’État, 180 personnes par an ! Et l’immigration subie : regroupement familial, demandeurs d’asile réels ou fictifs (la plupart du temps fictifs), naissances étrangères sur le sol français, régularisations de clandestins, ou tolérance de leur présence sur le territoire, concerne plus de 300 000 personnes par an !
L’auteur du braquage dont la mort a été le prétexte de ces émeutes était un multirécidiviste déjà condamné trois fois en cour d’assises pour vol à main armée. Comment a-t-il obtenu la nationalité française ? Comment l’a-t-il gardée, puisqu’il était très vraisemblablement pourvu d’une double nationalité ? Pourquoi n’en a-t-il pas été déchu ? Il faut expulser sans faiblesse les délinquants étrangers. Hélas, Monsieur le Président de la République, vous-même avez lutté contre ces expulsions au nom de l’abolition de la prétendue double peine. Les Français sont exaspérés de voir que l’on continue de tolérer sur leur territoire des gens dont les agissements, s’ils avaient été commis par des Français en pays étranger, leur aurait valu l’expulsion immédiate et définitive.
Il y a bien sûr des étrangers honnêtes, et des voyous bien de chez nous. Mais commencez, M. le Président de la République, par nous débarrasser des voyous étrangers, et nous ferons de la place pour les nôtres dans nos prisons. La préférence nationale doit s’appliquer dans tous les domaines y compris celui-ci !
Tant que ces réformes de fond n’auront pas été mises en œuvre, l’insécurité ne régressera pas. Tout le monde le sait, et chacun fait semblant de ne pas le savoir.
Nous vous remercions, Monsieur le Président de la République, d’avoir bien voulu prendre connaissance de ces quelques réflexions, et nous vous prions d’accepter qu’elles puissent être rendues publiques.
Dans l’espoir qu’elles puissent recevoir au moins un début d’exécution, nous vous prions aussi de bien vouloir agréer l’expression de notre haute considération.
Bruno Gollnisch, député européen et président du Groupe Front National au Conseil Régional Rhône-Alpes
Maurice Faurobert, conseiller régional
Alexandre Gabriac, conseiller régional
Mireille d’Ornano, conseiller régional
Rédigé le 30 juillet 2010 à 15h56 dans Délinquance, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Anthropologiquement, la burqa représente (...) le contraire de la visibilité : elle rend invisibles les femmes. Elle les escamote, les fait disparaître du jour, les expulse de la lumière. Ce dispositif s’exerce par un double jeu autour du “voir” : d’un côté faire voir l’idée, la force de l’islam politique, et de l’autre effacer celles qui portent dans l’espace public cette idée, les femmes, les rendre invisibles en les couvrant d’une bâche. Certains signes religieux soulignent la foi, l’accompagnent dans l’espace public, réussissant à donner un vêtement à l’âme, redoublant la visibilité de la personne, de son corps, de son visage, par la visibilité de sa spiritualité. La kippa, la croix chrétienne, le costume d’un moine ou d’une moniale, et même le hidjab (le voile ou foulard musulman qui ne cache pas le visage) y parviennent. La burqa, au contraire, ne souligne rien : elle élimine la femme du regard d’autrui, la désincarne radicalement pour ne laisser paraître qu’une terrible abstraction, celle du pouvoir temporel d’une idée délirante. Bref, la burqa déspiritualise autant qu’elle désincarne.
Rédigé le 30 juillet 2010 à 02h57 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Fièrement halal." La campagne publicitaire de la société Isla Délice sera visible du 2 au 10 août sur 6 000 panneaux d'affichage dans 150 villes de France. Isla Délice utilise comme visuel principal le coq, symbole français. Une façon de signifier aux vacanciers sa vision du Français de demain, musulman ou résigné à consommer halal ?
Rédigé le 30 juillet 2010 à 02h40 dans Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Tendances | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Belgique et Chrétienté asbl (blog|site), lobby accrédité auprès du Parlement européen, communique :
![]()
Quelques médias belges avaient déjà signalé le mariage de Philippe Moureaux (71 ans) avec Latifa Benaïcha (35 ans). Le journal PAN/Père Ubu va plus loin et affirme que le bourgmestre socialiste de Molenbeek, commune multiculturelle de la région bruxelloise, se serait converti à l'islam. Selon l'hebdomadaire, les nouveaux mariés auraient en effet introduit une demande de reconnaissance de leur mariage par le Maroc, pays d'origine de Latifa Benaïcha. Or, l'article 39 de la mudawana (loi familiale marocaine) stipule que "... sont interdits les mariages entre une musulmane et un non musulman". Si les époux Moureaux-Benaïcha veulent régulariser leur situation familiale auprès des autorités marocaines, cela impliquerait donc qu'ils fournissent un certificat de conversion de Philippe Moureaux à l'islam. Plutôt connu jusqu'à présent pour ses accointances maçonniques, le bougmestre de Molenbeek ferait donc allégeance à Allah ! Voilà une nouvelle qui mériterait un peu plus d'écho.
Il est vrai qu'au cours de la dernière campagne électorale, le nouveau président de la Chambre des Représentants, André Flahaut, socialiste lui-aussi, avait déclaré lors d'un entretien au journal La Dernière Heure que lorsqu'il rentrait chez lui, il enfilait volontiers une djellaba.
On ne pourra pas dire que les édiles socialistes belges ne font pas preuve d'un souci d'intégration...
Rédigé le 29 juillet 2010 à 11h30 dans Economie et social, Identité, Immigration, Islam, L'UE au quotidien, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Rédigé le 29 juillet 2010 à 11h24 dans Islam, Tendances, UE/Turquie | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Le Point donne la parole à Denis, policier à la BAC. Extrait :
"Nos collègues de Grenoble ont leur nom et prénom tagués sur les murs du quartier de la Villeneuve. Et la seule réponse du ministère, c'est de les mettre au repos ou de les muter. Je suis dans la BAC depuis 10 ans. Aujourd'hui, je suis écoeuré. Une fois encore, on se couche devant les caïds. On nous a donné l'ordre de ne plus patrouiller en civil, de remettre nos uniformes pour ne pas être identifiés comme un flic de la BAC. C'est désastreux pour l'image. Les petits caïds se disent dans leur tête que les flics ont peur, qu'ils reculent. Parmi les policiers exfiltrés, il y a un major à deux mois de la retraite avec 15 ans de BAC derrière lui. C'est la honte.
"Quand on pense que Sarko avait promis de karcheriser les cités !"
On se fout de la gueule des flics, on nous prend pour de la chair à canon. Quand on pense que Sarko avait promis de karcheriser les cités ! La hiérarchie fait tout pour minimiser la gravité de la situation. Personne ne sait ce qu'est devenu l'agent de sécurité qui a failli prendre une balle. C'est l'omerta. Heureusement, l'info circule entre nous, via les portables.
"Il faut que la population sache que les policiers n'ont pas peur d'entrer dans les cités. Si nous n'y allons pas, c'est que nous avons ordre de ne pas y aller."
J'entends certains dire 'il faut envoyer l'armée'. Qu'on nous laisse agir, et ça ira très vite. Ce n'est pas une vingtaine de petits caïds qui vont faire la loi. Ces derniers jours, avec les renforts qui ont débarqué, les types se tiennent à carreau. Hormis quelques marioles qu'il faut savoir calmer. Hier, on est tombé sur un crevard de ce genre. Le type était au téléphone quand on s'est approché pour le contrôler. Je m'adresse à lui en le vouvoyant pour lui demander de mettre fin à sa conversation téléphonique, il me répond en me tutoyant : "Tu es qui toi pour me demander de m'arrêter de téléphoner. Personne ne me contrôle ici." Il a pris direct deux pièces de cinq francs (des gifles). Après, il nous disait : "Bonjour, merci et au revoir." Bien sûr que je me mets hors clous en agissant ainsi. Mais pourquoi devrait-on baisser la tête ? Si tous les flics agissaient ainsi, les problèmes seraient vite réglés. Pour moi, ça, ce n'est pas une bavure, c'est une démarche citoyenne. Il faut arrêter de verbaliser le citoyen lambda et s'attaquer aux caïds, aux dealers, aux braqueurs. Quand un jeune de 20 ans roule dans une X6 qui coûte 120.000 euros et qu'il ne travaille pas, c'est à lui qu'il faut confisquer la voiture sur le bord de la route.
Il faut que la population sache que les policiers n'ont pas peur d'entrer dans les cités. Si nous n'y allons pas, c'est que nous avons ordre de ne pas y aller. Aujourd'hui, la hantise des autorités, c'est la bavure, l'émeute, l'embrasement. Mais à force de reculer, de renoncer, on arrive à des situations comme aujourd'hui."
Rédigé le 29 juillet 2010 à 03h36 dans Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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Lu sur le site islamique Al-Kanz (partenaire de Rue 89) :
Aujourd’hui, nous sommes en mesure de vous confirmer, comme nous le soutenons depuis le début, que non seulement Quick n’abandonnera pas le halal, mais que 14 restaurants passeront au « halal » dès le 1er septembre prochain, à Chelles (77), à Sevran (93), à La Courneuve (93), à Rosny-sous-Bois (93), à Créteil (94) et dans le quartier de Hautepierre à Strasbourg (67) [un quartier où "on" tente d'incendier le temple protestant avant de le saccager parce que l'on y prie le Christ..., NDLR]. Les villes de Lille, Bordeaux et de nouveau Marseille seraient aussi concernées. En revanche, aucun des restaurants parisiens n’a été sélectionné.
Tout cela était évidemment cousu de fil blanc. Depuis le passage au « halal », les huit restaurants qui ont défrayé la chronique avant les élections régionales ont évité la fermeture. Mieux, le chiffre d’affaires de chacun de ces restaurants a littéralement explosé. Un succès rapide, dont l’ampleur a surpris le groupe Quick lui-même.
Je ne jeterai pas la pierre aux Français (même patriotes) qui continuent à aller de temps en temps chez Quick (ou McDo, peu importe). Car, dans beaucoup d'endroits, manger français pour moins de 10 euros est malheureusement impossible. Ou alors il faut se contenter de l'éternel sandwich à emporter. Si des entrepreneurs nous lisent...
Par ailleurs, il ne faut pas négliger la radicalisation des croyants musulmans. Ceux-ci vont être de plus en plus nombreux à contester le caractère halal des menus des établissements Quick jurant l'être. Les guillemets qui cernent le mot "halal" dans l'article d'Al-Kanz veulent déjà tout dire... Quick va se les mettre progressivement à dos tandis que des musulmans monteront leurs chaînes de restauration rapide, tenues par des musulmans et plus militantes (par exemple soutenant Gaza, à l'image de Mecca Cola). L'image de la chaîne aura parallèlement été écornée auprès des Français dits "de souche" (qu'ils aillent demander aux polos Lacoste ce qu'il en coûte en terme d'image d'être associé à certaines populations) qui auront d'ici-là, je l'espère, une ou - pourquoi pas - plusieurs alternatives...
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Rédigé le 29 juillet 2010 à 02h35 dans Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, Patrimoine, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Pour le président du Front national, "tous ces problèmes d'insécurité sont liés à l'immigration massive". Il était invité ce matin sur Europe 1 :
Thibaud
Rédigé le 28 juillet 2010 à 10h35 dans Délinquance, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Rédigé le 28 juillet 2010 à 02h41 dans Antichristianisme, Délinquance, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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