[Le Président de la région Ile-de-France persiste et signe dans son entêtement mortifère. Voici sa réponse aux mails de protestations qui ont fait suite à l'appel des Étudiants Pro-Vie, de Choisir la Vie et des Soignants Porteurs d'Espérance.]
"J’ai pris connaissance du message dans lequel vous
vous indignez de la campagne d’information du mouvement français pour
le Planning familial, de la Coordination des associations pour le droit
à l’avortement et à la contraception et de l’Association nationale des
centres d’interruption de grossesse et de contraception.
Comme
vous le soulignez, le Conseil régional apporte son soutien à cette
campagne intitulée "Sexualité, contraception, avortement : un droit,
mon choix, notre liberté ».
J’estime que cette campagne est juste et nécessaire.
Si je mesure le chemin que la société française a parcouru depuis 1975 et la reconnaissance du droit pour les femmes à disposer de leur corps et à maîtriser leur fécondité, je ne peux occulter les obstacles techniques, idéologiques ou psychologiques qui subsistent et privent de nombreuses femmes de leur liberté de choix.
J’ai bon espoir que les campagnes d’information et les actions de prévention menées en coopération avec les associations majeures du secteur rendent aux Franciliennes cette liberté."
Une "liberté" de tuer son enfant tellement peu utilisée en Ile-de-France qu'on y pratique 30% d'avortements en plus que la moyenne nationale et trois fois plus qu'en Allemagne ! Mais ça n'est pas encore assez !
ça pue le franc-mac !
Rédigé par : LGC | 16 février 2010 à 16h14
Il faut savoir que cette campagne de communication est soutenue par les élus sortants de l'UMP et du MODEM.Ce n'est pas en voter pour la liste UMP malgré la présence de candidat MPF qui va régler le problème. Il faut clairement soutenir les candidats pro-vie le 14 et 21 mars!
Rédigé par : Delhoume Emmanuel | 16 février 2010 à 20h06
Monsieur Huchon,
Avez-vous bien compris qu'avorter, c'est disposer de la vie d'un être sans défense, en un mot: de le tuer? si oui, alors "bon vent". Il ne s'agit certainement pas de juger les femmes qui y ont recours, mais ceux qui ne leur donnent pas d'autre information ou moyen de garder leur bébé.
Je vous souhaite d'y réfléchir
Rédigé par : berric | 16 février 2010 à 20h13
Ce serait bien d'ajouter en début d'article cette précision : "le président socialiste de la région Ile de France", des fois que ceci explique cela ...
Rédigé par : Jean-Marc | 24 février 2010 à 03h58