qui ne donne pas la parole aux défenseurs de la vie :
Fatima Lalem, l’adjointe à la mairie de Paris chargée de l’égalité femmes-hommes (...) dénonce « une offre de service défaillante » dans la capitale, et même « une dégradation » de l’accès à l’interruption volontaire de grossesse (IVG).
Elle montre du doigt « les tabous qui perdurent » et « un désinvestissement des médecins, les militants des années soixante-dix étant partis à la retraite ».
« L’avortement, ce n’est pas la partie noble de la gynécologie, et il y a un problème de coût », lance-t-elle. Une fausse-couche coûte 600 euros, le double environ d’un avortement, assure l’élue, laissant entendre que l’IVG rapporte moins.
Elle dénonce la fermeture de centres pratiquant l’IVG, notamment dans les cliniques, et des délais trop longs pour obtenir un rendez-vous.
En 2010, cela fera 35 ans que l'avortement est autorisé : pour forcer les médias et les politiques à rouvrir le débat, mobilisons-nous massivement pour que la marche pour la vie du 17 janvier soit un succès.
Ce n'est pas une initiative de L'Alsace. C'était une conférence de presse de Fatima Lalem et alia, le 28 août, et ce qui est cité vient de la dépêche de l'AFP.
(MOD : sauf que L'Alsace cautionne car diffuse la dépêche. La dépêche ne donne la parole qu'aux partisans de la "culture" de mort.)
Rédigé par : Yves Daoudal | 07 octobre 2009 à 09h50