Après un démarrage catastrophique, le dernier livre de Valéry Giscard d'Estaing La Princesse et le Président (14 000 exemplaires vendus à la mi-octobre) n'aurait pas dépassé les 20 000 exemplaires écoulés selon L'Express de cette semaine. Pour un tirage de 120 000 exemplaires...
N'hésitant pas à traiter Giscard de "vieux satyre à la main balladeuse", Stéphane Bern s'interroge :
Comment un homme que l’on disait si brillant, un polytechnicien doublé d’un énarque, devenu président de la République puis académicien a-t-il pu se laisser aller – comme mû par une sorte d’incontinence – à publier une bluette digne de la collection Harlequin? Peut-être espérait-il dans sa grande naïveté que son style inimitable allait être couronné d’un Prix Goncourt ou, mieux, d’un Prix Nobel de littérature…
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