Jeanne Smits nous signale que :
la Cour de protection dont les pouvoirs ont été considérablement élargis par le gouvernement Labour, possède depuis la Loi « Capacité mentale » de 2005 le droit d’ordonner le retrait de traitements de survie, la mise en œuvre de traitements que le patient refuse (ainsi une femme atteinte de cancer et souffrant d’une phobie de l’hôpital et des aiguilles qui s’est vu imposer un traitement par le juge), la mise en œuvre de traitements « innovants » (ce qui peut faire utiliser des patients handicapés mentaux ou avec un faible QI comme cobayes), ou un avortement.
Exemple à l'appui.
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.