Entendez la droite droitdelhommiste, pas la droite des valeurs.
Thibaud
« août 2010 | Accueil | octobre 2010 »
Entendez la droite droitdelhommiste, pas la droite des valeurs.
Thibaud
Rédigé le 23 septembre 2010 à 02h27 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Economie et social, La vie des médias, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
Annie Laurent interviendra sur le thème "l’islamisation – la démocratie française et l’islam" à l'Université interâges de Versailles (6 impasse des gendarmes, à côté de l'hôtel de ville) dans le cadre de la journée régionale Ile-de-France du Mouvement pour la France de Philippe de Villiers samedi 25 septembre à 16h.
L'universitaire dédicacera son livre "Les Chrétiens d'Orient vont-ils disparaître ?".
Rédigé le 23 septembre 2010 à 01h35 dans Agenda, Délinquance, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
« Votre engagement pour la défense de la vie, selon l'enseignement des papes Jean-Paul II et Benoît XVI, est un beau témoignage d'espérance pour notre société. C'est une belle œuvre que la vôtre et une consolation de voir le bon travail que vous faîtes. En tant que président de l'Académie pontificale pour la Vie, je ne peux que vous en remercier et vous encourager dans cette voie ». (Message de soutien de Mgr Fisichella, président de l'Académie pontificale pour la Vie, le 29 septembre 2009, à Renaissance Catholique).
Renaissance Catholique organise le 16 octobre prochain sa 20e Marche de prière pour la Vie ! Pouvez-vous nous rappeler son histoire ?
Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance Catholique : Notre première Marche a eu lieu le 20 octobre 1991. Nous partions alors de Versailles, le dimanche matin, et après une messe célébrée à 12 h en plein air dans le Bois de Boulogne, nous achevions notre parcours par un Salut du Saint-Sacrement sur le parvis de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre. Dès le début, notre intuition était que le combat pour la défense de la Vie ne pouvait pas ne revêtir qu'une dimension naturelle. Qui a vu de ses yeux le comportement des contre-manifestants lors des rosaires publics organisés par SOS Tout-Petits et le docteur Dor, ne peut plus ignorer le caractère satanique de ce déferlement de la culture de mort. Il y a les tenants "présentables" de cette contre-culture : Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac, Simone Veil,… et les nervis anarcho-trotskystes, vêtus de noir, le blasphème à la bouche chargés de faire taire les opposants par la violence du « harcèlement démocratique », cher à Jean-Christophe Cambadélis. Derrière les flots de sang et les océans de larmes versés depuis cinquante ans, au nom de la libération de la femme –surtout libération de la braguette–, se cache, de plus en plus mal, « celui qui est homicide depuis le commencement ». Tout cela nous semblait exiger plus qu'une simple protestation publique, si légitime fut-elle, mais en plus une expiation, une réparation et une intercession publiques. Il nous semble que s'applique à la Culture de mort ce paragraphe de l'Ecriture sainte : « Cette sorte de démon ne se vainc que par la prière et le jeûne » (Marc IX, 29).En 1994, nous avons modifié notre dispositif car la messe en plein air dans le Bois de Boulogne, au mois d'octobre, était très éprouvante pour les participants et le célébrant, en raison des conditions climatiques… Nous avons alors bénéficié pendant six ans, de l'hospitalité de la paroisse Notre-Dame du Lys, à Paris, où la messe était célébrée en fin de matinée avant que nous ne rejoignions le Sacré-Cœur que les autorités du sanctuaire avaient mis à notre disposition depuis 1992, la seule contrainte étant que le Salut ne pouvait pas avoir lieu trop tôt à cause des offices en fin de journée. En 2000, la Préfecture de Police nous a signifié que, pour des raisons de sécurité, il ne nous était plus possible de franchir la Seine. Il nous a donc fallu trouver un point de départ sur la rive droite et c'est ainsi que le lieu de départ est aujourd'hui sur le parvis de la basilique Notre-Dame des Victoires. Depuis dix ans, notre Marche prend la forme d'une procession aux flambeaux, afin d'en rehausser la tenue.
Cette Marche a-t-elle toujours sa raison d'être alors que celle de « 30 ans ça suffit ! » en janvier, bien que plus récente que la vôtre, rassemble sensiblement plus de monde ?
JPM : Nous nous sommes effectivement posé la question. Dès le début, nous avons apporté notre soutien à cette Marche car nous faisons partie du Collectif qui l'organise. La démarche du Collectif se veut à la fois aconfessionnelle et apolitique. Il est cependant un fait que la seule institution qui défende l'intégralité de la loi naturelle contenue dans le décalogue, est l'Église catholique, et sans doute, l'Église orthodoxe. Les seuls pays où une opposition vigoureuse à la Culture de mort se manifeste (Etats-Unis, Espagne, …) sont ceux dans lesquels la hiérarchie catholique s'est publiquement investie dans ce combat. De plus, n'oublions pas que l'immense majorité des marcheurs est catholique. Si certains craignent la confessionnalisation du débat, d'autres redoutent la récupération politique. Notre démarche à nous est clairement confessionnelle et politique. Un prêtre bénit les marcheurs et leurs cierges au départ et nous achevons notre démarche par un Salut du saint-Sacrement dans la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre. Plusieurs cardinaux, évêques ou supérieurs de communautés religieuses, ont rejoint le Comité d'honneur ou soutiennent la Marche. L'an dernier Mgr Fisichella, alors président de l'Académie pontificale pour la Vie, nous avait transmis un beau message d'encouragement. Tous les élus politiques sans distinctions sont les bienvenus. Si ce sont des lois que nous déplorons et condamnons, il nous paraît heureux que s'associent à notre protestation tous ceux qui d'une manière ou d'une autre travaillent à l'élaboration des lois ou à leur application à quelque échelon que ce soit : Union européenne, France, région, département, commune… On ne peut pas souhaiter « Des élus pour la vie » et bouder ceux qui se déplacent, en oubliant que l'état de l'opinion publique étant ce qu'il est en France, ces élus n'ont pas une voix à gagner dans cette démarche mais en ont beaucoup à perdre.
Certains opposent le côté festif et joyeux, musicalement très animé, de la Marche de janvier à celui plus austère, de celle d'octobre...
JPM : Nous assumons tout à fait ce que certains peuvent considérer comme « ringard » dans la récitation du chapelet. Heureusement, nous sommes en bonne compagnie dans cette « ringardise » : quelques saints, tous les papes,… De plus, pour être franc, la gravité des faits en cause et leur nature ne nous incitent guère à faire la fête : 200 000 avortements chirurgicaux annuels, sans compter les victimes de la pilule du lendemain et du stérilet, 1 mariage sur 2 qui se solde par un divorce, 1 famille sur 5 qui est monoparentale… Cette longue litanie des victimes de la Culture de mort nous incite plus à la gravité et à la dignité qu'aux manifestations festives. Il y a un temps pour tout ! D'ailleurs l'immense majorité de nos marcheurs sont des jeunes gens et des jeunes filles qui ont compris cela. Notre foi conforte les vérités naturelles, mais seules la prière et la pénitence pourront vaincre « le père du mensonge ». La légitimité de notre Marche nous semble justifiée par cette réflexion du Cardinal Bergoglio, archevêque de Buenos Aires, en juillet 2010, à l'occasion du vote par le parlement argentin d'une loi autorisant le mariage homosexuel : « Ne soyons pas naïfs : il ne s'agit pas d'un simple combat politique, c'est le projet de détruire le plan de Dieu. Il ne s'agit pas d'un simple projet législatif (celui-ci est seulement un instrument), mais une manœuvre du père du mensonge qui prétend embrouiller et tromper les enfants de Dieu ». Dans ce domaine, comme dans bien d'autres, la laïcité est un piège.
Comment voyez-vous l'évolution du combat pour la Vie dans les années qui viennent ?
JPM : Malheureusement, il faudrait être aveugle pour ne pas observer que la situation est loin de s'améliorer et que, à cet égard, la droite parlementaire joue un rôle tout aussi néfaste que la gauche libertaire. Les batteries d'acclamation saluant l'entrée sous la coupole de Simone Veil, le 18 mars dernier, ont clairement manifesté ce consensus mortifère. Ainsi Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, vient de doubler, à l'occasion de la Journée de la femme, le 8 mars dernier le montant du forfait IVG qui passe pour les chirurgiens avorteurs de 382 € à 625 € l'acte. La même déclarait le 15 juin devant le Sénat : « L'IVG est présentée comme un mal nécessaire. Je ne m'associe pas à cette présentation négative (…) Je préfère, en souvenir de nos combats, conserver le mot « avortement » plutôt que cet IVG de bon ton (…) La grossesse non désirée est une souffrance, l'avortement est un moyen de diminuer cette souffrance. » L'avortement fut d'abord une exception, puis il est devenu un droit, il est maintenant un bien, une sorte d'analgésique ! Cependant, dans le même temps, Mme Michèle André, présidente de la délégation aux Droits des femmes et à l'égalité des chances, était bien obligée d'observer le 15 juin dernier devant le Sénat : « Les pressions psychologiques exercées par les familles, mais aussi par certains éléments du corps médical, rendent plus difficile pour les femmes l'exercice de leurs droits. Enfin, certains médecins sont encore réticents à accomplir des actes d'IVG. » La vérité est que le réel, même effrontément nié, refait toujours surface. Tous les acteurs du drame sont conscients à un moment ou à un autre qu'un avortement chirurgical, ce n'est pas une opération de l'appendicite. La médiatisation du syndrome post-avortement sera sans doute d'ailleurs un des axes majeurs du combat pour la vie dans les années à venir. Nous faisons nôtre la récente déclaration de Mgr Chaput, évêque de Denver : « L'avortement est le problème fondamental de notre temps (…) Le droit à la vie est à la base de tout autre droit de l'homme (...) Nous vivons à une époque où l'Église est appelée à être une communauté croyante de résistance (…) Nous ne devons pas nous bercer de l'illusion selon laquelle en nous associant aux voix du laïcisme et de la déchristianisation, nous pourrions d'une façon quelconque adoucir ou changer les choses. Seule la Vérité peut rendre les hommes libres. » À cet égard, l'attitude des évêques de France semble être en train d'évoluer. Ainsi, le Cardinal Ricard, archevêque de Bordeaux, ancien président de la conférence épiscopale, déclarait le 19 février 2010 : « Il faut donner leur juste place à ces marches pour la Vie (…) Elles attirent l'attention sur un problème. Elles alertent l'opinion. Nos consciences ont besoin d'être réveillées. Je pense que les différentes marches pour la vie ont cette fonction. Il est nécessaire qu'elles soient accompagnées tout au long de l'année par un patient travail d'éducation et d'action sur les mentalités et dans certains cas d'interpellation de nos législateurs ».
Concrètement ?
JPM : Cette Marche aux flambeaux est essentiellement une marche de prière, ouverte à tous ceux qui œuvrent pour le respect de la vie et de la dignité de la personne humaine. Elle se déroule à un rythme permettant à tous d'y participer. Nous tenons à remercier très sincèrement tous ceux qui, par leur présence, leur prière, leur aide matérielle ou financière ont permis à cette Marche de durer depuis vingt ans. Nous vous donnons rendez-vous à 17 h 45 devant la basilique Notre-Dame-des-Victoires, place des Petits-Pères, Paris 2e (M° Bourse) pour la cérémonie de départ. La Marche se termine par un Salut du Saint-Sacrement, célébré à 20 h au Sacré-Cœur de Montmartre (M° Anvers).
Thibaud
Rédigé le 22 septembre 2010 à 10h14 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Jeunes, Notre Eglise, Prière, SOS Homofolie, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
Le Sénat vient de rejeter l'abrogation du "Don't ask don't tell" : le lobby homosexuel avait besoin de 60 voix, il n'en a obtenu que 56. Les défenseurs de l'entrée des homosexuels déclarés (malheureusement de plus en plus militants) dans l'armée avaient poussé le vice à ajouter à la mesure controversée une hausse des payes afin de rendre plus difficile à assumer le vote "contre"...
Rédigé le 22 septembre 2010 à 09h58 dans Culture de mort, Défendre la famille, Economie et social, Etats-Unis, Société civile (EU), SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
L’émission passera tous les jours de la semaine à 5h10 et 21h40 sur cette radio financée par la redevance. Elle parle du « fléau des avortements clandestins » aux Philippines.
On y retrouve tous les mensonges éhontés qui ont servi à faire passer la loi Veil Chirac Giscard en France. L’émission parle de milliers d’avortements clandestins selon des chiffres incertains mais tout de même d’une rigueur incontestable selon un scientifique « reconnu » d’après le journaliste qui lui donne la parole. Elle brode sur le thème du conservatisme de l’Eglise et de ces pauvres qui le seraient moins s’ils pouvaient tuer leurs enfants.
Thibaud (merci à Philippe Edmond)
Rédigé le 22 septembre 2010 à 09h37 dans Avortuerie, Culture de mort, Economie et social, La vie des médias | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
Lu sur l'Observatoire de la christianophobie :
Le tribunal d’Aïn-el-Hammam (Kabylie, 150 km à l’est d’Alger) abrite, mardi, un procès bien singulier : celui des « dé-jeûneurs » du Ramadan. Hocine Hocini et Salem Fellak, ouvriers dans le bâtiment, ont été interpellés par la police le 12 août, deuxième jour du Ramadan, lors de la pause déjeuner, à l’intérieur d’une maison en construction. Arrêtés en «flagrant délit de consommation de denrées alimentaires », et présentés au parquet, ils ont été mis en examen pour « atteinte et offense aux préceptes de l’islam ». Lorsque Hocine Hocini décline sa foi chrétienne et invoque la Constitution qui « garantit la liberté de conscience », la procureure, en colère, lui aurait conseillé de « quitter ce pays, qui est une terre d’Islam »…
Cette opération n’est pas isolée. A Ighzer Amokrane, en Petite Kabylie, la police a donné l’assaut à un local commercial fermé, pour interpeller une dizaine de jeunes, coupables d’avoir consommé de l’eau et du café ; leur procès est prévu pour le 8 novembre prochain.
Toujours en Kabylie, quatre chrétiens comparaîtront, le 26 septembre, devant les juges de Larbâa-Nath-Irathen pour « pratique d’un culte non musulman sans autorisation ».
Thibaud
Rédigé le 21 septembre 2010 à 19h07 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Délinquance, Economie et social, Islam, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
L'équivalent est en train de se monter en France. Si vous êtes intéressés, contactez-nous ([email protected]) pour que nous vous mettions en contact avec les porteurs de ce beau projet.
Rédigé le 21 septembre 2010 à 14h31 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Economie et social, Jeunes, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
L'Observatoire de la christianophobie nous signale que
des écologistes bretons ont organisé à une parodie de « Pardon » suivie d’une « procession » dimanche pour protester contre les algues vertes. Environ 1 000 personnes y ont participé. Le président de l’association Sauvegarde du Penthièvre et porte-parole de l’association Halte aux marées vertes, André Ollivro, s’était pour l’occasion déguisé en évêque. Métro de lundi diffuse une photo où il effectue une parodie de bénédiction de la plage de Plonevez-Porzay avec, à ses côtés, un homme déguisé en abbé. Une grande croix autour du cou, il porte un nez rouge ainsi qu’une bannière à l’effigie d’un cochon.
Ces écologistes n’en sont pas à leur coup d’essai puisque le 10 septembre dernier, sous la bannière « de Saint-Nitrate de lisier », « l’abbé André Ollivro », « bientôt élevé au rang de cardinal » selon Le Télégramme de Brest, parodiait la bénédiction d’une penette (une barge à fond plat du XIXème siècle de 23 mètres de long), à Port-de-Carhaix.
Rédigé le 21 septembre 2010 à 13h28 dans Antichristianisme, Ecologisme, Economie et social, Environnement, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
La pilule (abortive) ellaOne est désormais remboursée à 65% par la sécurité sociale. Elle est commercialisée depuis un an par ordonnance.
Thibaud
Rédigé le 21 septembre 2010 à 12h54 dans Avortuerie, Culture de mort, Economie et social, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
Thibaud
Rédigé le 21 septembre 2010 à 11h41 dans Ecologisme, Economie et social, Immigration | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
Marine Le Pen, a jugé lundi « abjecte » l'hypothèse d'une suppression par le gouvernement de l'avantage fiscal pour les couples nouvellement mariés, qui pénaliserait les « familles » et aurait « un effet délétère sur l'institution du mariage ».
« N'y a-t-il pas d'autres niches fiscales, autrement plus scandaleuses à supprimer ? Faut-il toujours en priorité faire porter les foudres de la rigueur budgétaire sur les ménages français ? », écrit la vice-présidente du FN dans un communiqué.
Marine Le Pen demande solennellement à Nicolas Sarkozy, qu'elle qualifie de « serial taxeur », « de ne pas inscrire cette abjecte disposition dans le projet de loi de finances pour 2011 » et à « privilégier le pouvoir d'achat des Français dans leur ensemble et non pas celui des amis du Fouquet's ».
La vice-présidente du Front national rappelle enfin que ce gouvernement a déjà à son actif la création de 23 nouvelles taxes depuis le début du quinquennat.
Thibaud
Rédigé le 21 septembre 2010 à 11h38 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
Lu dans Minute (site) de demain :
Tout est parti d’une dépêche de l’Agence France Presse annonçant que, pour lancer sa campagne, Bruno Gollnisch allait venir à la basilique Saint-Denis. L’occasion rêvée pour des militants d’extrême gauche inscrits à l’université de Paris VIII Vincennes Saint-Denis proche de là de se dégourdir les jambes et de se faire la voix sur le thème « Pas de fachos dans nos quartiers, pas de quartiers pour les fachos », sans même prendre conscience que lesdits « quartiers » ne leur appartiennent plus depuis longtemps. Sur un tractage effectué dans l’enceinte de l’université à l’initiative du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) du camarade Besancenot, quel que 250 trotskistes et anarchistes se sont donc retrouvés pour attendre Bruno Gollnisch. Le vice-président du Front national ayant fait diversion, faisant croire qu’il rebroussait chemin, le groupe s’est scindé: 200 agitateurs sont allés se poster devant l’hôtel où il devait tenir sa conférence de presse et une cinquantaine est restée près de la basilique. C’est face à ceux-ci, rejoints par quelques musulmanes, qu’il a pris d’abord la parole, malgré les tentatives des forces de l’ordre pour… l’en dissuader! Et Bruno Gollnisch, qui avait fait venir du sud de la France des membres du service d’ordre du Front national, n’avait pas pu obtenir de renforts, le siège du FN lui ayant fait savoir qu’il prévenait « trop tard » pour trouver des effectifs disponibles.
(...) Deux conseillers régionaux de Rhône-Alpes, qui voulaient rejoindre Bruno Gollnisch, ont eux bien failli se prendre une dérouillée. Poursuivis par des gauchistes, Christophe Boudot et Alexandre Gabriac sont allés se réfugier dans l’hôtel de ville de Saint-Denis où un élu (sorti des rangs… des manifestants!) leur a intimé de dégager le terrain en leur criant: « Vous êtes interdits de séjour dans cette ville! » Et de menacer de « faire venir quinze personnes », qu’on imagine musclées (quinze contre deux!) pourqu’ils « dégagent ».
> Des images ici et là de la manif anti-Gollnisch.
Thibaud
Rédigé le 21 septembre 2010 à 11h19 dans Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
dans le VIIème arrondissement de Paris. Cette année, la messe "Saint-Pie V" y sera dite tous les mercredi (contre une fois tous les 15 jours l'année dernière).
Thibaud
Rédigé le 21 septembre 2010 à 10h03 dans Agenda, Chrétien(s) au quotidien, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
Thibaud
Rédigé le 21 septembre 2010 à 09h58 dans Détente, Economie et social, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
Daniel Hamiche nous présente Lila Rose, 22 ans, une jeune chrétienne militante et pro-vie depuis l'âge de 15 ans :
« Nous ne nous efforçons pas seulement de bannir l’avortement, mais de le remplacer par une culture, une culture qui nous invite à offrir nos vie, littéralement : au lieu de détruire des vies, offrons les nôtres, comme notre foi nous l’enseigne. Offrons nos vies à l’amour et ne livrons pas des vies à la mort. Notre génération s’offre à cette culture de vie (…) Il y a une raison pour laquelle nous sommes nés dans cette époque de ténèbres de notre histoire. C’est pour que nous puissions être utilisés [par Dieu] pour être finalement victorieux, pour mettre un terme à l’avortement dans notre pays et construire une culture de vie. » Lila Rose, qui a créé son mouvement pro-vie Live Action (voir ici son formidable site, avec quelque 38 000 membres inscrits à sa page Facebook), est la terreur de Planned Parenthood ! Grâce à elle, de nombreux avortoirs de cette abominable industrie on vu leurs subventions abolies dans nombre d’États, et sont sous le coup de poursuites judiciaires. Comment cela ? Tout simplement parce que Lila Rose et quelques unes de ses militantes, se sont présentées à des centres de Planned Parenthood – avec caméras et micros cachés… – se faisant passer pour des mineures violées et enceintes. Planned Parenthood, non seulement ne leur a pas dit la vérité sur les débuts de la conception (« juste un amas de cellules », on connaît la chanson), mais a “omis” de dénoncer le viol aux autorités : ce qui est un crime fédéral. Les vidéos de ces “reportages” ont été mises en ligne, avec l’énorme succès qu’on peut imaginer.
Sauf sans doute chez quelques rabat-joie...
Thibaud
Rédigé le 20 septembre 2010 à 20h54 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Etats-Unis, Jeunes, Société civile (EU), Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
Thibaud
Rédigé le 20 septembre 2010 à 20h41 dans Détente, Economie et social, L'UE au quotidien | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
Rédigé le 20 septembre 2010 à 20h38 dans Avortuerie, Culture de mort, Economie et social, Jeunes, La vie des médias, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
Naïma Charaï, conseiller régional socialiste délégué aux Solidarités, lance aujourd'hui une campagne de communication et d’information sur la contraception et l’IVG financée par la région Aquitaine.
Dans un communiqué de presse, la région souhaite "initier, dans le cadre de ses actions en faveur de l’éducation à la santé des jeunes et des droits des femmes, un projet de sensibilisation sur les questions liées à la contraception et à l’Interruption Volontaire de Grossesse auprès des 15-25 ans, en collaboration avec la Fédération Régionale du Planning Familial."
Naïma Charaï connait en effet très bien le planning familial, dirigé sur Bordeaux par la militante du NPA, Monique Nicolas. Elle défilait même à ses cotés au milieu de centaines d'anarchistes et de groupuscules violents le 29 mai dernier, pour s'opposer à un rassemblement pacifique de familles souhaitant une politique de la Vie.
Coût de la campagne pour le contribuable : 50 000 euros.
Thibaud
Rédigé le 20 septembre 2010 à 11h21 dans Avortuerie, Culture de mort, Economie et social, Jeunes, Tendances, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
|
Les commentaires récents