Les pays scandinaves ont une longueur d'avance sur nous, décidément petits joueurs, en matière de téléréalité.
Thibaud
Les pays scandinaves ont une longueur d'avance sur nous, décidément petits joueurs, en matière de téléréalité.
Thibaud
Rédigé le 15 août 2010 à 02h46 dans Culture de mort, Economie et social, La vie des médias, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le philosophe catholique Fabrice Hadjadj décrypte dans Le Figaro ce que certains médias appellent "la crise de l'Eglise catholique" :
"cette crise n'est pas sans précédent. Il y en eut d'autres, probablement pires : la crise arienne du IVe siècle, le Grand Schisme d'Occident au XIVe, les mœurs scandaleuses de certains papes comme Alexandre VI Borgia, assassin, concubinaire et simoniaque, pour ne prendre que quelques exemples saillants. Si bien que nous sommes obligés de reconnaître que l'Église n'a cessé de traverser des crises. C'est dans sa nature, en quelque sorte. Qu'on regarde ce fait sans préjugé, et le phénomène apparaît presque incroyable : alors que toutes les autres institutions ont été balayées par les tempêtes de l'histoire, voici que, depuis plus de deux mille ans, la « barque de Pierre » poursuit sa route, avec une succession apostolique ininterrompue et un enseignement qui pour l'essentiel s'est développé sans se contredire.
"L'Eglise n'a cessé de traverser des crises. C'est dans sa nature."
Cette longévité exceptionnelle suppose forcément une aptitude exceptionnelle à prendre des coups.
L'Église (...) ne vit pas à partir de son image dans les médias. Si telle était le cas, elle ne chercherait plus à parler au fond des cœurs, mais à caresser dans le sens du poil. Il n'en demeure pas moins que les crimes commis par un prêtre sont infiniment plus graves que s'ils sont commis par un professeur d'EPS, par exemple. Et c'est cela qui peut légitimer l'emballement médiatique que nous avons connu. Le paradoxe est le suivant : si l'on attaque spécialement les gens d'Église lorsqu'ils se pervertissent, c'est qu'on a l'instinct de la pureté spéciale de leur mission.
De ce point de vue, l'image de l'Église est d'autant plus affectée que l'on croit à la sainteté de l'Église, parce que c'est alors que le scandale devient d'une gravité sans comparaison. Ainsi Benoît XVI, qui sait ce qu'est le mystère du prêtre, trouve ces crimes bien plus terribles que les médias non chrétiens ne peuvent le concevoir. Voilà pourquoi il a voulu faire toute la lumière là-dessus.
"Nous n'en aurons jamais fini avec les crises"
(...) nous n'en aurons jamais fini avec les crises. Et, d'une certaine manière, cela n'est pas si mal. Vous savez que le mot «crise» vient du verbe grec krinein, qui signifie passer au crible ou discerner. La situation de crise nous empêche de dormir sur nos lauriers. Elle nous pousse à nous poser la question du sens, à creuser en nous-mêmes et à chercher un bien plus vaste et plus profond."
Rédigé le 15 août 2010 à 02h35 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Histoire, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu sur le blog de Jeanne Smits :
L'excellent site de veille bioéthique australien, BioEdge, commente aujourd'hui l'information selon laquelle une ponction lombaire pourrait être 100 % efficace pour prédire si un patient va développer la maladie d'Alzheimer, selon les Archives of Neurology. La présence de la maladie ne se confirme avec certitude aujourd'hui que post mortem à travers une autopsie alors qu'elle s'installe quelque dix ans avant ses premiers symptômes, voire davantage. Connaître sa présence à un stade précoce est d'un grand intérêt pour les chercheurs puisque les patients concernés pourraient être des sujets idéaux pour expérimenter des traitements, de manière bien plus efficace, en orientant la recherche vers le retardement du développement de la maladie.
Mais la découverte, si elle se confirme, pourrait avoir des effets pervers. Les gens bien portants ont-ils vraiment envie de savoir qu'ils sont atteints d'une maladie effrayante pour laquelle, une fois déclarée, il n'y a aucun remède ? Quels seraient les effets sur leurs contrats d'assurance, leur accès au crédit, etc. ? Cela provoquerait-il une vague de suicides ?
Michael Cook, le responsable de BioEdge, souligne qu'en tout cas l'information a intéressé au-delà de ce qui est habituel : l'article que lui a consacré le New York Times a été propulsé en tête des « plus lus » en peu de temps. Et il se demande :
« Les gens qui seront diagnostiqués positifs sentiront-ils une pression qui les conduirait à choisir un départ précoce vers l'Au-delà avant de devenir un fardeau pour leurs familles ? J'invente ? Je ne le crois pas. A l'heure qu'il est, bien plus de 90 % des femmes enceintes chez qui le dépistage de la trisomie révèle un résultat positif “mettent fin” à leur enfant. Si elles craignent que la vie avec un enfant handicapé sera une sorte de purgatoire, que dire alors d'une vie avec un parent invalidé par la maladie d'Alzheimer. Est-ce une nouvelle ère qui commence ? »
Rédigé le 15 août 2010 à 02h18 dans Culture de mort, Culture de vie, Economie et social, Science, Tendances | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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9 millions d’euros sont attribués chaque année par la DG Environnement (Direction Générale) de la Commission Européenne aux différentes ONG environnementales pour assurer le financement de leur présence à Bruxelles pour leurs actions de lobbying auprès du Parlement et de la Commission. C’est le « mariage d’intérêts » dénoncé par Agriculture & Environnement (site) dans son numéro estival. Depuis 1998, ce sont ainsi 66 millions d’euros qui sont sortis de la poche des contribuables européens pour alimenter les caisses d’une trentaines d’ONG : Bureau Européen de l’Environnement, Amis de la Terre, WWF, Climate Action Network… Si Greenpeace refuse depuis des années l’obole conséquente de la DG Environnement, Les Amis de la Terre ont reçu près de 800 000 euros en 2009, soit 52% de leurs recettes.
Lire aussi :
> Les carbocentristes s'accrochent désespérément à leur fausse religion
Thibaud
Rédigé le 15 août 2010 à 01h54 dans Culture de mort, Ecologisme, Economie et social, L'UE au quotidien | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu dans Les 4 Vérités Hebdo (site) de jeudi :
L’Union européenne comptait au 1er janvier 501,1 millions d’habitants, franchissant pour la première fois le seuil du demi-milliard (499,7 millions au 1er janvier 2009). Faut-il préciser que cet accroissement de la population est dû bien davantage à l’immigration qu’à la natalité ?
Rédigé le 11 août 2010 à 03h28 dans Culture de mort, Economie et social, L'UE au quotidien, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 10 août 2010 à 17h02 dans Antichristianisme, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, La vie des médias, SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 06 août 2010 à 22h52 dans Culture de mort, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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SOS Tout-Petits Isère a traduit un résumé des conclusions d'une étude du Dr. Catherine T. Coyle intitulée “Men and Abortion : Finding Healing, Restoring Hope” :
1) Les hommes cachent leurs émotions lorsqu’ils apprennent que leur compagne est enceinte, lorsque la décision d’avorter est prise et une fois que l’avortement a été pratiqué. Les hommes pensent que c’est alors la meilleure attitude à prendre pour soutenir leurs compagnes rejetant la lourde décision sur les épaules de celles-ci. Ce comportement passif est du au fait que c’est la femme qui subit les conséquences physiques de l’IVG mais également au fait que c’est la société (personnalités politiques, médias, féministes) qui fait de l’avortement « une affaire de femme ».
2) Les relations du couple sont effectées par l’avortement. Le taux de rupture suivant une IVG varie de 25 à 70% (études de E. Milling - 1975 et Shostak - 1984). Les relations physiques dans le couple sont également affectées : la sexualité diminue. L’IVG subie n’est jamais évoquée dans le couple créant des tensions, des non-dits et des souffrances.
3) Selon une étude faite auprès d’hommes dont la compagne a subi une IVG, 75% d’entre eux ne considèrent pas l’avortement comme un évènement facile à vivre et nient ne ressentir aucun sentiment de culpabilité ou d’oubli. Nombres d’entre eux sont en détresse réelle.
4) Après un avortement, les hommes ressentent de la culpabilité, de la colère, des remords, de l’anxiété voir de l’angoisse et un grand sentiment de solitude. En effet, aucun programme de soutient psychologique ne leur est proposé (celui des femmes étant déjà rare voir inexistant). Ces sentiments se manifestent par une augmentation des comportements à risque et de la consommation d’alcool ou de drogues (stupéfiants, anti dépresseurs).
5) Certains sont affectés à un tel point qu’ils développent le « Post Traumatic Stress Disorder » : hypertension, cauchemards, insomnies, perte partielle de mémoire concernant l’évènement traumatique.
Le traumatisme est donc aussi bien d’ordre physique que psychique et spirituel.
Rédigé le 06 août 2010 à 22h30 dans Avortuerie, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Etats-Unis, Science | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu sur le blog de Jeanne Smits :
Un homme contre 7 millions : le juge en chef de la cour du district du Nord de la Californie, Vaughn Walker, vient de renverser le résultat du référendum de 2008, la « proposition 8 » par laquelle la majorité des votants – 52,24 % – avaient rejeté le « mariage » gay qui avait été légalisé dans leur Etat à la suite d’une longue procédure judiciaire. Sa décision, longue de 138 pages, révèle un mépris constant de tous les arguments présentés par les défenseurs du mariage traditionnel, présentés comme manquant de « toute base rationnelle », tandis que le ressenti des deux couples homosexuels qui avaient engagé la procédure contre la modification constitutionnelle introduite par le référendum est systématiquement mis en valeur.
Un homme peut avoir raison contre tous, certes. Ce n’est pas le nombre qui fait la vérité. Mais de vérité, il n’est pas question dans la décision du juge Walker, qui rejette la sagesse des siècles et le sens commun en expliquant que la légalisation du mariage gay n’est qu’une nouvelle étape dans la belle évolution vers l’égalité absolue entre hommes et femmes. Un peu comme la révocation de l’interdiction de certains mariages interraciaux, ou l’abandon de la mise sous tutelle de la femme dans le cadre du mariage « traditionnel » inégalitaire.
« Les preuves apportées montrent que l’éloignement progressif du mariage d’une institution définie par le genre vers une institution libre de rôles de genre fixés par l’Etat, est le reflet d’une évolution de la manière dont est compris le genre plutôt qu’une modification du mariage. (…) La preuve est apportée plutôt que la proposition 8 porte atteinte à l’intérêt de l’Etat à établir l’égalité, parce qu’elle impose un traitement différencié entre hommes et femmes basé uniquement sur des conceptions surannées et discréditées du genre », écrit le juge.
Il n’est peut-être pas indifférent de préciser que le juge Walker, à ce que dit le San Francisco Chronicle, est lui-même un homosexuel affirmé…
[ACTION!] L'American Family Association lance une opération de pression sur les élus du Congrès pour que soit entamée une procédure de destitution à l'encontre de ce juge activiste. Nous vous invitons à y participer !
Rédigé le 05 août 2010 à 22h56 dans Culture de mort, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Etats-Unis, Société civile (EU), SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (7) | TrackBack (0)
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Moins de deux semaines après avoir annoncé ses fiançailles avec Levi Johnston, le père de son enfant dont elle était séparée depuis deux ans, Bristol Palin, 19 ans, la fille de Sarah Palin, vient d'expliquer à People Magazine qu'elle rompait son engagement...
A ce sujet, lire :
Rédigé le 04 août 2010 à 02h07 dans Avortuerie, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Etats-Unis, Jeunes, Société civile (EU), Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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le 26 juillet en Haute-Savoie.
Âgé d'à peine quelques jours, le nourrisson a été trouvé par une femme à la retraite dans un sac déposé sur le terrain de sa résidence secondaire à Excevenex, sur la rive du Lac Léman. L'enquête a été confiée à la section de recherches de Chambéry. Les résultats des analyses anatomo-pathologiques ne seront pas connus avant "une dizaine de jours".
Le parquet d'Annecy a annoncé avoir ouvert une information judiciaire. Aucun suspect n'a pour le moment été interpelé.
Rédigé le 04 août 2010 à 01h38 dans Avortuerie, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu sur le blog de Jeanne Smits :
Cela se passe en Grande-Bretagne, et c'est une information publiée par le « General Practice Research Database » (organe de recherche officiel sur la pratique de la médecine générale) : plus de 1.000 petites jeunes filles âgées de 11 et 12 ans se sont vu prescrire la pilule contraceptive en 2009 par leur médecin généraliste, la plupart du temps à l'insu de leurs parents. C'est cinq fois plus qu'il y a dix ans…
Et 200 jeunes filles de 11 à 13 ans ont carrément reçu des « vaccins anti-grossesse » à action prolongée, ou des implants contraceptifs.
Rédigé le 03 août 2010 à 02h11 dans Culture de mort, Economie et social, Jeunes, Tendances | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Selon un sondage américain, 19% des personnes interrogées pensent que leurs sentiments à l'égard des homosexuels a évolué de manière favorable au cours des 5 dernières années, le tiers de celles-ci reconnaissant que le fait de « voir des personnages gays ou lesbiennes à la télévision » a contribué à leur changement d'attitude.
Sans parler de ceux qui ne l'admettent pas (question de fierté!) mais pour qui c'est le cas...
Toujours est-il que la propagande médiatique homosexuelle bat son plein aux Etats-Unis, particulièrement en direction des jeunes :
Il y a quelques jours, LifeSite signalait que parmi les chaînes du réseau câblé, (...) ABC Family (racheté à Fox par Disney en 2001) présente (...) les LGBT sur 37 % de ses émissions originales de prime time. En tête, sans surprise : MTV, qui affiche le score de 42 %. La « performance » de ABC Family (...) est d'autant plus choquante qu'elle a été fondée dans le cadre d'un réseau chrétien en 1977.
Sans parler de :
The CW (35 % [de présence homosexuelle, NDLR]), Fox (...) qui affiche 30 %, ABC (26 %) et NBC (13 %).
A ce niveau là, c'est du gavage idéologique !
Rédigé le 03 août 2010 à 02h06 dans Culture de mort, Economie et social, Etats-Unis, Jeunes, Société civile (EU), SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 03 août 2010 à 01h29 dans Antichristianisme, Culture de mort, Economie et social, Notre Eglise, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Un poison violent", c'est le récit d'une histoire d'amour entre deux "jeunes adolescents" de 14 ans dans le "Finistère très profond". Anna, jouée par la gracieuse Clara Augarde, une jeune fille "engluée dans une famille catholique pratiquante" (Libé, excellent retranscripteur de l'esprit du film) qui se prépare au sacrement de la Confirmation, "dernière étape dans son engagement catholique" (sic. Quand on lit le synopsis du film, on a l'impression qu'elle achève un master 2 !). Pierre, "un adolescent libre et solaire se souciant peu de Dieu" joué par Youen Gourvil Leboulanger.
Que croyez-vous qu'il se passe ? Anna évangélisant Pierre ? Ne rêvez pas ! Plutôt... Pierre chevauchant Anna, très légèrement vêtue, allongée et pas spécialement partante au début... avant qu'on ne les voie nus en train de s'embrasser. Il faut dire que le producteur, Justin Taurand (société "Les films du bélier") aime bien les amourettes mettant en scène... de jeunes adolescents. N'a-t-il pas réalisé en 2002 le court-métrage "Derrière les volets" ainsi résumé : "Dans un village corse, César, un adolescent, rencontre Alice. Alors que ses parents sont à la plage, il l'entraîne dans sa maison louée pour l'été. A défaut de pouvoir se parler, ils font l'amour." Quand ce ne sont pas les films homos. "Les films du bélier" nous préparent en effet un long métrage pour le 22 septembre prochain intitulé "Homme au bain" avec dans le rôle principal François Sagat, une star du porno gay. Synopsis : "entre Gennevilliers et New-York, Omar et Emmanuel ne s'épargnent rien pour apporter à l'autre la preuve qu'ils ne s'aiment plus". Le film sera interdit aux moins de 16 ans...
"Un poison violent", c'est sous des airs innocents, une charge violente contre "le poids de la religion qui [empoisonne]" (selon les termes de Marie Laborie, présentatrice sur Arte) la jeune Anna, mais aussi sa mère (Lio) et... le prêtre (Stefano Cassetti). Lire la suite !
Rédigé le 02 août 2010 à 18h11 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Economie et social, Jeunes, Notre Eglise, Patrimoine, SOS Homofolie, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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comme dit la gauche. Voici une liste non-exhaustive des faits divers enregistrés en juillet 2010 :
01/7 : Oussama Djellou defigure femme pour avoir refusé avances (Grenoble)Rédigé le 02 août 2010 à 00h22 dans Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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est ouverte...
Thibaud
Rédigé le 01 août 2010 à 17h32 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Jeunes, SOS Homofolie, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Lu dans Le Figaro :
Myriam P. s'en souvient comme si c'était hier. Elle se souvient des cris dans la rue, des insultes qui montaient, de la horde qui gonflait, se massait sous ses fenêtres, des projections de pierres et de carrelages qui menaçaient de tomber dans la chambre de sa fille endormie et bientôt des coups de boutoir dans sa porte, après qu'une quinzaine de jeunes eurent défoncé le portail de son immeuble.
Réfugiée dans les toilettes de son appartement, tenant blottie contre elle son bébé tandis qu'elle essayait désespérément de joindre la police, elle pouvait les entendre qui hurlaient : « On va vous crever, sales céfrans (Français, ndlr). » Son mari, lui, arc-bouté derrière la porte d'entrée, pouvait voir voler en éclats son mur devenu poussière de plâtre. « On a cru vivre nos derniers instants. Sans l'intervention de la BAC, c'en était fini. » C'était dans la nuit du 17 au 18 avril, au 14 de la rue des Trois-Journées, en plein cœur de Perpignan. A cinquante mètres de la splendeur gothique qu'est la cathédrale Saint-Jean-Baptiste, et à deux cents mètres à peine du commissariat principal. Coupables d'avoir osé demander que cessent sous leurs fenêtres les rodéos de scooters et menacé de prévenir les flics.
Pendant cinq jours, encore traumatisé par la violence de l'agression, le jeune couple a bénéficié, grâce à leur assureur, de la protection d'un vigile. Mais après ? Renforcer la cloison ? Dérisoire ! S'en remettre aux caméras de surveillance installées dans la ville pour prévenir des agressions ? Elles ont fait la démonstration que la dissuasion ne suffisait pas face à des délinquants mineurs le plus souvent impunis. A quoi bon vouloir rester dans ce quartier quand leurs agresseurs étaient déjà libres, alors qu'eux-mêmes, à quatre heures du matin, n'avaient pas fini de déposer plainte ? L'un d'eux, à 15 ans, comptait déjà 122 arrestations à son actif. Rester ? Autant tenter le diable ! « C'était intenable, donc nous sommes partis. Il aurait fallu me payer très cher pour que j'y reste un mois de plus », dit-elle aujourd'hui avec le sentiment coupable qu'en choisissant l'exil, elle démissionne et abandonne le terrain à ces nouveaux barbares.
Pour autant, cette jeune femme énergique sera la seule à témoigner à visage découvert, parce qu'« il faut sortir de l'omerta, briser la spirale du silence ». C'est qu'elle n'est pas seule à avoir connu l'enfer. Certains n'ont pas eu sa « chance ».
Direction Saint-Assiscle, un quartier résidentiel de Perpignan. Le 2 juillet, Katy et Thierry, son compagnon, ont été à leur tour victimes de la violence ordinaire. Sur sa page Facebook, la jeune femme de 35 ans livre, lasse, ses sentiments : « C'est pas la joie en ce moment avec la merde qui traîne dans mon quartier... J'ai failli perdre la vue à l'œil gauche. Voilà, c'est pas trop la fête à Perpignan. » Lorsqu'elle consent à nous parler, enfin, elle explose. Son compagnon ? Agressé au poing américain et à la barre de fer, alors qu'il était descendu s'interposer, voyant que deux gamins à vélo qui rentraient du cinéma étaient sur le point de tomber dans un guet-apens, au milieu de jeunes caillassant des voitures. Ils étaient quinze à s'acharner sur lui. Résultat : douze points de suture sur le visage et trois autres sur le crâne. Elle ? Rouée de coups par des gosses à qui elle distribuait des bonbons à l'occasion des fêtes de quartier! « Pendant que nous déposions plainte, certains jeunes étaient déjà à nos fenêtres, salissant d'insultes notre fille de 10 ans qui n'arrivait plus à dormir et qui attendait notre retour... la menaçant : "On va t'attraper !" Depuis, elle fait des cauchemars ! » Et son petit frère de 8 ans, un garçon qui ne s'est jamais battu et, insiste Katy, a toujours été premier de sa classe... lui ne cesse désormais de répéter : « Quand je serai grand, je vous tuerai tous. » Depuis, des bandes traînent sous leurs fenêtres et font pression pour qu'ils retirent leur plainte. « Nos voisins eux-mêmes nous le demandent, pour en finir avec cette histoire qui empoisonne la vie de l'immeuble. Boîte à lettres fracassée, courrier volé, je suis aujourd'hui obligée de convenir de rendez-vous avec la postière pour récupérer mes lettres ! » Intimidations, menaces, comment, dans ces conditions, rester plus longtemps ? Pour Katy, la conclusion s'impose d'elle-même : « Longtemps, la France a été une terre d'asile. Aujourd'hui, c'est à notre tour de nous réfugier, parce que c'est trop tard et que la situation nous a échappé. » Lire la suite...
Lire aussi :
Rédigé le 01 août 2010 à 00h50 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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