Rédigé le 27 novembre 2010 à 18h06 dans Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Formation, La vie des médias, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Appel publié dans Valeurs Actuelles :
“Les Français sont parfois plus conscients que leurs élites de ce qui compte vraiment pour eux. Or, parmi les valeurs les plus estimées par nos concitoyens, la famille figure en tête, et de loin.
Les Français savent profondément que la famille est la première des solidarités sur laquelle ils peuvent compter. Ils savent que cette solidarité, à la différence de toutes les solidarités administrées, est la seule qui peut être spontanée et chaleureuse. Ils sont conscients que le fléau qui nous frappe de plein fouet est celui de la solitude. Quel paradoxe que cette solitude croissante et dévorante dans une société qui n’a jamais été aussi communicante !
Tout le monde, chez nous, se réjouit des bons résultats démographiques de notre pays. Ces chiffres ne sont pourtant pas mirobolants puisque la France renouvelle tout juste ses générations. Mais ces chiffres, comparés à ceux de nos voisins, nous permettent d’imaginer un avenir. On nous donne aujourd’hui l’Allemagne en exemple sur de nombreux points. Mais qui a conscience de l’hiver démographique dans lequel s’enfonce ce pays ? Alain Minc écrivait encore récemment que si l’Allemagne ne trouvait pas la voie du renouveau démographique, elle perdrait 10 millions d’habitants d’ici à 2050, passant ainsi derrière la France. Et que dire de l’Espagne, championne du nombre d’enfants par femme il y a encore vingt-cinq ans et qui, ne connaissant pas le quotient familial, plonge également dans la dépression démographique comme ses voisins italiens ou portugais ?
La famille est notre garantie de solidarité pour aujourd’hui et notre force pour demain. Alors, que les élites cessent d’être aveugles !
Le soutien de la famille et du mariage est au cœur de nos politiques publiques depuis 1945. La politique familiale ne peut pas se réduire à une politique sociale familiale uniquement destinée aux familles déjà en difficulté. Elle ne peut pas se réduire à l’ouverture de places d’accueil pour les jeunes enfants, même si cela est nécessaire. Elle doit être plus profonde et plus cohérente. Elle doit inspirer toutes nos décisions sociales, fiscales et économiques.
Depuis 2007, nous avons fait des choses importantes pour la famille. Nous avons notamment baissé les droits de succession. La famille, parce qu’elle se fixe pour ambition la durée, est le lieu par excellence de la transmission, la transmission de racines, d’une éducation, mais aussi de la transmission bien légitime du patrimoine, fruit d’une vie de travail. À l’heure où nous vivons une véritable crise de la transmission, cette baisse des droits de succession est un signe positif.
Mais il faut poursuivre sur cette voie. Il faut renforcer l’institution du mariage, reconnaître et encourager la création du nouveau foyer, ses conséquences fiscales. Pourquoi remettre en question la triple déclaration l’année du mariage ? Cette disposition fiscale est cohérente. N’est-ce pas une façon pour l’État de dire aux nouveaux mariés : « Vous vous engagez l’un envers l’autre, mais vous vous engagez devant la société aussi à construire une famille qui participera à notre avenir commun. Telle est notre vision de la famille durable. »
Il est une spécificité française qu’on ne retrouve pas beaucoup en Europe. En droit français, la fiscalité ne s’applique pas à l’individu mais à la cellule familiale. C’est un avantage différentiel considérable en Europe. Tous les coups de canif portés à ce principe seraient néfastes.
Si notre volonté de soutenir les familles ne s’incarne pas, elle disparaîtra. Le mot “famille” n’apparaît pas dans la liste des nouveaux ministères. Le mot famille n’apparaît même pas dans l’intitulé d’un secrétariat d’État ! Et si la préoccupation de la famille n’apparaissait pas davantage avec la suppression de la triple déclaration de revenus des jeunes mariés ? On nous rabâche à longueur de temps que les systèmes fiscaux de nos voisins sont meilleurs que les nôtres. Ce dont nous sommes sûrs, c’est que la politique familiale “à la française” est celle qui porte le plus de fruits en Europe. Alors ne rompons pas avec cette politique. Encourageons la solidarité familiale.
Ceux qui veulent enfermer la question familiale dans un débat moral qui opposerait les anciens et les modernes se trompent gravement. La question familiale est avant tout une question politique. Son enjeu, c’est la cohésion sociale et notre capacité à nous projeter dans l’avenir.”
Par Marc Le Fur, Hervé Mariton, Alfred Almont, Martine Aurillac, Pierre-Christophe Baguet, Patrick Beaudouin, Gabriel Biancheri, Jean-Marie Binetruy, Claude Birraux, Claude Bodin, Gilles Bourdouleix, Bruno Bourg-Broc, Chantal Bourragué, Valérie Boyer, Xavier Breton, Patrice Calméjane, Bernard Carayon, Bernard Debré, Jean-Pierre Decool, Rémi Delatte, Nicolas Dhuicq, Michel Diefenbacher, Jacques Domergue, Jean-Pierre Door, Dominique Dord, Jean-Michel Ferrand, Nicolas Forissier, Sauveur Gandolfi-Scheit, Jean-Paul Garraud, Guy Geoffroy, François-Michel Gonnot, Jean-Pierre Gorges, Philippe Gosselin, Patrick Labaune, Gérard Lorgeoux, Lionnel Luca, Patrice Martin-Lalande, Jean-Philippe Maurer, Christian Ménard, Damien Meslot, Philippe Meunier, Jean-Marie Morisset, Jacques Myard, Jean-Marc Nesme, Étienne Pinte, Henri Plagnol, Axel Poniatowski, Josette Pons, Didier Quentin, Jacques Remiller, Arnaud Robinet, Jean-Marie Rolland, Jean-Marc Roubaud, Jean-Marie Sermier, Éric Straumann, Guy Teissier, Michel Terrot, Dominique Tian, Christian Vanneste, Isabelle Vasseur, Jean-Sébastien Vialatte, René-Paul Victoria, Philippe Vitel, Gaël Yanno et Michel Zumkeller, députés UMP.
Rédigé le 25 novembre 2010 à 19h01 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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ont été lancés à Châteauroux dimanche dernier par des extrémistes du NPA et de la CNT. Ainsi que des menaces, des slogans haineux, mais ça, on est habitué...
Rédigé le 24 novembre 2010 à 19h40 dans Antichristianisme, Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Jeunes, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Lettre ouverte à M. Etienne Pépin, Directeur de RCF en Berry
Comme dans de nombreuses villes de France ce samedi 20 novembre, un "chapelet pour la Vie" s'est déroulé à Châteauroux, à l'appel de SOS Tous-Petits, et en co-organisation avec l'Institut Civitas. Environ 90 personnes se sont rassemblées à 17h place de la République à Châteauroux. Parmi ces personnes, beaucoup de jeunes filles, ainsi que quatre prêtres. Durant une heure, malgré les blasphèmes, les insultes et les menaces de quelques contre-manifestants, nous avons prié pacifiquement.
Quelle n'est pas dès lors notre surprise de prendre connaissance d'une émission insultante et mensongère de RCF en Berry diffusée ce lundi 22 novembre. Il s'agit en fait d'un éditorial hebdomadaire que l'on doit à Etienne Pépin, Directeur de RCF en Berry et qui s'intitule pour l'occasion "Non l'Eglise catholique n'est pas intégriste". Pour ceux qui ne le sauraient pas et qui liront la suite, précisons que RCF signifie Radios Chrétiennes en France.
M. Etienne Pépin consacre donc son éditorial à cette action de prière, qu'il qualifie de "manifestation odieuse sur le thème anti-avortement". Avec une diction nerveuse, il nous parle des "intégristes qui ont manifesté ce week-end partout en France parfois de manière violente", une "violence provoquée par des milieux intégristes gratuitement contre l'avortement", insiste-t-il.
Très énervé, le Directeur de RCF en Berry en rajoute encore : tout cela est le fait de "militants limite sectaires, trop fondamentalistes", des "intégristes qui ne sont surtout pas et toujours pas (sic) reconnus par le Pape, salissant notre église chrétienne".
Rien que ça. Et en seulement deux minutes.
Il convient donc de répondre à M. Etienne Pépin.
Vous parlez d'une "manifestation odieuse sur le thème anti-avortement". On serait en droit d'attendre que ce qu'un Directeur d'une Radio Chrétienne en France trouve odieux, ce soit l'élimination méthodique, chaque année en France, de plus de 220 000 petites victimes innocentes. Mais passons. Il y a bien longtemps que les journalistes, même prétendument chrétiens, nous ont habitué à leur indignation sélective.
Si vous aviez été sur place, vous auriez pu comparer deux comportements. D'un côté, ceux qui, pacifiquement et sans aucune haine, prient pour les victimes de l'avortement, pour ces enfants que l'on tue dans le ventre de leur mère, mais aussi pour ces mamans en détresse. De l'autre, ceux qui vocifèrent et voudraient volontiers l'affrontement. Face à des enfants, des femmes, des prêtres, ils éructent des chants blasphématoires, des obscénités sans nom, voire des appels au crime. Ainsi, à Châteauroux, on put entendre, entre autres amabilités, des appels au viol.
Odieux, disiez-vous, M. Etienne Pépin ? Où est la manifestation odieuse ?
Vous parlez de "violence". Pourtant, à Châteauroux comme dans de nombreuses autres villes de France, notre seule arme, c'était notre chapelet. On ne peut pas en dire autant des contre-manifestants, militants d'officines anarcho-communistes et autres partisans de la "liberté d'oppression", venus bien souvent masqués, parfois casqués et armés de barres de fer. Il suffit de jeter un rapide coup d'œil sur les nombreuses photos prises ce samedi dans différentes villes de France pour pouvoir vérifier sans nul doute que la violence n'est pas de notre côté.
Pour le reste, M. Etienne Pépin, nous n'avons nul besoin d'une attestation de votre part pour pouvoir nous définir comme catholiques. Il nous semble même, à l'écoute de vos propos, que vous ne soyez guère un spécialiste de doctrine catholique ou de théologie morale catholique. Et nous nous inquiétons : que faîtes vous donc à RCF, M. Etienne Pépin ?
Mais rassurez-vous, M. Etienne Pépin, si nous nous croisons un jour, et que je mette la main à la poche, ce ne sera que pour sortir mon arme de prédilection, ce chapelet qui vous fait si peur, et pour prier aussi pour vous.
Alain Escada, secrétaire général de l'Institut Civitas
PS : en raison du caractère insultant des propos de M. Etienne Pépin, nous lui envoyons également un droit de réponse et nous nous réservons la possibilité, en accord avec notre avocat, d'intenter une procédure en justice.
Rédigé le 24 novembre 2010 à 17h35 dans Antichristianisme, Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Jeunes, Notre Eglise, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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46% des luthéro-réformés sont favorables à la bénédiction des couples homosexuels dans les temples, 54% y sont défavorables. Contre respectivement 14% et 85% des évangéliques.
Rédigé le 24 novembre 2010 à 12h24 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Entendu ce matin dans le bulletin de réinformation de Radio courtoisie :
Au nom de l’autonomie du corps de la femme, les socialistes Rocard, Jospin, Frydman, Guigou et Ayrault refusent que leur parti demande la légalisation de la location d’utérus pour des mères porteuses. La plupart des signataires ne sont plus directement influents dans notre parti socialiste national.
Rédigé le 24 novembre 2010 à 12h22 dans Bioéthique, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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dans un entretien accordé par téléphone au National Catholic Register dont Daniel Hamiche a traduit un extrait :
Je ne vois aucun changement dans l’enseignement de l’Église. Ce qu’il [le pape, NDLR] commente – en fait, il déclare clairement que l’Église ne considère pas l’utilisation des préservatifs comme une solution valable ou morale –, mais ce dont il parle dans le commentaire qu’il fait sur un prostitué mâle, c’est sur un certain processus de conversion qui survient dans la vie d’un individu. Il fait simplement le commentaire qu’une personne qui s’adonne à la prostitution, puisse au moins envisager d’utiliser un préservatif pour l’empêcher de transmettre la maladie à une autre personne – même si l’efficacité du préservatif est discutable –, cela pourrait être une manifestation de quelqu’un qui éprouve un certain éveil moral. Mais en aucun cas cela ne veut dire que la prostitution est moralement acceptable ni que l’usage des préservatifs soit moralement acceptable. Ce qu’aborde le pape c’est une certaine croissance dans la liberté, un dépassement de l’asservissement à une activité sexuelle qui est moralement répugnante, de telle sorte que ce souci d’utiliser un préservatif afin de ne pas infecter son partenaire sexuel puisse être au moins le signe d’un réveil moral chez la personne, ce qui permet d’espérer qu’il conduira cette personne à comprendre que cette activité n’est qu’une trivialisation de la sexualité humaine, et qu’il faut en changer.
N'en déplaise à Golias, Yves Thréard, Act-Up ou au président philippin Benigno Aquino.
Rédigé le 23 novembre 2010 à 18h11 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 23 novembre 2010 à 11h10 dans Culture de mort, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Jeunes, Tendances, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu sur le site d'une association homosexualiste radicale :
Avec le soutien de SOS homophobie et du Centre LGBT, les victimes du Kiss-In parisien de Notre Dame du 14 février 2010 organisent une soirée conviviale de soutien dans l’espace festif du Centre le samedi 27 novembre à partir de 18 heures jusqu’à 23 heures.
A l’issue des plaintes déposées par les victimes face aux violences et insultes homophobes subies, un procès aura lieu le mardi 30 novembre au Palais de justice de Paris.
L’intégralité des recettes de la soirée servira à financer les frais d’avocat des jeunes victimes. Ainsi, une participation de 5 euros à l'entrée sera demandée.
Je note que rien de tel n'a été organisé par le camp d'en face pour aider à payer leurs frais d'avocats les jeunes catholiques qui vont être jugés mardi...
Rédigé le 23 novembre 2010 à 11h07 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Jeunes, SOS Homofolie, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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mais qu'elle résulte de la situation familiale de la jeune femme.
Être élevée par des parents fidèles et mariés diminue très fortement les chances d'avoir un jour des relations avec une autre femme.
> Nous rappelons à nos aimables lecteurs que les commentaires faisant l'apologie de l'homosexualité ne seront pas tolérés sur ce blog.
Rédigé le 22 novembre 2010 à 20h06 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Etats-Unis, Identité, Jeunes, Société civile (EU), SOS Homofolie, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Rédigé le 22 novembre 2010 à 12h07 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Jeunes, Prière, Tendances, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu dans La Voix du Nord :
Près de cent cinquante personnes se sont réunies, [samedi] en tout début d'après-midi face au planning familial, rue Kennedy à Lille. La moitié à l'appel de SOS tout petit, dont les militants anti-avortement ont récité un rosaire pendant plus d'une heure.
En face, d'autres militants, pro-avortement, ont tenté de couvrir le son des prières par des sifflets et autres slogans provocateurs. La police, au milieu, a maintenu le calme jusqu'à ce que les deux camps se séparent vers 15h30.
Par "slogans provocateurs", La Voix du Nord veut dire "slogans haineux et christianophobes" comme à Bordeaux ou à Toulouse.
Voici des photos prises par un aimable lecteur :
Addendum 11h45. Un des organisateurs me confirme les slogans haineux et cathophobes scandés par les militants pro-mort. En voici quelques uns :
"Ah si Marie avait connu l'avortement on n'aurait pas tous ces emmerdements", "moins de dieu, plus de gode", "jouir jouir jouir, plutôt que réfléchir", "à bas la calotte, vive la capote gratuite", "moins de Dieu, plus de queues", "le lesbianisme, c'est une solution de contraception !", "cathos pédophiles !", "Marie jouit, Jésus crie"...
Rédigé le 22 novembre 2010 à 11h27 dans Antichristianisme, Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Jeunes, Prière, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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lors des veillées de prière pour la vie naissante du 27 novembre prochain.
Pour l'instant, seules 30 veillées sont "couvertes" (sur 370 !). Pour vous porter volontaire, écrivez à cette adresse : [email protected] ou commandez (gratuitement et avant mardi midi pour les recevoir à temps) des tracts via ce formulaire.
Thibaud
Rédigé le 22 novembre 2010 à 02h46 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Jeunes, Prière, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Un aimable lecteur nous écrit :
Une quarantaire de personnes, presque exclusivement des jeunes, ont prié le rosaire devant la cathédrale Saint Etienne de Toulouse à l'appel de l'association SOS Tout-Petits, malgré les cris, les injures et les blasphèmes incessants de plus de 200 opposants très agressifs. Les forces de police nous ont forcé à terminer la manifestation avant la fin du rosaire, nous menaçant de ne plus assurer notre sécurité.
Des photos des rassemblements :
Thibaud (merci à A)
Rédigé le 20 novembre 2010 à 19h55 dans Antichristianisme, Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Jeunes, Prière, SOS Homofolie, Tendances, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (7) | TrackBack (0)
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Plus de 200 catholiques étaient réunis cette après midi devant la cathédrale Saint-André à l'appel de l'association du Rosaire public à Bordeaux, afin de prier pour la Vie et pour les enfants avortés. En récitant le chapelet, les personnes présentes voulaient montrer leur réprobation de l'avortement qui "tue des dizaines de milliers de bébés" chaque année en France.
C'est pourtant dans un climat de haute tension que cette prière s'est déroulée. Plusieurs dizaines de manifestants de gauche et d'extrême-gauche (parmi lesquels [le] député Michèle Delaunay, Naïma Charaï, ou le responsable de la gay-pride, Matthieu Rouveyre) ont scandé tout au long de la manifestation des slogans anti-catholiques tels que "Jésus, Marie on t'encule" ou encore "[Ah] si Marie avait connu l'avortement, on n'aurait pas tout ces emmerdements".
(...) un des catholiques nous confie "nous sommes ici dans un esprit de recueillement pour prier pour les bébés, et aussi pour ceux qui nous insultent. Contrairement aux personnes en face, la haine de nous anime pas". Il est vrai que de l'autre côté de la barrière de CRS, la haine était manifeste. Des activistes du NPA et de la CNT provoquaient les manifestants : "on va s'occuper de vous après votre chapelet" ou encore "on a vos photos, si on vous croise dans les rues, ça ira mal pour vous".
A propos de la violence des militants du NPA, lire aussi :
Thibaud
Rédigé le 20 novembre 2010 à 17h22 dans Antichristianisme, Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Jeunes, Notre Eglise, Prière, SOS Homofolie, Tendances, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (6) | TrackBack (0)
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C'est en tout cas ce qu'affirme cet article qui dévoile notamment que:
"On peut lire par exemple sur le site de la Cour de cassation en marge de l’explication d’un arrêt la phrase suivante : «"Par cet important arrêt, la Cour de cassation a contribué à la reconnaissance de la famille homosexuelle." "
Enguerran
Rédigé le 20 novembre 2010 à 13h27 dans Chronique culturelle, Défendre la famille, Les fondamentaux : argumentaires, SOS Homofolie, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le Collectif pour l'enfant, qui regroupe 76 associations de protection de l'enfance, communique :
La Cour de Cassation vient de saisir le Conseil Constitutionnel sur la question de la conformité à la Constitution du mariage défini comme l’union d’un homme et d’une femme. Ceci est quelque peu surprenant alors que ses arrêts ont toujours été fidèles à l’esprit du Code civil, à savoir que le mariage ne concerne, pas définition, qu’un homme et une femme.
Le Collectif pour l’Enfant, soucieux de l’intérêt de l’enfant, est confiant dans le fait que les Sages du Conseil Constitutionnel sauront rester fermes sur le sens du mariage tel qu’il existe dans notre pays. Le Conseil constitutionnel vient en effet de rappeler que « la différence de situation entre les couples mariés et ceux qui ne le sont pas pouvait justifier, dans l'intérêt de l'enfant, une différence de traitement » (décision du 6 octobre 2010). Précisément, le 20 novembre, la France célèbre la Journée des droits de l’enfant, et il n’est pas inutile de rappeler qu’un de ses droits est de connaître et d’être élevé par son père et sa mère. Admettre un mariage entre personne de même sexe serait contraire aux droits de l’enfant puisqu’il aboutirait tôt ou tard à la création d’une filiation artificielle à l’égard de deux hommes ou entre deux femmes.
Réaffirmer que le mariage c’est l’union d’un homme et d’une femme n’est pas contraire à la liberté garantie par notre Constitution. Car, l’Etat n’a pas à s’immiscer dans les choix personnels des individus. Au contraire, l’Etat doit garantir la cohésion et la stabilité de la famille et de la société par le mariage entre un homme et une femme qu’il doit non seulement réaffirmer mais, encore, promouvoir comme structure adéquate pour le développement harmonieux des enfants.
La définition du mariage comme l’union d’un homme et d’une femme exclut, de fait, les couples de personnes de même sexe, mais ceci n’est en rien inégalitaire. L’égalité n’exige pas de traiter toutes les situations de la même manière mais seulement les situations équivalentes. Or, la relation d’un homme et d’une femme et la relation de deux personnes de même sexe ne sont pas dans une situation équivalente au regard de la procréation. Le mariage n’est pas la reconnaissance sociale d’une relation de couple mais il fonde la famille. La relation entre deux personnes de même sexe n’est pas fondatrice d’une famille, non en raison d’un défaut de qualité de ces personnes mais pour la raison objective que seule l’union de l’homme et de la femme permet la procréation.
Rédigé le 20 novembre 2010 à 10h02 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Une révélation de La Tribune de vendredi. Comme le rappelle François Lenglet, directeur de la rédaction du quotidien, à propos de la famille : "en France, quand on n'a plus de ministère, on n'existe plus".
Thibaud
Rédigé le 20 novembre 2010 à 09h56 dans Culture de mort, Défendre la famille, Economie et social, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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