Rédigé le 08 septembre 2010 à 05h34 dans Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 08 septembre 2010 à 05h24 dans Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Jeunes, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Extrait du compte-rendu de l'UDT des Jeunes pour la France :
Samedi matin, après une séance d’échange avec le Bureau national des JPF, des conférenciers de qualité se sont succédés devant une assemblée attentive. Henri de Lesquen, Président du Club de l’Horloge, a donné le ton avec une conférence sur l’identité nationale et l’universalité de la France en nous invitant à considérer la célèbre phrase du Général de Gaulle : « nous sommes quand même avant tout, un peuple européen, de race blanche, de culture grec et latine et de religion chrétienne » et en précisant : « de civilisation indo-européenne et humaniste ». La matinée s’est prolongée avec une explication concrète et sans concession de Jacques Rougeot, Président d’honneur de l’UNI, sur la gauchisation de nos universités. Il a aussi rappelé que la moindre mesure de bon sens, même incomplète, pour « dégraisser le mammouth » était à soutenir.![]()
Une pause déjeuner et quelques plongeons dans la piscine plus tard, nous avons réattaqué notre programme avec un témoignage poignant d’un élu d’opposition d’une municipalité communiste. Nous avons pu constater que, même au niveau local, le marxisme, sa logique d’enfermer le citoyen dans la contestation systématique, sa capacité à détourner les bonnes intentions et son dogmatisme idéologique faisaient, encore aujourd’hui, des ravages qui nous ramènent aux heures les plus sombres de l’histoire des pays qui ont subi la peste rouge. L’assistance, étant déjà acquise à la cause du souverainisme, Hugues Barthélemy, chargé de mission au Parlement Européen, n’a pas eu besoin de rappeler que seule une Europe des Patries était capable de construire une véritable entité internationale. Il a axé son intervention sur les absurdités d’une administration soviétiforme aux plus d’un million de mètres carré de bureau pour une dizaine de milliers de fonctionnaires. Par exemple, le fait que la France paiera en 2010, 85 millions d’euros de crédits de préadhésion à la Turquie, alors même que nos responsables politiques nous promettent dans le blanc des yeux que jamais la Turquie ne rentrera dans l’UE.
A noter que la messe était proposée (pas imposée, proposée...) aux participants le dimanche matin à 8h15. Thibaud Vincendeau, baptisé il y a peu, avait demandé au curé du village de dire une messe un peu plus tôt que l'habituelle messe dominicale. Une bonne moitié des jeunes présents à l'UDT s'y sont rendus.
Thibaud
Rédigé le 07 septembre 2010 à 19h04 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Délinquance, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Tendances, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Lionnel Luca, député UMP des Alpes-Maritimes, est interrogé par Minute de mercredi :
Concernant la viande halal, j’ai demandé à la Fondation Brigitte Bardot et aux associations de protection animale de dénoncer ce qui est un retour à la barbarie. Les bêtes, égorgées la tête en bas, conscientes, souffrent atrocement. Or, les règlements européens sont très clairs : l’étourdissement est la règle. Notre silence est donc en infraction avec le droit européen et nous fait régresser, car l’on ne peut se contenter de dire que la nourriture halal correspond à un rite traditionnel. D’abord parce que plusieurs imams, y compris Dalil Bou bakeur, recteur de la mosquée de Paris, ont admis que l’étourdissement n’est pas en contradiction avec l’islam; ensuite parce qu’il existe de mauvaises traditions, comme la lapidation ou l’excision…
Rédigé le 07 septembre 2010 à 11h34 dans Economie et social, Identité, Immigration, Islam, L'UE au quotidien, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 06 septembre 2010 à 23h01 dans Délinquance, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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nous apprend La Croix :
Si le bouddhisme tibétain n’a qu’un demi-siècle d’existence en France, il a désormais le souci d’être plus présent dans la société, « notamment auprès des jeunes », comme le précise Georges Lançon, président des « Éclaireurs de la nature ». Cette première troupe scoute bouddhiste en France a été fondée en 2007 et déjà deux branches existent – « voyageurs » pour les 8-11 ans et « vaillants » pour les 12-14 ans.
Thibaud
Rédigé le 06 septembre 2010 à 09h23 dans Identité, Jeunes, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Sur son blog, l'ancien ministre Jean-Jacques Aillagon écrit :
La chrétienté est un système idéologique et politique qui, prenant la foi chrétienne pour argument, a tenté d’imposer, à des territoires et à des consciences, un ordre global et contraignant qui en prétendant d’ailleurs soumettre le temporel au spirituel a, en fait, assujetti ce ferment de liberté qu’est la foi chrétienne à la tyrannie du pouvoir, de la contrainte, de l’autorité, de la coercition et des préjugés, et a substitué à la souplesse de la vie la rigidité d’un ordre qu’on voulait immuable et définitif.
Pour lui et pour nos lecteurs qui cherchent à comprendre ce qu'est vraiment la Chrétienté, nous reproduisons infra un extrait du livret du pèlerin (de Chartres) :
qu'est-ce que la chrétienté ?
(...) c'est une société qui vit, ou plus exactement, essaie de vivre, selon l'Evangile. (...) bien vivre selon l'évangile, c'est appliquer les principes qui s'y trouvent. Notre-Seigneur Jésus-Christ est venu "accomplir" au sens de rendre définitive, la loi qui nous vient de l'Ancien testament. Et Il l'a complétée par un commandement nouveau, celui de l'Amour. Donc, vivre selon l'Evangile, c'est vivre en appliquant les commandements de Dieu (les 10 commandements) à la lumière du commandement nouveau, la charité.
D'accord, mais alors ce n'est bon que pour les Chrétiens ?
Pas du tout. Dieu a mis dans l'âme de tout homme une loi qu'on appelle la loi naturelle. C'est la loi qui, naturellement, quelle que soit notre religion, nous fait, par exemple, protéger les faibles, aimer la beauté, vouloir la Paix, etc. Et Dieu, créateur de toute chose, ne pouvant vouloir une chose et son contraire, a donné à Moïse des commandements qui ne sont que la traduction de cette loi naturelle. C'est pourquoi vivre selon la loi naturelle ou selon les commandements de Dieu, c'est équivalent.
Ni confusion du temporel et du spirituel comme dans les sociétés islamiques, ni séparation comme dans nos sociétés laïcistes, nous souhaitons la distinction des deux (le spirituel doit irriguer le temporel). Et la soumission de l'ensemble à Dieu.
Rédigé le 03 septembre 2010 à 02h17 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Histoire, Identité, Islam, Notre Eglise, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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si l'on en croit le démographe américain Phillip Longman :
Comme le constatent aujourd’hui les Etats-Unis en Irak, la puissance continue d’être fonction de la démographie. Les bombes intelligentes, les missiles à guidage laser et les drones accroissent considérablement la capacité offensive d’une puissance hégémonique ; mais, en dernier ressort, c’est souvent le nombre de soldats sur le terrain qui change l’Histoire. Malgré un taux de fécondité proche du seuil de remplacement, les États-Unis ne sont pas assez peuplés pour maintenir leur rôle de superpuissance mondiale, de même que la Grande-Bretagne n’a plus été capable de conserver son statut d’empire à partir du moment où, au début du XXe siècle, son taux de natalité s’est effondré. Des pays comme la Chine, l’Allemagne, l’Italie, le Japon et l’Espagne, où l’enfant unique est désormais la norme, disposent certes d’un capital humain de qualité, mais il est trop rare pour être exposé au moindre risque.
La baisse de la natalité est également à l’origine d’une série de problèmes économiques et financiers qui font aujourd'hui les gros titres de la presse. L’augmentation de la longévité n’a qu’une faible incidence sur le financement à long terme des retraites et des systèmes de santé. L’espérance de vie à un âge avancé a somme toute très faiblement progressé. Si la proportion d’actifs par rapport aux retraités diminue, c’est essentiellement parce que des individus qui devraient être aujourd’hui en âge de travailler ne sont tout bonnement jamais nés. À l’heure où les États accroissent la pression fiscale sur des actifs de moins en moins nombreux pour subvenir aux besoins des personnes âgées, les jeunes couples ont toutes les raisons de penser qu'ils ont encore moins les moyens que leurs parents d’avoir des enfants, amorçant du même coup un nouveau cycle de vieillissement et de déclin de la population. La dénatalité modifie également les comportements à l’échelle d’un pays. Aux États-Unis, par exemple, près de 10 % des femmes nées à la fin des années 1930 n’ont pas eu d’enfants ; aujourd’hui, ce sont environ 20 % des femmes nées à la fin des années 1950 qui atteignent la fin de leur vie reproductive sans avoir procréé. L’important segment des ménages sans enfants, dont les membres sont issus en grande majorité des mouvements féministes et de la contre-culture des années 1960 et 1970, ne laissera aucun héritage génétique. Et ils n’auront pas sur la génération suivante l’influence psychologique et affective qu’ont eue sur eux leurs parents.
Entre-temps, les familles à enfant unique sont exposées au risque d’extinction. L’enfant unique remplace l’un de ses parents, mais pas les deux. Et ces familles ne contribuent guère à renouveler la population de demain : 17,4 % de femmes de la génération du baby-boom n’ont eu qu’un seul enfant, et leurs descendants ne représentent que 7,8 % de la génération suivante. En revanche, près du quart des enfants de baby-boomers sont issus des quelque 11 % de femmes qui ont eu quatre enfants ou plus. Cela conduit à l’émergence d’une nouvelle société, dont les membres seront dans leur grande majorité issus de parents ayant tourné le dos aux tendances sociales d’une époque où les familles avec peu ou pas d’enfants étaient la norme.
Cela signifie-t-il que les sociétés « éclairées » mais peu prolifiques d’aujourd’hui sont vouées à l’extinction ? Sans doute pas, et cela n’est dû qu’à la spectaculaire transformation culturelle qui se prépare. Comme cela s’est déjà produit bien des fois au cours de l’Histoire, cette transformation survient au moment où les éléments laïcs et libertaires de la société ne se reproduisent pas, laissant ainsi par défaut les tenants des valeurs traditionnelles et patriarcales dominer la société.
À l’époque gréco-romaine déjà, de nombreux citoyens très instruits en étaient arrivés à la conclusion qu’il n’y avait aucun avantage à investir dans les enfants, qui étaient perçus comme un obstacle onéreux à la réussite personnelle et matérielle. Si cette conception a condamné de nombreuses familles à disparaître, elle n’a pas été fatale à la société dans son ensemble. Par un processus d’évolution culturelle, elle a au contraire favorisé la résurgence d’un ensemble de valeurs et de normes que l’on pourrait en gros qualifier de patriarcales.
(...) Dans bien des cas, l’unique chose qui soutient la famille patriarcale est l’idée que ses membres défendent l’honneur d’une longue et noble lignée. Pourtant, lorsqu’une société devient cosmopolite, évolue rapidement et assimile des idées nouvelles, de nouveaux peuples et des luxes inédits, ce sens de l’honneur et du rapport aux ancêtres commence à s’estomper, et avec lui tout sentiment de la nécessité de se reproduire. « À partir du moment où un peuple hautement cultivé commence à envisager le fait d’avoir des enfants en termes d’avantages et d’inconvénients, il amorce un tournant décisif », notait l’historien et philosophe allemand Oswald Spengler [1880-1936].
Ce tournant ne signifie pas forcément la fin d’une civilisation, mais simplement sa transformation. S’il est vrai que les familles nobles, laïques et infécondes de la Rome impériale ont disparu, et avec elles la conception qu’avaient leurs ancêtres de Rome, l’Empire romain ne s’est pas pour autant dépeuplé. C’est sa composition démographique qui a changé : il s’est retrouvé constitué de nouvelles cellules familiales, très patriarcales, hostiles au monde séculier et portées par leur foi soit à croître et se multiplier, soit à entrer dans les ordres. Ces changements ont ouvert la voie à l’Europe féodale, mais n’ont signé l’arrêt de mort ni de l’Europe ni de la civilisation occidentale.
C’est peut-être à une transformation de ce type que nous assisterons au cours de ce siècle. Dans l’Europe d’aujourd’hui, par exemple, le nombre d’enfants que les gens font et les conditions dans lesquelles ils les font est fonction de leurs convictions politiques et culturelles. Vous êtes antimilitariste ? Eh bien, si l’on en croit une étude réalisée par les démographes Ronny Lesthaeghe et Johan Surkyn, vous êtes moins susceptible d’être marié(e) et d’avoir des enfants que quelqu’un qui n’a aucune objection contre l’armée.
L’écart considérable entre les taux de fécondité des individualistes laïcs et des conservateurs religieux augure d’un profond bouleversement des sociétés modernes, qui sera d’origine démographique. Beaucoup d’adultes d’âge moyen qui n’ont pas eu d’enfants peuvent regretter d’avoir fait un choix de vie débouchant sur l’extinction de leur lignée familiale, mais ils n’ont pas de fils ou de fille à qui faire partager cette prise de conscience tardive. Parallèlement, les descendants de couples qui ont eu trois enfants ou plus seront largement surreprésentés dans les générations suivantes, et avec eux les valeurs et les idées qui ont amené leurs parents à avoir de grandes familles.
(...) Que ça leur plaise ou non, les sociétés développées évoluent vers le patriarcat. D’une part, parce que les segments conservateurs font davantage d’enfants et, d’autre part, parce que la réduction de l’État-providence en raison du vieillissement de la population et de la dénatalité leur assurera un avantage de survie supplémentaire, qui à son tour favorisera une plus forte fécondité. À mesure que les États restitueront à la famille les fonctions qu’ils lui avaient ravies par le passé, et notamment le soutien des personnes âgées, les gens se rendront compte qu’ils ont besoin de procréer davantage pour assurer leurs vieux jours, et ils chercheront à s’attacher leurs enfants en leur inculquant des valeurs traditionnelles, proches du commandement biblique « Tu honoreras ton père et ta mère ».
C’est dans les sociétés qui sont aujourd’hui les plus sécularisées et dont les systèmes de protection sociale sont les plus généreux et les plus déficitaires que le retour du religieux et la résurgence de la famille patriarcale seront les plus sensibles.
Un bémol : les médias et l'Education nationale ont une telle influence sur les esprits qu'ils convertissent au progressisme à mon avis trop de monde à chaque génération chez les conservateurs pour espérer voire évoluer la société. Un communautarisme sain (écoles hors contrat, rejet des médias non communautaires, etc) rend cependant possible à terme le basculement.
Thibaud
Rédigé le 01 septembre 2010 à 08h39 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Economie et social, Etats-Unis, Histoire, Identité, Jeunes, Notre Eglise, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Une des dernières réalisation de Murakami, un Japonais qui croit et à qui on fait croire qu'il est artiste :
« En collaborant avec Spears, l’artiste précipite la consommation et le fétichisme dans une collision en Technicolor avec une parodie de jeune fille manga aux yeux de biche naïve », décrypte le blog "Selected Scribblings". Et comme par hasard, la publication en ligne pour homosexuels Yagg est "fan"...
L'excellent sketch des Inconnus reste d'actualité :
Thibaud
Rédigé le 01 septembre 2010 à 03h07 dans Conso, Culture de mort, Détente, Economie et social, Histoire, Identité, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Moi par exemple, je suis pour l'égalité entre les garçons et les filles sur ce plan-là. J'attends. C'est pas la honte, au contraire : c'est respect. Personne va rien te dire."
Julie a beau être "athée, blanche, pas musulmane", la virginité "compte aussi. C'est un truc de respect pour elle-même, chez la fille. Si vous me dîtes qu'à Paris, la plupart des filles couchent avant le mariage, ça ne m'étonne pas, je sais que c'est normal pour vous. Mais nous, c'est quand même une chienne. Ça marginalise."
C'est dit en des termes crus et ça ne va pas faire plaisir à la lectrice de Cosmopolitain ou à la permanente du Planning familial prisonnières de leur "libération sexuelle", mais la virginité reviendrait en force dans nos banlieues :
Le reportage "la Cité du mâle" dont est extraite la vidéo supra est diffusé ce soir sur Arte.
Thibaud
Rédigé le 31 août 2010 à 18h27 dans Culture de vie, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, Tendances, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Lu dans Le Monde :
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Au total, 22 des 358 établissements du réseau français, soit 6%, ne vendront que des produits à base de viande (bœuf, poulet, dinde) disposant d'un certificat délivré (gratuitement ?, NDLR) par les autorités religieuses musulmanes et indiquant que la méthode d'abattage rituel a été respectée.
L'enseigne (...) met en exergue "un succès commercial" et se réjouit d'avoir trouvé le moyen "d'insuffler un nouveau dynamisme à un marché très concurrentiel". "La progression moyenne des ventes des huit restaurants a été de l'ordre de 100% et leur fréquentation a quasiment doublé", assure Quick, qui évalue à 12 millions d'euros la progression du chiffre d'affaires.
La croissance de la clientèle familiale a contribué à augmenter le "ticket moyen", c'est-à-dire la dépense moyenne par client. Le groupe annonce aussi la création de 25 emplois dans chaque restaurant, soit quelque 200 postes. Selon Quick, le marché de l'alimentation halal en France devrait atteindre 5,5 milliards d'euros "soit le double du marché du bio", et enregistrer une croissance de 15% cette année.
Rédigé le 31 août 2010 à 11h31 dans Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Tendances | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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"Contrairement aux propos véhiculés par certains médias et largement commentés par certains hommes politiques, je n'ai pas fait de parallèle entre LE SORT (en majuscules et souligné dans le texte) des juifs durant la guerre et celui des Roms aujourd'hui, sort qui bien évidemment n'est pas comparable".
Les propos grotesques de l'archevêque ont provoqué un véritable tollé. Le Premier ministre, François Fillon, a parlé lundi sur France Inter de "faute grave". Dimanche soir, le porte-parole du gouvernement s'est dit "extrêmement choqué". Le député UMP du Tarn, Bernard Carayon, a, lui, jugé ces propos "inacceptables" : "vous assimilez le sort des Roms à celui des juifs. C'est inacceptable. D'autant que, ce faisant, vous contribuez à une effroyable banalisation des martyrs de la Shoah". Le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) s'est déclaré lundi "consterné" par les "confusions et amalgames", soulignant que les différences "sont d'une telle ampleur que la simple comparaison relève d'une grande ignorance ou d'une grande mauvaise foi".
Comme pour davantage compliquer la rencontre prévue ce matin entre l'archevêque de Paris Mgr Vingt-Trois et le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux, l'évêque gauchiste de Belfort-Montbéliard (le site du diocèse renvoyait il n'y a pas si longtemps vers la CGT et le Planning familial, au choix !), Mgr Claude Schockert, annonce ce matin que l'Eglise va "s'opposer au cours des prochaines semaines aux décrets de la loi Besson" sur la déchéance de nationalité, jugés "trop durs", dans un entretien au Parisien/Aujourd'hui en France. Défendre le "droit" des délinquants à rester Français, c'est la priorité de cet évêque que l'on n'entend jamais sur la question de l'avortement par exemple.
Rédigé le 31 août 2010 à 11h23 dans Culture de mort, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Notre Eglise, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Près de huit millions d’euros : c’est le coût partagé entre l’Etat (à 50 %), la Région Provence-Alpes-Côte-d’Azur (PACA), le département du Var et la Ville de Fréjus pour le massacre d’arènes vénérables du Ier siècle. Les travaux entrepris, ces gradins dégradants dont les photos sont aujourd’hui facilement consultables dans la presse, sont tant étonnants qu’on peinerait à les croire réels si l’on avait déjà en tête d’autres exemples malheureux d’affreuses verrues de ce genre, comme au château de Falaise.
Promoteurs de rentables spectacles contre « amateurs de vieilles pierres », comme certains appellent ceux qui trouveraient encore ces arènes belles par elles-mêmes sans qu’il soit besoin de les habiller d’une grise chape de béton lisse : c’est la loi du plus fort qui l’emporte. Une couverture intégrale qui masquera totalement les structures antiques et permettra d’accueillir un public toujours plus nombreux en respectant les règles de sécurité actuelles. On sait maintenant qui décide, de la Réunion des musées nationaux ou de la préfecture. Le silence de ceux qui ont fait profession d’aimer les vieilles pierres est d’autant plus assourdissant. On apprend seulement que l’architecte des monuments historiques en charge du projet a trouvé le travail de conception difficile. On l’imagine… Mais alors, pourquoi l’avoir mené ? Pourquoi n’avoir pas tout simplement rasé le site, ce qui aurait eu le mérite de la clarté ?
Thibaud
Rédigé le 30 août 2010 à 11h28 dans Economie et social, Histoire, Identité, Patrimoine, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Alain Juppé prend position sur son blog pour la défense et l'apprentissage des langues anciennes, alors que la réforme du concours du Capes de lettres classiques prévoit la suppression des épreuves de grec et de latin :
![]()
D’abord, comment demander à des professeurs de français d’enseigner une langue dont ils ignoreraient les origines, la formation, le génie propre? C’est ce qui est jeu dans la réforme du capes de lettres classiques. Dans la foulée, on pourrait dispenser les candidats d’étudier la Chanson de Roland, ou le Testament de Villon dans le texte… qui est difficile! Il existe aussi des “adaptations” des Essais de Montaigne en français du XXème, bientôt du XXIème siècle…
Ensuite, pourquoi se priver de la précieuse école de méthode, j’ose dire de rigueur intellectuelle que constitue l’apprentissage d’une langue à déclinaison, aussi structurée que le latin? Certes, cet apprentissage est exigeant. Mais à force de ne rien exiger, on risque de fort peu récolter. Et qu’on ne vienne pas me dire qu’il est plus “utile” d’apprendre le chinois ou l’arabe. Dans des programmes bien aménagés, il y a de la place pour diverses expériences. Quant à l’utilité, combien de lycéens auront-ils l’occasion, dans leur vie professionnelle, de résoudre des équations du deuxième degré? Va-t-on en conclure que l’enseignement de l’algèbre est “inutile”?
Et surtout, a-t-on le droit de priver tant de jeunes de la chance de rêver un jour à la naissance de l’”aurore aux doigts de rose”, ou aux tourments de la “mer vineuse” en suivant Ulysse dans ses tribulations? Ou d’accompagner les premiers pas de la démocratie en écoutant l’éloge qu’en fait Périclès? Ou de découvrir avec Antigone qu’il y a des valeurs supérieures aux lois imparfaites des hommes? Tous nos grands mythes, bien de nos grands concepts sont déjà là. Bien sûr, il y a d’excellentes traductions d’Homère, de Thucydide ou de Sophocle. Mais combien plus profonde est la marque qu’en conserve celui qui a pris la peine de fréquenter l’original!
J’ai bien conscience de m’associer à un combat qui n’intéresse plus grand monde, qui suscite au mieux l’indifférence, au pis la dérision. Mais mes “humanités” m’ont donné trop de bonheur pour que je ne rende pas, à ceux qui en sont encore les champions esseulés, un peu de reconnaissance et de respect.
Thibaud
Rédigé le 30 août 2010 à 02h11 dans Economie et social, Histoire, Identité, Jeunes, Patrimoine, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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en raison d'un rassemblement de l'English Defense League ce samedi contre "la menace de l'islam extrémiste".
Thibaud
Rédigé le 28 août 2010 à 02h22 dans Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La parole à Mgr Centène, évêque de Vannes et responsable de la pastorale des Gens du voyage :
Le rôle de l’Église n’est pas de prendre parti pour les associations ou pour le gouvernement. Ni angélisme, ni amalgame. Mais la récupération est inévitable dans le contexte actuel. Tout est blanc ou noir, et on peine à trouver des nuances… L’aumônerie des Gens du voyage refuse les généralisations hâtives. En clair, ce n’est pas le mode de vie des Tsiganes qui est facteur d’exclusion. La délinquance est liée à la marginalisation. Plus les Tsiganes seront marginalisés et plus ils auront tendance à s’installer dans les marges. Ils seront tentés d’avoir recours à des moyens d’existence peu orthodoxes… Je crois que la sécurité ne peut venir que de relations réciproques. La répression, seule, ne fait que cristalliser les choses.
Les Tsiganes sentent que leurs valeurs sont attaquées par la société moderne. En particulier les valeurs relatives à la famille et à la communauté qui heurtent notre hyper individualisme. Leur sens – extrême – de la solidarité ne cadre pas avec les impératifs de performance. Dans ces domaines-là, les autres catholiques pourraient s’inspirer des valeurs des Gens du voyage.
Rédigé le 27 août 2010 à 22h31 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Notre Eglise, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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pour satisfaire la "minorité" musulmane.
Ali, ex-élu UMP défend sur RMC les menus sans viande dans les écoles de Grenoble permis par le maire de Grenoble :
Thibaud
Rédigé le 26 août 2010 à 18h22 dans Délinquance, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, Tendances, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu ici :
Grosse pression sur les épaules de Yannick Noah. A quelques jours de son concert au Stade de France, le chanteur s'active pour éviter un flop retentissant. En ex-tennisman aguerri, Yannick Noah sait écourter les échanges pour gagner des points décisifs. Mais cette fois, il va avoir devoir user de tout son talent pour emporter la mise. L'enjeu? Remplir le Stade de France le 25 septembre 2010. Et la partie ne s'annonce pas facile. Selon le producteur Thierry Suc, intérrogé par Le Parisien cette semaine, on est loin du compte. A l'entendre, il faudrait même un petit miracle pour que les 81.000 places que comporte la jauge de l'enceinte francilienne trouve preneur.
"Jusqu'ici, ce ne sont que 57.000 places qui ont été écoulées", explique-t-il au journal. Résultat, l'organisation a dû se résoudre à sacrifier les prix en catastrophe: une place est désormais offerte pour une achetée. Petite consolation, cette opération coup de poing a déjà permis de renverser la vapeur avec 1.500 billets vendus le premier jour de la promotion, lundi 23 août dernier.
Rédigé le 26 août 2010 à 17h05 dans Détente, Economie et social, Identité, Immigration, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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