Rédigé le 24 décembre 2009 à 18h27 dans Antichristianisme, Chronique culturelle, Chrétien(s) au quotidien, Histoire, La vie des médias, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Bernard Antony, président de Chrétienté-Solidarité et président du Cercle d’Amitié Française Juive et Chrétienne a écrit au grand rabbin Bernheim, aux dirigeants du Congrès juif mondial et du consistoire central de France :
Nous avons lu avec tristesse et même indignation vos déclarations simultanément injustes et intruses contre la décision du pape Benoît XVI de proclamer vénérable, selon la tradition de notre Église, le grand pape Pie XII dont la mémoire est ainsi honorée pour l’héroïcité de ses vertus.
Vos propos, tout spécialement pour les catholiques informés de ce que fut l’action salvatrice de ce pape ne sont pas recevables. Mais, nous le savons, ils sont jugés aussi comme très regrettables par beaucoup de juifs. Ainsi, le rabbin David Dalin et beaucoup de ses confrères en Amérique et ailleurs ont, dans la continuité des grandes personnalités juives de l’après-guerre, à cœur de ne pas laisser salir la mémoire de Pie XII.
Ils évitent ainsi très heureusement qu’une généralisation hâtive, un amalgame qui serait regrettable, ne soient faits par des catholiques qui pourraient confondre vos institutions avec la réalité multiple de ce que nous appelons le pays réel juif.
Dans ce dernier en effet où les gens de culture et d’esprit libre sont nombreux, on se souvient des pièges et artifices de la propagande soviétique à l’égard des Juifs comme des chrétiens, on se méfie des mauvaises révisions historiques et de la désinformation médiatique.
Car vous reprenez hélas, ni plus ni moins, les thèmes de l’odieuse campagne contre la mémoire de Pie XII orchestrée en 1959 par les « services » des pays de l’Est autour de la pièce « Le Vicaire » de « l’agent provocateur culturel » Rolf Hochhuth. Ce dernier, personnage étrange, à la fois manipulateur et manipulé, fut en effet un excellent instrument de déstabilisation. On l’utilisa aux fins de la subversion dans l’Église. On l’utilisa comme apologiste du terrorisme d’extrême-gauche qu’inspiraient les mêmes services. On l’utilisa encore lorsqu’il parut utile à l’URSS pour sa politique arabe de combattre les influences juives. Il devint alors un « négationniste » selon le propos du président du Conseil Central Juif d’Allemagne, Paul Spiegel.
La manœuvre soviétique vis-à-vis de l’Église catholique consistait à éliminer autant que possible, coûte que coûte, son anticommunisme. On le fit avec le réseau Pax de l’ancien collaborateur polonais des nazis, Piasecki, comme avec Hochhuth. Pie XII avait en effet été aussi fermement, aussi prudemment, aussi efficacement anticommuniste qu’antinazi.
Il fallait, pour bien manœuvrer dans l’Église avec les « compagnons de route » des partis communistes, noircir le plus possible son pontificat.
Il fallait, pour en faire le « pape de Hitler », faire oublier les remerciements et hommages que lui avaient adressé les plus éminentes personnalités juives de l’après-guerre telles madame Golda Meir et Albert Einstein.
Il fallait faire oublier les expressions de gratitude du grand rabbin de Jérusalem, Isaac Herzog, et celle du grand rabbin de Rome Elie Toaff. Il fallait occulter l’éloge de sa prudence par le grand rabbin du Danemark, Marcus Melchior, rescapé de l’extermination.
Surtout, pour certains, il fallait en finir avec l’histoire du grand rabbin de Rome pendant la guerre, Israël Zoller. Ce dernier avait tout obtenu de Pie XII : tout l’or possible pour payer les sommes exigées par les nazis, tous les asiles possibles dans les couvents, et Castel Gandolfo, résidence d’été des papes, était devenu un refuge pour trois mille juifs. Plein d’amitié et de reconnaissance pour Pie XII, le grand rabbin de Rome en vient à épouser sa foi dans le Christ et à se convertir, devenant alors Eugenio Zolli, professeur à l’Université Grégorienne.
Est-ce cela que certains juifs, et peut-être parmi vous, reprocheraient finalement le plus à Pie XII ?
Quelques-uns peut-être, n’ayant pas sur le christianisme le regard si amical de l’admirable historien et homme de vérité, Robert Aron ?
Mais maintenant, pour vous aider peut-être et en aider beaucoup à comprendre le soi-disant silence de Pie XII, qui ne fut qu’une prudence non provocatrice, assumée aux limites des plus grands risques, ne pourrait-on pas comparer son attitude à celles de bien de vos éminents prédécesseurs, conducteurs de votre peuple, quelquefois confrontés aux autres tragédies exterminationnistes ou, pour le moins, informés de leur réalité. Que firent-ils donc de mieux que Pie XII ?
Vous le savez, l’Église catholique avec Jean-Paul II a professé des repentances souvent justifiées pour les actes odieux commis par le passé au nom de notre religion. Pourquoi des autorités juives ne reconnaîtraient-elles pas de même, comme le fit la grande journaliste et écrivain Annie Kriegel, l’engagement d’une partie importante (elle en avait été) du peuple juif dans les révolutions communistes au sein desquelles beaucoup assumèrent les plus hauts postes et hélas aussi d’immenses crimes.
Pourquoi ne pas prononcer aussi, pour l’honneur du peuple juif, quelques phrases de repentance ? C’est, en tous cas, déjà, celui du journaliste israélien Sever Plocker (de Yediot Ahronot) que d’avoir demandé le 21 décembre 2006 de « ne pas oublier que quelques-uns des plus grands meurtriers des temps modernes étaient juifs ».
Bien sûr, nous le savons, le plus grand nombre des juifs des pays conquis par le communisme réprouvaient les horreurs des tchékistes. Quoi qu’il en soit, il serait utile et juste que l’on puisse apprécier quelle fut l’attitude des autorités spirituelles juives. Peut-être à ses débuts la révolution russe les inquiéta-t-elle moins que le nazisme plus tard. On veut bien le comprendre. Mais, lorsque Staline s’allia à Hitler, lorsqu’il s’achemina lui aussi vers un antisémitisme de plus en plus menaçant (complot des « blouses blanches, création du Birobidjan, etc…), qu’en fut-il ?
Osera-t-on nous répondre qu’ils étaient tenus au silence pour ne pas exciter le meurtrier psychopathe du Kremlin ?
Le peuple juif étant par vocation ouvert à « l’universel » comme vous aimez souvent le rappeler, vos prédécesseurs n’ont pu être indifférents aux autres génocides du XX° siècle.
Celui perpétré par le régime maçonnique Jeune-Turc, qui a exterminé les Arméniens et autres chrétiens en 1915, fut de proportion comparable à la Shoah et vit se dérouler des crimes et massacres d’une hallucinante cruauté sadique. La communauté juive turque était alors laissée en paix et plutôt prospère.
On aimerait donc savoir quelle fut l’attitude de vos grands rabbins et de vos dirigeants face à cette tragédie qui, on l’a trop oublié, annonça celle de votre peuple. Hitler ne déclara-t-il pas : « Qui se souvient des Arméniens ? » On n’ose pas penser que vos prédécesseurs auraient été plus indifférents pour les chrétiens que Pie XII pour les Juifs. Là aussi les historiens seront heureux d’accéder à toutes les archives.
Le rédacteur de ces lignes, messieurs les rabbins et dirigeants, est l’auteur d’une « Histoire des juifs d’Abraham à nos jours ». Elle a été écrite pour favoriser un véritable dialogue inter-religieux, dans la vérité, sans complaisance frelatée, mais dans le respect et même l’amitié telle que celle qui règne entre patriotes français juifs et chrétiens au sein de notre cercle d’Amitié Française.
Ce livre lui a valu les éloges de beaucoup de lecteurs, chrétiens et juifs. Commandé par plusieurs instituts et périodiques juifs, il n’a fait l’objet de leur part depuis bientôt quatre ans d’aucune réprobation. Bénéficiant d’articles très favorables dans les principales publications du catholicisme de conviction, il n’a suscité d’hostilité que celle de quelques personnages et groupuscules agités par un antisémitisme aussi affligeant que ridicule.
À l’évidence, les moins sommaires me reprochent d’avoir écrit un livre dans la recherche de la vérité et non sans amour pour le peuple « que Dieu s’est choisi » selon l’expression de Malachi Martin. Ils ne me pardonnent pas d’avoir confié que j’ai souvent travaillé en regardant l’image de Sainte Thérèse Bénédicte de la Croix, Edith Stein de son nom de jeune fille.
Entrée au Carmel de Cologne en octobre 1993, sa supérieure, sachant le redoublement de la haine des nazis pour les juifs catholiques, l’envoya pour la protéger au Carmel d’Echt aux Pays-Bas. Mais lorsque ce pays fut envahi et occupé, un plan de déportation des juifs fut élaboré en 1942. Après la protestation des évêques de Hollande le 11 juillet, ce plan fut aussitôt accéléré. L’ordre avait été donné par le Commandant SS de traiter en priorité, avec une sévérité encore plus grande, les juifs catholiques. Edith Stein et sa sœur Rosa furent arrêtées le 2 août. Au camp de transit de Westerbock, le 5 août, elles n’eurent pas droit au minimum de nourriture encore accordé aux juifs. Une petite carmélite juive, et sa sœur, catholique aussi, voilà en effet des personnes qui constituaient un grand danger pour le III° Reich. Il fallait au plus vite les conduire à la mort. Ce fut fait dès l’arrivée à Auschwitz-Birkenau le 9 août 1942.
La protestation courageuse des évêques hollandais n’avait servi à rien, qu’à augmenter et accélérer la fureur meurtrière des exterminateurs. Cela incita Pie XII à mesurer jusqu’où il pouvait aller trop loin… Mais vous, ses accusateurs aujourd’hui, êtes-vous bien sûrs de bien servir la cause de votre peuple ? Les rabbins et les historiens juifs qui défendent la vérité pour Pie XII et n’injurient pas Benoît XVI le font certainement mieux que vous.
Et voici d’ailleurs qu’au moment même où je terminais ces lignes, je prends connaissance des propos délicats, justes et intelligents de Me Serge Klarsfeld déclarant notamment que « Pie XII a joué un rôle déterminant contre Hitler » et comment grâce à ses directives « des milliers de juifs ont pu être sauvés ».
Je vous prie d’agréer, messieurs, l’expression d’une considération proportionnée à l’esprit de vérité dont vous témoignerez en n‘offensant pas la mémoire d’un pape auquel tant de vos coréligionnaires odieusement pourchassés doivent la vie.
Rédigé le 24 décembre 2009 à 18h05 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Economie et social, Histoire, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu dans le courrier des lecteurs des 4 Vérités (site) de jeudi :
La CGT déclare cinq millions d’euros de recettes de cotisations pour 654 000 adhérents, ce qui fait une moyenne de 7,65 euros de cotisation annuelle par adhérent. Étrange non ? Et naturellement pas un journaliste pour se poser des questions dans la « grande presse » !
Rédigé le 22 décembre 2009 à 11h46 dans Economie et social, La vie des médias, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Jean Madiran observe dans Présent de demain que :
La pression anti-papiste exercée sur l’Eglise par voie de veto médiatique est d’un poids énorme. Elle a empêché la béatification d’Isabelle la Catholique. Elle a retardé jusqu’ici celle de Pie XII. Et elle en fait bien d’autres. Son poids ne lui vient pas seulement du fait que les anti-papistes occupent une place souvent dominante aujourd’hui dans la presse et la télévision, dans l’édition, dans la vie politique et dans le système bancaire. Il lui vient en outre de l’écho complice qu’il rencontre, par voie de persuasion ou par voie d’intimidation, dans une partie notable du clergé, de sa hiérarchie et de l’opinion publique catholique. Cela aussi est un résultat désastreux de l’« esprit du concile » désavoué par Benoît XVI.
(...) Le Figaro de lundi accuse grossièrement Benoît XVI d’avoir voulu relancer le « débat sur le Vatican et le nazisme ». C’est manifester combien le point de vue catholique est totalement étranger au Figaro.Car du point de vue catholique, Benoît XVI n’a pas relancé ce débat, il l’a clos.
Rédigé le 21 décembre 2009 à 13h00 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Délinquance, Economie et social, Histoire, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Ce blog consacré au pape Pie XII est à faire connaître.
Rédigé le 21 décembre 2009 à 10h58 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Délinquance, Economie et social, Histoire, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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ThibaudImmédiatement, dans les radios et les télés du week-end, est donc resuscitée la figure d'un méchant, d'un lâche, qui n'a pas protesté contre la Shoah. Jusqu'à l'éditorialiste multi-cartes Alain Duhamel qui, avec une férocité (...) qu'il ne réserve hélas qu'aux hommes politiques étrangers ou morts, suggère au pape de béatifier aussi Papon. Ah, si seulement il avait officié entre 40 et 45, Duhamel ! Dès juin 40, il aurait lâché ses chroniques à la radio et dans les journaux, et sauté dans le premier bateau pour Londres ! Ah, on l'aurait entendu tonner, à Radio Londres ! Avant qu'il ne saute dans son uniforme pour aller libérer Paris, les armes à la main, dans la division Leclerc.
Rédigé le 21 décembre 2009 à 10h52 dans Antichristianisme, Délinquance, Histoire, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Bernard Antony, Président du Cercle d’Amitié française juive et chrétienne, communique :
En décidant d’accorder simultanément le titre de Vénérable, annonciateur d’une béatification, à Jean-Paul II et Pie XII, le pape Benoît XVI manifeste une nouvelle fois combien la plus haute autorité de l’Eglise catholique ne se laisse pas impressionner par les campagnes des médias et des bureaux de la désinformation religieuse et politique.
Comme je l’ai rappelé et motivé dans mon Histoire des Juifs, dans le sillage sur ce point du père Blet et de Judith Cabaud, Pie XII, après avoir été le rédacteur des encycliques de Pie XI condamnant également le communisme (Divini Redemptoris) et le nazisme (Mit brennender Sorge), a été le plus grand sauveur de juifs au cours de la seconde guerre mondiale.
Il protégea notamment efficacement la communauté juive de Rome, apportant toute son aide au grand rabbin Eugenio Zolli, dont Judith Cabaud a si bellement narré la vie et la conversion au Christ.
Rappelons encore l’hommage que lui rendirent parmi ceux de dizaines de personnalités juives, Albert Einstein et le premier ministre de l’Etat d’Israel Madame Golda Meïr, n’en déplaise à certains responsables juifs d’aujourd’hui, mus par un triste ressentiment antichrétien.
L’acte de Benoît XVI constitue aussi un grand encouragement pour le rabbin américain David Dalin qui avec un grand nombre de ses confrères et de juifs éminents, ne cesse de défendre la grande mémoire de Pie XII si ignoblement salie.
Pie XII, qui fut sans aucun doute le plus grand docteur catholique de l’époque moderne, se voit ainsi enfin reconnaître l’héroïcité de son action alliant la fermeté, la prudence nécessaire et la discrétion dans l’efficacité salvatrice.
Rédigé le 21 décembre 2009 à 10h37 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Délinquance, Economie et social, Histoire, La vie des médias, Littérature, Notre Eglise, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le lobby homosexualiste américain vient de faire une nouvelle victime aux États-Unis. Le journaliste Larry Grard vient d’être licencié du Morning Sentinel parce qu’un courriel privé par lui adressé à une association de cette mouvance, après la victoire du référendum populaire ans l’État du Maine abolissant la loi autorisant le “mariage” gay, n’a pas eu l’heur de lui plaire, qu’elle a glapit auprès de la direction du journal, laquelle s’est empressée de saquer le journaliste et, pour faire bonne mesure, son épouse qui en était aussi une collaboratrice.
Rédigé le 16 décembre 2009 à 11h03 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Etats-Unis, La vie des médias, Société civile (EU), SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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alors qu'il a gagné la surface d'une fois et demi le Texas en deux ans...
Lu ici :
Al Gore has told the U.N. climate conference that new data suggests that the Arctic polar ice cap may disappear in the summertime as soon as five to seven years from now.
Gore said polar scientists told him Sunday that the latest data "suggest a 75 percent chance the entire polar ice cap will melt in summer within the next five to seven years."
Les propos, complètement délirants, ont été minorés par son équipe :
Marc Morano, qui dirige l'excellent ClimateDepot.com (168 000 visiteurs uniques en novembre 2009), décrypte le discours de Gore :Mr Gore’s office later admitted that the 75 per cent figure was one used by Dr Maslowksi as a “ballpark figure” several years ago in a conversation with Mr Gore.
"This is just following along those lines. Al Gore knows that the Arctic ice has now gained the size of one and a half Texases in the last two years - since the summer of 2007 when it was at its low point - and he knows that's no longer alarming to people, so he's got to ramp up the fear factor," Morano notes. "And the best way to do it is through virtual data - just come up with a scary prediction years down the road and use it as though it's some kind of evidence of a catastrophe."
Rédigé le 16 décembre 2009 à 03h49 dans Culture de mort, Délinquance, Ecologisme, Economie et social, Environnement, Etats-Unis, La vie des médias, Science, Société civile (EU) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 16 décembre 2009 à 03h19 dans Culture de mort, Economie et social, La vie des médias | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Alors qu'Al Gore ne cesse de tenter de minorer le Climategate en mentant, affirmant par exemple que le plus récent des courriels interceptés date de dix ans alors qu'il a moins de deux mois, le journaliste et réalisateur Phelim McAleer a tenté de l'approcher :
Lire aussi : Scandale à Copenhague ! La sécurité intervient pour faire taire un journaliste
Rédigé le 16 décembre 2009 à 02h56 dans Culture de mort, Délinquance, Ecologisme, Economie et social, Environnement, Histoire, La vie des médias, Science, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 14 décembre 2009 à 14h23 dans Antichristianisme, Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Economie et social, Histoire, La vie des médias | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lorsque le sujet du Climategate est évoqué par un journaliste, les agents de sécurité des Nations Unies interviennent.
Pendant une conférence de presse organisée à Copenhague en marge du Sommet, le journaliste et réalisateur Phelim McAleer demande son opinion au professeur Stephen Schneider, un climatologiste de l'université de Stanford, au sujet du Climategate.
McAleer est le réalisateur de "Mine Your Own Business", un documentaire qui dénonce la face cachée du lobby environnementaliste.
Dans "Not Evil Just Wrong", il s'en prend à Al Gore et à ceux qui voudraient imposer une thèse "officielle" sur le réchauffement climatique.
Rédigé le 12 décembre 2009 à 19h20 dans Culture de mort, Délinquance, Ecologisme, Economie et social, Environnement, La vie des médias, Science, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Vincent Courtillot, géophysicien et directeur de l'Institut de physique du globe de Paris, est interrogé par L'Expansion :
nous pensons que c'est surtout le soleil qui est responsable de ce réchauffement. La température moyenne du globe descend depuis dix ans, ce qui est également le cas de la température du soleil. Selon nous, le gaz carbonique n'est pas responsable des observations climatiques du 20ème siècle.
Contrairement à Claude Allègre, nous nous sommes d'abord tus, car nous voulions publier nos travaux dans des revues scientifiques. C'est fait. On m'a d'abord traité de négationniste ! Mais laissez-moi revenir sur ce fameux consensus. Au début, je croyais qu'il était le fruit d'un travail scientifique. En réalité, c'est le résultat d'un vote. C'est très différent ! Rappelez-vous l'accueil qu'a reçu le physicien Wegener lorsqu'en 1915, il a établi sa théorie sur la dérive des continents. En 1960, les 2000 meilleurs géologues disaient que les continents ne dérivaient pas. Dix ans plus tard, le "consensus" s'était inversé. Il aura fallu 53 ans...
Quand on dit qu'il n'y a plus de débat, dans un domaine aussi compliqué que le climat, on n'est plus dans le domaine de la science, mais de la religion. Il y a 200 ans, on m'aurait déjà brûlé...
(...) attention : je n'ai jamais dit qu'il ne fallait pas économiser le pétrole et réduire les émissions de gaz à effet de serre. Ce que je dis, c'est que le faire en mettant à terre l'économie du monde occidental, ce n'est pas raisonnable.
Rédigé le 12 décembre 2009 à 16h25 dans Ecologisme, Economie et social, Environnement, La vie des médias, Science, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Jeanne Smits publie sur son blog un compte-rendu complet du procès A, B et C vs Irlande, véritable Roe vs Wade européen qui verra ou non la Cour européenne des droits de l'homme imposer le "droit à l'avortement".
Un article tiré du quotidien Présent qui vous propose un accès gratuit au numéro de samedi. Pour s'abonner, c'est ici. Nos lecteurs qui ne connaîtraient pas du tout Présent peuvent demander un abonnement numérique gratuit d'un mois à cette adresse : [email protected]
Rédigé le 12 décembre 2009 à 12h12 dans Avortuerie, Culture de mort, La vie des médias | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu dans La Croix, à propos du lancement du gratuit Vivre Noël à Marseille :
« Ce journal sera diffusé à 55 000 exemplaires dans le métro marseillais, à la gare Saint-Charles, sur les marchés de Noël et, dimanche, aux portes des églises, avec pour objectif de redonner du sens à la fête de Noël », détaille Frédéric Fonfroide, directeur délégué de Bayard Service Édition qui a piloté le projet, le contenu rédactionnel étant réalisé par La Croix. À titre de comparaison, la diffusion de 20 minutes dans la cité phocéenne est d’environ 49 000 exemplaires, et celle de Metro tourne autour de 48 000 unités. « Nous nous sommes clairement calés sur leur diffusion, avec l’originalité d’apporter une parole d’espérance à un large public », souligne-t-il.
« Vivre Noël est une belle opportunité pour une ville comme la nôtre, à la fois brassée et très religieuse dans son cœur, dans sa mentalité », se réjouit Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille, très sensible au fait que ce journal soit pensé pour « être lisible par le maximum de publics ». Pour lui, la démarche n’en est pas moins « audacieuse » : il s’agit pour l’Église de « toucher plus largement que le monde chrétien ». L’originalité de ce 24 pages est encore de laisser une large place à la vie locale, religieuse et culturelle.
«L’attente est forte, même chez les non-pratiquants»
À Paris aussi, l’Église s’apprête à sauter le pas. « Notre hebdomadaire diocésain Paris Notre-Dame (6 000 abonnés) n’est pas un journal grand public mais un outil pour accompagner les acteurs de la mission, explique Marie Baudouin, responsable de la communication du diocèse. Or, aujourd’hui, nous sentons qu’il y a nécessité de s’adresser aussi au tout-venant ». Et si le Web peut être une réponse, « rien ne remplace le papier », assure-t-elle.
Ce gratuit de Noël (un hors-série de Paris-Notre-Dame, en fait), tiré entre 75 000 et 100 000 exemplaires, sera distribué par les paroissiens eux-mêmes, contrairement au projet marseillais qui s’appuie sur des réseaux professionnels spécialisés. Marie Baudouin estime que ce choix est une manière d’inciter les catholiques à « entrer dans une démarche missionnaire », à une période de l’année où « l’attente est forte, même chez les non-pratiquants ». Le concept devrait être élargi au Carême et à la rentrée de septembre.
À côté de ces éditions ponctuelles et localisées, d’autres projets se dessinent avec des stratégies plus larges. Ainsi, Teomag, qui devrait être diffusé dès janvier à 200 000 exemplaires, partout en France. « Nous espérons étendre notre tirage à 500 000, avant la fin de l’année », avance Jean-Baptiste Fourtané, fondateur du Festival de Pâques (1), qui porte ce projet avec Hubert de Torcy, rédacteur en chef d’ Il est vivant , mensuel édité par la Communauté de l’Emmanuel.
«Éviter que ces gratuits ne soient en concurrence avec les bulletins paroissiaux»
Teomag veut être « un gratuit missionnaire et faire découvrir la foi chrétienne à travers l’actualité, la psychologie, la spiritualité et la culture, en articulant information locale et nationale », résume-t-il. Le journal comprendra une partie commune, et une autre modulable en fonction du contexte local. De fait, la mobilisation des diocèses, doyennés ou paroisses est un des axes forts de ce projet : « Nous leur proposons des pages spécialement dédiées en échange d’un financement, et nous les aidons à hiérarchiser leurs informations et réécrire leurs articles », explique-t-il, indiquant avoir déjà démarché une vingtaine de diocèses…
(...) À quelques nuances près, tous ces projets entendent proposer un contenu chrétien à des personnes qui sont éloignées de l’Église. « Notre idée est de parler avec le maximum de gens des questions essentielles que nous avons en commun : famille, éducation, travail… », illustre le P. Jean Rouet, vicaire général du diocèse de Bordeaux, qui s’apprête aussi à lancer un gratuit, diffusé à 100 000 exemplaires, au printemps.
Autre différence de taille, les modèles économiques choisis : Teomag repose sur un financement morcelé (45 % pour la publicité, 35 % pour la paroisse ou le diocèse, et 20 % d’abonnements de soutien) et entend s’inscrire dans une périodicité régulière. De son côté, Bayard mise essentiellement sur les annonceurs, en s’appuyant sur des temps forts de l’année comme Noël, Pâques ou la Toussaint. Comme le dit Mgr Pontier, « les fêtes religieuses font partie de ces moments qui marquent la vie des personnes. Beaucoup cherchent alors à retrouver des repères. »
Rédigé le 11 décembre 2009 à 08h58 dans Chrétien(s) au quotidien, Economie et social, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Thibaud (via FDesouche)
Rédigé le 10 décembre 2009 à 23h58 dans Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, La vie des médias, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Selon Le Figaro, Patrick Poivre d'Arvor a refusé « de figurer à la deuxième place de la liste UMP à Paris, conduite par Chantal Jouanno ». Chef de file du parti en Ile-de-France, Valérie Pécresse en personne lui avait fait la proposition. « Avec l'aval de l'Elysée », évidemment.
Contacté par Rue89, l'intéressé n'a pas souhaité répondre aux questions sur le sujet. Mais son entourage a expliqué à l'AFP qu'« il a d'autres priorités pour l'instant » :
« Depuis son départ de TF1 il y a un an et demi, il a été plusieurs fois sollicité de bords différents pour un engagement politique et il a décliné ces différentes propositions, la dernière venant de Valérie Pécresse. »
Mais sa « priorité » était surtout de figurer en première position de la liste pour les régionales à Paris. Un membre de l'entourage de Valérie Pécresse a confié à Rue89 :
« En réalité, ses prétentions étaient un peu trop élevées. Disons qu'il souhaitait être au-delà de la deuxième place… »
Rédigé le 10 décembre 2009 à 10h03 dans La vie des médias, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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