Tout le monde se souvient de Susan Boyle, cette catholique de 47 ans parvenue en final d'un fameux concours télévisé. Malgré sa défaite, Son premier album s'annonce déjà comme un grand succès. Un juste retour des choses...
Didyme
Tout le monde se souvient de Susan Boyle, cette catholique de 47 ans parvenue en final d'un fameux concours télévisé. Malgré sa défaite, Son premier album s'annonce déjà comme un grand succès. Un juste retour des choses...
Didyme
Rédigé le 05 septembre 2009 à 14h01 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 23 août 2009 à 17h55 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 03 août 2009 à 08h00 dans Histoire, Identité, Musique, Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La rédaction d'e-deo a prit position au sujet de l'annonce de l'interdiction du rappeur Orelsan de se produire au festival des Francofolies à cause de son clip intitulé sale pute, approuvant ainsi la décision de la député de Poitou-Charente Ségolène Royal. Une foi n'est pas coutume, je désapprouve personnellement cette décision et me permets de faire entendre un son de voix discordant avec notre rédacteur en chef préféré.
Il se trouve que j'ai pu visualiser le clip en question sur internet (pour prendre position sur une œuvre, je mets un point d'honneur à la voir dans son entièreté) et il ne m'a pas plus du tout, je l'ai trouvé brouillon, violent, vulgaire, immature, bref à l'image de ce qu'est systématiquement le rap de nos jours. Ceci étant dit, je ne peux que désapprouver une censure parfaitement incongrue et qui n'est motivée que par une idéologie féministe intrinsèquement haineuse, sectaire et porteuse de mort (banalisation de l'avortement, incitation à la haine des hommes, multiplication des suicides d'hommes engagés dans des procédures de divorce...). Venant de Ségolène Royal, la socialo bon teint (qui, par ailleurs, ne semble pas avoir beaucoup de problème avec l'islam, pourtant essentielle cause de vraie violence envers les femmes), une mesure aussi démagogique et opportuniste. Du reste, il me semble pertinent d'observer que la sortie d'un clip comme celui d'Orelsan (qui n'améliore certes pas la situation) n'est qu'une conséquence de cette mentalité instaurée par le féminisme le plus agressif et le plus sectaire qui domine depuis maintenant plus de quarante ans. par ailleurs, je remarque qu'aucune personnalité ne s'est levé pour dénoncé des clips de rappeuse incitant à la haine ou à la violence envers les hommes de la aprt des femmes, tel Confession nocturne de Diams et surtout Gare aux cons de Koxie, aussi vulgaire que le clip d'Orelsan (le mot con doit être prononcé au moins une bonne soixantaine de fois et je ne parle même pas de l'image des hommes véhiculées). Deux poids deux mesures donc. C'est pourquoi, à titre personnel, je désapprouve cette interdiction et ce boycott, du moins tant que de semblables mesures ne seront pas également appliquées aux clips de Diams et Koxie (et franchement, dans tous les cas, la musique française n'y perdra rien, bien au contraire). Cet avis n'engage évidemment que moi et je l'assume entièrement.
Raspail
Rédigé le 15 juillet 2009 à 13h11 dans Jeunes, Musique, Tribune | Lien permanent | Commentaires (6) | TrackBack (0)
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L'UMP et Jack Lang "ont perdu une occasion de se taire" en soutenant le rappeur Orelsan après sa déprogrammation du festival des Francofolies de La Rochelle, a déclaré mardi Ségolène Royal.
Dans un communiqué, la présidente PS de la région Poitou-Charentes "appelle chacun à garder son calme et à ne pas raconter n'importe quoi". "Aujourd'hui en France, une femme meurt sous les coups tous les trois jours. La lutte contre les violences faites aux femmes ne tolère aucun laxisme", déclare Mme Royal
Le rappeur Orelsan, dont la chanson "Sale Pute" a fait scandale, a été retiré de l'affiche du festival de la chanson francophone.
L'affaire
a rebondi ce week-end sur le terrain politique. Dans un communiqué, les
porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre et Dominique Paillé ont jugé
dimanche "intolérable" la déprogrammation du rappeur controversé,
accusant Ségolène Royal d'en être l'instigatrice, via "un chantage à la
subvention". De son côté, l'ancien ministre PS de la Culture Jack Lang
a dénoncé "une forme de censure morale".
Dans son communiqué, Ségolène Royal assure que "toutes les affirmations de menaces pour obtenir la déprogrammation du rappeur, de même que toutes les allégations de chantage à la subvention sont fausses et diffamatoires".
En revanche, la candidate du Parti socialiste à la dernière présidentielle "assume avoir sollicité des informations auprès des organisateurs des Francofolies après avoir été saisie par des associations de lutte contre les violences faites aux femmes, et avoir exprimé sa satisfaction à l'annonce de la déprogrammation du rappeur d'un des plus importants festivals de la région qu'elle préside".
"Est-il en effet tolérable qu'un chanteur appelle au meurtre et à la violence contre les femmes, pas seulement dans une chanson mais dans plusieurs, qu'il menace de les 'marie-trintigner', de 'les avorter opinel' ?", demande la présidente de Poitou-Charentes.
Source : AFP
Rédigé le 14 juillet 2009 à 17h52 dans Culture de mort, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Identité, Musique, Vie politique française | Lien permanent
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e-deo vous invite à signer massivement la pétition.
Plus généralement, pas un centime d'argent public aux festivals qui accueillent des artistes haineux, boycott des soutiens privés à ces festivals.
Thibaud
Rédigé le 14 juillet 2009 à 17h32 dans Culture de mort, Défendre la famille, Economie et social, Identité, Musique, Vie politique française | Lien permanent
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Je tiens à tirer un coup de chapeau sans ironie à Ségolène Royal pour
sa prise de position courageuse et responsable. La guéguerre
droite-gauche doit trouver ses limites quand sont atteintes les valeurs
fondamentales de notre société.
Dans la même ligne que notre action sur les subventions au Hellfest qui accueille certains groupes appelant à la violence, à l'action des "Elus contre les Violences faites aux Femmes", la Présidente de la Région Poitou-Charentes vient en effet de mettre le programmateur des Francofolies devant un choix : déprogrammer le rappeur Orelsan (auteur de la chanson violente et mysogine "Sale Pute", attention choquante), ou se voir retirer ses subventions publiques.
Car l'argent du contribuable, nul part, ne peut servir à financer la haine.
Gonzague de Chantérac (blog), secrétaire général des Jeunes CNI
Rédigé le 14 juillet 2009 à 17h26 dans Culture de mort, Défendre la famille, Identité, Musique, Vie politique française | Lien permanent
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Rédigé le 30 juin 2009 à 19h29 dans Détente, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 22 juin 2009 à 21h44 dans Chrétien(s) au quotidien, Economie et social, Jeunes, La vie des médias, Musique, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Chronique culturelle du 20 juin 2009 (3)
Lente ouverture de tout l'orchestre post-romantique : un thème tout d'abord esquissé, puis effacé,qui revient, tente de voir le jour ; enfin il apparaît sous le contre-point des trompettes, tranquille et majestueux, ainsi qu'une fleur s'ébauche dans son bourgeon avant d'en sortir, et dont la floraison elle même est une beauté. Le premier mouvement de la symphonie "Titan" de Gustav Mahler ne peut qu'évoquer l'éveil de la nature au printemps, l'épanouissement des feuilles d'arbres et la joie de retrouver l'air pur après plusieurs mois à attendre le Soleil. Cette ouverture, c'est toute une forêt en musique : on perçoit l'eau qui coule, fraîche et vive, quand soudain tout s'arrête comme pour contempler la sortie de la plus belle fleur de la forêt ; celle-ci se pare , se fait attendre, mais lorsqu'enfin elle paraît la vie ne reprend que plus active en subtile contrepoint de divers thèmes simultanés, certains annonçant déjà les mouvements suivant.
Lorsque le deuxième arrive, on dénote le parfait équilibre entre cuivres et cordes, qui ne peut être obtenu que par le grand chef d'orchestre qu'était Mahler. En effet celui-ci est l'un des rares qui ait pu concilier de façon heureuse direction et composition, la composition recquiérant ordinairement le silence et l'isolation afin de ne pas être influencé par le travail des autres. Gustav Mahler eut le don d'être l'un des chefs d'orchestres les plus accomplis de l'histoire et un grand compositeur, bien qu'on lui reprochât souvent son éclectisme.
Le deuxième mouvement, donc, est un scherzo dominé par les cordes mais fortement accentué par cuivres et percussions ici et là. Il y a utilisation massive du contrepoint, signe de la réelle maîtrise de cet exercice difficile par le compositeur. Après une conclusion énergique, arrive le troisième mouvement.
Celui-ci, pour le moins étonnant, démarre sur une marche funèbre sur le thème de Frère Jacques énoncé à la contrebasse. Mahler est accoutumé à tourner en dérision des thèmes populaires, ou plutôt à les rendre particulièrement inquiétants. Ceci serait rattaché à un épisode malheureux de sons enfance. Autre point notable du mouvement, le trio do cors bien plus joyeux, insouciant voire joueur aux alentours du milieu. Une autre mise en dérision du caractère dramatique du début.
Le troisième mouvement s'achève sur une très discrète pulsation des timbales, avant que l'orchestre n'explose littéralement à nos oreilles pour le quatrième et dernier mouvement de cette symphonie : vingt minutes (la durée de certaines symphonies de Mozart) dominées par une certaine frénésie de tout l'orchestre dans des nuances allant de Forte (fort) à Fortississimo (très très fort), où les cuivres possèdent souvent le thème principal, devant des arpèges des violons. Deux à trois thème différents se mêlent souvent, montrant une fois de plus l'excellence de Mahler dans ce genre d'exercice. Se glissent au milieu de cette tempête deux îlots de calme, passages lyriques où les violons imposent leur voix douce et romantique. Le temps s'élonge alors ; chaque note étirée, la tension monte. On retrouve quelque chose de l'atmosphère du premier mouvement, mais soudain la nuance monte, le tempo aussi. L'orchestre gronde à nouveau, pour ne se taire que sur une conclusion à l'échelle de la symphonie.
Dernier grand représentant du romantisme allemand, Mahler nous livre ici sa première oeuvre majeure (il ne composa rien d'autre que des symphonies et des lieder), grand bastion du romantisme contre les nouvelles écoles de musique bâtit grâce à l'étude approfondie de nombreuses partitions lors du travail de chef d'orchestre. On a vu des compositeurs qui créent une musique sans antécédent ni successeur ; Mahler fait au contraire partie de ceux qui reprennent le meilleur de la musque passée en le réorganisant. De même que Bach fut l'accomplissement de toute la musque baroque, on peut dire que Mahler fut l'accomplissement de la symphonie romantique allemande.
Vincent
Rédigé le 20 juin 2009 à 10h35 dans Chronique culturelle, Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
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Communiqué
Christian
Vanneste, député UMP du Nord, et ancien rapporteur de la loi Dadvsi,
qui a voté contre le projet de loi Création et internet, dit Hadopi,
lors du vote le 12 mai dernier, à l’Assemblée nationale, se réjouit de
la décision (CP Conseil Hadopi) de ce mercredi 10 juin, du Conseil Constitutionnel.
En censurant la disposition la plus controversée de la loi Hadopi, le pouvoir de couper l’accès à internet dévolu à une autorité administrative spécialement créée, le Conseil constitutionnel fait ainsi tomber l’essentiel de cette loi. Le haut Conseil a jugé que la coupure de l’abonnement ne pouvait en conséquence incomber qu’au juge. Les sages du Palais Royal ont estimé -suivant en cela l’exigence posée au parlement européen- que la liberté de communication et d’expression énoncée dans la Déclaration des Droits de l’homme implique, “eu égard au développement généralisé d’internet”, la “liberté d’accéder au services de communication au public en ligne”. Autre motif retenu par le Conseil constitutionnel: la loi censurée méconnaît la présomption d’innocence puisqu’elle prévoit de sanctionner le titulaire du contrat d’abonnement à internet. Il revenait à ce dernier de prouver qu’il n’était pas l’auteur des infractions (téléchargements illégaux). Ce renversement de la charge de la preuve est -comme nous l’avions prédit avec plusieurs collègues- inconstitutionnel.
Christian Vanneste se réjouit que le Conseil constitutionnel ait mis fin à une disposition juridiquement très contestable : celle-ci lésait en effet ce que beaucoup considèrent aujourd’hui comme un droit d’accès, aussi important que ne l’était l’accès à l’eau et à l’électricité hier, et cela sans passer par une décision judiciaire. Il regrette néanmoins d’une part que la Ministre de la Culture et le rapporteur n’aient pas voulu entendre les critiques de certains élus de la majorité UMP et Nouveau Centre, et d’autre part que la loi Hadopi soit passée à côté de l’objectif essentiel qui était d’équilibrer les droits de ceux qui concourent à la création, avec l’élargissement de l’accès à la création par le plus large public et notamment par le public jeune.
Rédigé le 10 juin 2009 à 23h42 dans Conso, Constitution française, Culture de mort, Musique, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Chronique culturelle du 5 juin 2009 (3)
Après la présentation du Requiem de Verdi, œuvre monumentale à la gloire de Dieu et en hommage au défunts, voici une œuvre bien davantage destinée aux auditeurs pour les plonger dans la douleur de Fauré, très affecté par la mort d'un proche. Le maître du chant soliste français met ici tout son talent de mélodiste novateur au service du cri déchiré de son âme. Pas vraiment un cri, d'ailleurs : car ce qu'on entend là sont plutôt les lourds sanglots d'un homme résigné, abandonnant sa douce tristesse dans l'univers sensible de la musique, comptant sur l'auditeur pour l'aider à supporter sa peine.
En comparaison avec l'œuvre de Verdi, Fauré laisse une place bien moindre aux instruments et c'est donc le chœur ou les solistes qui dominent, leurs mélodies complexes (Liszt, lui-même considéré comme trop moderne à ses débuts, considérait certaines pièces de Fauré comme injouables) portées par ces harmonies si particulières qui donnent sa spécificité au style du compositeur. Celui-ci en effet, quoi qu'il déclare humblement, reprend peu des enseignements de son maître Camille Saint-Saëns, ou des artifices de Wagner.
Sa musique, bien qu'agréable à écouter, semble aujourd'hui réservée à une élite ; et effectivement la pleine perception de toutes les subtilités d'écriture demande une bonne connaissance de l'harmonie classique, cependant à mon sens de simples mélomanes ne doivent pas se priver de cette musique qui semble parfois si légère qu'elle en devient angélique, si austère et sereine dans sa tristesse qu'elle prend des accents surnaturels.
Vincent
CD Accentus, avec Laurence Equilbey. Editions Naive.
Rédigé le 05 juin 2009 à 16h40 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
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Chronique culturelle du 25 mai 2009 (3)
Alors que le Concerto est aujourd’hui largement reconnu dans le milieu de la musique classique comme l’une des pièces majeures du répertoire pianistique, on a du mal à imaginer le premier commentaire qu’en fit son premier auditeur, l’ancien professeur du compositeur et dédicataire Rubinstein.
Alors qu’en effet Tchaïkovski cherchait à obtenir de son mentor de petits conseils techniques, il se vit répondre que l’œuvre tout entière était à revoir voire à jeter. Sur ce, le compositeur en changea le dédicataire, au profit de Hans von Bülow, brillant pianiste et compositeur et ami notamment de Wagner, sans modification aucune jusqu’en 1879 (la première version date de 1874). Bien lui en prit, car alors nous n’aurions pas eu à notre disposition un tel étalage de richesse sonore, de finesse d’orchestration et de subtilité mélodique.
A l’instar des autres œuvres du grand artiste russe, le concerto déteint d’une grande sensibilité mêlant tradition russe et école occidentale, faisant de Tchaïkovski l’un des compositeurs les plus éclectiques qui fut.
Cette pièce, où les voix du piano et de l’orchestre se mêlent et se démêlent sans cesse, l’un accompagnant l’autre à tour de rôle, ou bien les deux ensembles, dans une musique tantôt vive et galopante, tantôt tendre et subtile, est l’un des symboles du romantisme dans lequel le compositeur nous ouvre réellement son âme sans parole.
Vincent
Rédigé le 25 mai 2009 à 15h42 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
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A part ça, tout va bien ! Ne voir aucun rapport entre les cimetières profanés, l'attrait des jeunes pour le satanisme et les ventes de disques de cet individu !
On croirait lire Libé !
C'est à se demander si ça n'est pas le qualificatif de « pire cauchemar de l’Amérique » qui rend sympathique le personnage à certains identitaires !
A e-deo, nous ne nous réjouissons pas du tout de la venue de Marilyn Manson au concert "Hellfest" à Clisson (Loire-Atlantique) le 20 juin prochain et vous tiendrons au courant des initiatives menées, s'il y en a, pour empêcher sa tenue.
Rédigé le 24 mai 2009 à 19h53 dans Antichristianisme, Culture de mort, Jeunes, Musique, Satanisme | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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